30/04/2009
vivre ensemble avec les barbares

Dans le procès-verbal du 18 février 2006 de son interrogatoire par la Brigade criminelle de Paris, Samir Aït Abdelmalek, déclare: "j’ai sorti la lame du cutter et après qu’il a mangé et bu, j’ai cherché un endroit où lui mettre un coup de cutter pour que ça saigne sans lui faire trop mal. Je ne voulais pas toucher à l’adhésif qui l’empêchait de hurler. Sans prévenir Ilan pour qu’il ne stresse pas, je lui ai mis un coup de cutter sur cinq ou six centimètres sur la joue gauche. Malgré le sparadrap cela a saigné vite dans sa barbe qui n’avait pas été rasée.” Le policier qui...