Voilà un homme courageux. Et qui a la chance d'être lui-même noir. Sinon, qu'est-ce qu'il se prendrait dans la tronche, le malheureux ! Au lieu de cela, il a droit (dans la presse) à un bienveillant et épais silence...
J'y pense, d'un coup. Il y aurait là une bonne filière à fric, pour tous les étudiants en histoire d'origine africaine ou antillaise : moyennant honnête rétribution, ils deviendraient les prête-nom des historiens blancs qui écrivent des choses "incorrectes" mais ne peuvent les assumer sous peine de condamnation à mort universitaire et sociale ; ils leur serviraient, en quelque sorte, de gilets pare-balles.
Ils deviendraient, si je puis dire, "nègres au carré"...
oh oh, pas mal!
le seul problème c'est que c'est peut-être aussi une mort sociale pour eux!
peut-etre seront-ils considérés commes des "nègres blancs", sortes de traitres à leur communauté d'origine...bullshit
pas simple de nager à contre courant, quelle que soit la couleur de peau
L'éloquence, la précision, la beauté de la langue sont devenues l'apanage des universitaires (ou politiques ou journalistes) africains, c'est de plus en plus frappant.
En effet, il n'y a presque plus que des étrangers (n'ayant surtout pas fréquenter nos chères écoles, collèges et lycées) pour être capable de concevoir et d'exprimer une pensée claire sans jargon et grandiloquence cache-misère ...
Par contre, je dois malheureusement contredire le présentateur de l'émission qui conclue l'entretien en disant que ce livre va faire débat : il n'y aura pas de débat parce que l'auteur ne sera jamais invité à "Esprits libres", On n'est pas couché", "Le grand journal de Canal +", etc, etc .
Il n'est rendu compte de ce livre que sur des blogs "néo-réacs" dont l'audience cumulée, sans être négligeable, n'est pas suffisante pour le faire connaître aux masses.
Cette émission de France O est l'exception qui confirme la règle. Au moins peut-on espérer
que, cette chaîne ayant une large audience auprès des noirs de métropole et d'outre-mer, elle leur permette de prendre connaissance et conscience de cette part de leur histoire que la bien-pensance, en Europe et en Afrique, s'évertue à cacher; n'était-ce pas madame Taubira qui justifiait l'absence de la traîte orientale dans sa loi sur la mémoire de l'esclavage par la volonté de ne pas culpabiliser les jeunes Français d'origine maghrébine ?
En tout cas, cette lecture est nécessaire même si elle est émotionellement difficile; mon épouse, qui est africaine a été tellement bouleversée qu'elle a eu du mal à finir le livre.
effectivement xavier, soit il n'y aura pas de débat du tout, soit s'il y a débat parce qu'il n'a pu être évité, ce sera une condamnation unanime avec appel solennel de quelques sections d'assaut de l'historiquement correct...
10 commentaires
Voilà un homme courageux. Et qui a la chance d'être lui-même noir. Sinon, qu'est-ce qu'il se prendrait dans la tronche, le malheureux ! Au lieu de cela, il a droit (dans la presse) à un bienveillant et épais silence...
tout à fait. silence radio
j'ai failli intituler ce post: va être difficile à dézinguer celui-là...
les murs finissent toujours par tomber
J'y pense, d'un coup. Il y aurait là une bonne filière à fric, pour tous les étudiants en histoire d'origine africaine ou antillaise : moyennant honnête rétribution, ils deviendraient les prête-nom des historiens blancs qui écrivent des choses "incorrectes" mais ne peuvent les assumer sous peine de condamnation à mort universitaire et sociale ; ils leur serviraient, en quelque sorte, de gilets pare-balles.
Ils deviendraient, si je puis dire, "nègres au carré"...
oh oh, pas mal!
le seul problème c'est que c'est peut-être aussi une mort sociale pour eux!
peut-etre seront-ils considérés commes des "nègres blancs", sortes de traitres à leur communauté d'origine...bullshit
pas simple de nager à contre courant, quelle que soit la couleur de peau
En attendant, on s'amuse bien, non ?
au second degré, oui, c'est réjouissant
à froid c'est consternant de voir que l'irrationalité et l'amour du mensonge font autant recette..
bonne nuit
L'éloquence, la précision, la beauté de la langue sont devenues l'apanage des universitaires (ou politiques ou journalistes) africains, c'est de plus en plus frappant.
c'est vrai, dom. je me suis fait la même réflexion en écoutant cet homme
En effet, il n'y a presque plus que des étrangers (n'ayant surtout pas fréquenter nos chères écoles, collèges et lycées) pour être capable de concevoir et d'exprimer une pensée claire sans jargon et grandiloquence cache-misère ...
Par contre, je dois malheureusement contredire le présentateur de l'émission qui conclue l'entretien en disant que ce livre va faire débat : il n'y aura pas de débat parce que l'auteur ne sera jamais invité à "Esprits libres", On n'est pas couché", "Le grand journal de Canal +", etc, etc .
Il n'est rendu compte de ce livre que sur des blogs "néo-réacs" dont l'audience cumulée, sans être négligeable, n'est pas suffisante pour le faire connaître aux masses.
Cette émission de France O est l'exception qui confirme la règle. Au moins peut-on espérer
que, cette chaîne ayant une large audience auprès des noirs de métropole et d'outre-mer, elle leur permette de prendre connaissance et conscience de cette part de leur histoire que la bien-pensance, en Europe et en Afrique, s'évertue à cacher; n'était-ce pas madame Taubira qui justifiait l'absence de la traîte orientale dans sa loi sur la mémoire de l'esclavage par la volonté de ne pas culpabiliser les jeunes Français d'origine maghrébine ?
En tout cas, cette lecture est nécessaire même si elle est émotionellement difficile; mon épouse, qui est africaine a été tellement bouleversée qu'elle a eu du mal à finir le livre.
effectivement xavier, soit il n'y aura pas de débat du tout, soit s'il y a débat parce qu'il n'a pu être évité, ce sera une condamnation unanime avec appel solennel de quelques sections d'assaut de l'historiquement correct...
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