25/08/2007
L'Aurore chez Homère
« Lorsque parut l’Aurore matineuse aux doigts roses, alors ils gagnèrent le large, en quête de la vaste armée des Achéens. » (L’Iliade I, 452-497)
« Les chevaux, paissant l’orge blanche et l’avoine, debout prés des chars, attendaient que l’Aurore montât sur son trône superbe. » (L’Iliade, XII, 278-289)
« Mais lorsque enfin, l’Aurore aux belles tresses, eut amené le troisième jour, le vent tomba aussitôt et un calme plat régna sur la mer. (L’Odyssée, VI, 33-393)
« L’Aurore aux voiles de safran se répandait sur toute la terre, quand Zeus que réjouit la foudre assembla les dieux sur la plus haute cime de l’Olympe aux gorges sans nombre. » (L’Iliade VIII, 1-38)
« L’Aurore sortait de son lit. Quittant la compagnie du glorieux Tithon [frère aîné de Priam, enlevé par l’Aurore qui l’épousât], elle se levait pour apporter la lumière aux Immortels et aux humains (…). » (L’Iliade, XI, 1-36)
19:15 | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : homère, aurore
Commentaires
Un peu de poésie dans ce monde de brutes... Merci.
Écrit par : Zadig | 29/08/2007
c'est bien ce que je pensais aussi
Écrit par : hoplite | 29/08/2007
La poésie est la meilleure arme de la Tradition !
Sur Communauté gauloise, viennent d'être publiés deux articles, l'un sur Properce, l'autre sur Leconte de Lisle, dans lequel il est précisément question d'Homère...
Avis aux amateurs...
Écrit par : Amaury | 30/08/2007
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