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25/11/2017

Savall


Jappe et la société marchande

24/11/2017

cohérence

 

"(...) L’un des chefs de file du sionisme allemand était alors Joachim Prinz. Dans son livre Wir Juden(« Nous les Juifs »), publié à Berlin en 1934, il prenait parti pour la coopération avec le nazisme :

« Un État fondé sur le principe de la pureté de la nation et de la race ne peut qu’être honoré et respecté par le juif qui déclare son appartenance à son propre peuple. […] Car seul celui qui honore ses origines et son propre sang peut respecter et honorer la volonté nationale des autres nations. [39] »

Prinz a-t-il été ostracisé par la communauté juive après la guerre ? Allons donc ! Il a été élu en 1958 président de l’American Jewish Congress, l’organisation même qui avait lancé le boycott de l’Allemagne nazie. Tout est dialectique !"

source Guyennot/ E et R

19/11/2017

..

15/11/2017

black cube


#onnousprendpourdesbuses

Résultat de recherche d'images pour "supportkurdistan saint germain"

Avec un comité de soutien pareil (UEJF+SOS-MY-ASS+BHL+KOUCHNER+HIDALGO+FOUREST+VALLS= la diaspora SEFANAZE au grand complet), nul doute que ça va marcher fort!!

un nouveau DAESH, quoi;)

 
podcast

09/11/2017

hors des villes

 

Au haut de l'échelle

 
C'est comme quand ils disent que ces pays sont des démocraties, dit l'Avocate. Ces pays ne sont évidemment pas des démocraties, ce sont des dictatures. A géométrie variable, il est vrai. Mais des dictatures quand même. Sur une échelle du plus ou moins, certains s'inscriraient tout au haut de l'échelle, d'autres, peut-être, un peu plus bas. Mais un peu seulement. On se fait très mal voir aujourd'hui en disant ces choses. Mais elles n'en reflètent pas moins la réalité. Voyez le verrouillage des médias, les atteintes grandissantes au droit à la liberté d'expression, etc. Sur certains sujets, la censure est aujourd'hui totale. Partout, également, la justice est politisée. Ce qui se passe en Espagne n'est pas, à cet égard, particulier à l'Espagne. C'est le mode de fonctionnement normal de la justice en Europe. Le numérique aidant, l'Etat s'est par ailleurs transformée en "oeil absolu"*, cherchant à tout voir, jusqu'aux pensées les plus intimes. Tout le monde, aujourd'hui, est fiché, étiqueté, tracé (enfin, presque tout le monde). On assiste, en parallèle, à la montée en puissance des services spéciaux, qui, comme aux Etats-Unis, sont aujourd'hui, de fait, le pouvoir décisionnel. Les étapes suivantes sont d'ores et déjà programmées : suppression de la monnaie fiduciaire, confiscation de l'épargne privée, restrictions à la liberté de déplacement (en particulier hors des villes), etc. Et les élections, objectera-t-on? Dans une dictature il y a toujours des élections. Elles aident au bon fonctionnement du système.

* Gérard Wajcmann, L'oeil absolu, Denoël, 2010.
 
Eric Werner