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C'est drole quleque part hoplite, que ce soit une remarque que j'ai fait sur votre blog apres avoir ecouté ce discours de Drac, que vous m'ayez demandé si j'etais complotiste très peu de temps apres....
Comme c'etait drole aujourd'hui qu'un allemand me demande si si j'etais raciste parce que je lui disais que son pays avait des qualités...
(Ca m'enerve toujours...)
(Evidement je ne vous mets pas au meme niveau que le type en question...J'aime beaucoup faire mon "nazi fasciste" quelques fois...Ne pas reculer est devenu un devoir derisoire...)
Écrit par : JÖ | 26/10/2012
JÖ
JO, c'était de l'humour..
Écrit par : hoplite | 26/10/2012
hoplite
L'idée qu'il y ait encore une partie de l'élite prête à se réveiller et à proposer une alternative au pouvoir est intéressante.
Des gens qui vont finir par être économiquement touchés à leur tour ou être écoeurés de l'évolution de la situation, avec encore un fond de patriotisme.
Ce ne sont jamais les très pauvres qui prennent le pouvoir lors de troubles ou de révolutions, c'est toujours une partie de l'élite qui retourne sa veste.
Comme Poutine, Chavez, les islandais...
En attendant, j'espère améliorer ma préparation avant que nous subissions le traitement des Grecs, mâtiné de guerre civile avec nos CPF...
Écrit par : S10 | 26/10/2012
S10
(Je me doutais que vous plaisantiez Hoplite...)
En attendant que les européens arretent de regarder le sol serait deja un premier pas.
"Ce ne sont jamais les très pauvres qui prennent le pouvoir lors de troubles ou de révolutions, c'est toujours une partie de l'élite qui retourne sa veste."
Oui, aiguillonnée par d'autres.
Écrit par : JÖ | 26/10/2012
JÖ
"Ce ne sont jamais les très pauvres qui prennent le pouvoir lors de troubles ou de révolutions, c'est toujours une partie de l'élite qui retourne sa veste."
Très juste, S10.
C'est pourquoi il faut avoir plusieurs niveaux de discours et d'action, tout en étant francs et sincères partout (pourquoi mentirions-nous, même par stratégie ? C'est inutile, nous ne faisons que dire la vérité de plusieurs façons différentes).
Un niveau, simple et à destination du "commun des mortels" (qui ne vaut pas moins que les "élites" sous prétexte qu'il est moins instruit et moins au fait des codes artificiels de la société technostructurelle) : par exemple, celui incarné par la manifestation des Identitaires sur le toit du chantier de la mosquée de Poitiers.
Un niveau intermédiaire, plus complexe, en direction des classes moyennes supérieures susceptibles de se retourner contre le système qu'ordinairement elles soutiennent par intérêt : par exemple, celui relatif à la crise et à l'inéluctable effondrement économique, combinés au caractère illusoire du libre-échange mondialisé avec son corollaire d'abolition des frontières et de tiers-mondisation généralisée et donc, à terme, de tout refuge, même pour la fortune.
Un niveau plus complexe encore, à l'attention des "élites" (classes dirigeantes), contenant la menace voilée d'un attentat permanent à leur position dominante, par le lien qui se construit entre communautarismes (qu'elles ont voulus) et opposants variés (communautaires ou pas) au système oligarchique, du fait de la persistance même de ces "élites" à poursuivre dans la voie déstructurante qu'elles ont choisies pour - croient-elles - leur profit ; par exemple, en ce qui concerne des mouvements comme Occupy aux USA (première manifestation d'une rébellion plus générale), ou le retournement anti-américain des acteurs subventionnés du "printemps arabe" (meurtre de l'ambassadeur US en Libye) ; ou encore, la montée conjointe des populismes européens et de l'islam radical en Europe, sur fond de contestation du modèle occidental et chute de tous les dirigeants dans les sondages d'opinion (perte de clientèle, faute d'offre politique appropriée).
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Comme c'etait drole aujourd'hui qu'un allemand me demande si si j'etais raciste parce que je lui disais que son pays avait des qualités...
(Ca m'enerve toujours...)
(Evidement je ne vous mets pas au meme niveau que le type en question...J'aime beaucoup faire mon "nazi fasciste" quelques fois...Ne pas reculer est devenu un devoir derisoire...)
Écrit par : JÖ | 26/10/2012
Écrit par : hoplite | 26/10/2012
Des gens qui vont finir par être économiquement touchés à leur tour ou être écoeurés de l'évolution de la situation, avec encore un fond de patriotisme.
Ce ne sont jamais les très pauvres qui prennent le pouvoir lors de troubles ou de révolutions, c'est toujours une partie de l'élite qui retourne sa veste.
Comme Poutine, Chavez, les islandais...
En attendant, j'espère améliorer ma préparation avant que nous subissions le traitement des Grecs, mâtiné de guerre civile avec nos CPF...
Écrit par : S10 | 26/10/2012
En attendant que les européens arretent de regarder le sol serait deja un premier pas.
"Ce ne sont jamais les très pauvres qui prennent le pouvoir lors de troubles ou de révolutions, c'est toujours une partie de l'élite qui retourne sa veste."
Oui, aiguillonnée par d'autres.
Écrit par : JÖ | 26/10/2012
Très juste, S10.
C'est pourquoi il faut avoir plusieurs niveaux de discours et d'action, tout en étant francs et sincères partout (pourquoi mentirions-nous, même par stratégie ? C'est inutile, nous ne faisons que dire la vérité de plusieurs façons différentes).
Un niveau, simple et à destination du "commun des mortels" (qui ne vaut pas moins que les "élites" sous prétexte qu'il est moins instruit et moins au fait des codes artificiels de la société technostructurelle) : par exemple, celui incarné par la manifestation des Identitaires sur le toit du chantier de la mosquée de Poitiers.
Un niveau intermédiaire, plus complexe, en direction des classes moyennes supérieures susceptibles de se retourner contre le système qu'ordinairement elles soutiennent par intérêt : par exemple, celui relatif à la crise et à l'inéluctable effondrement économique, combinés au caractère illusoire du libre-échange mondialisé avec son corollaire d'abolition des frontières et de tiers-mondisation généralisée et donc, à terme, de tout refuge, même pour la fortune.
Un niveau plus complexe encore, à l'attention des "élites" (classes dirigeantes), contenant la menace voilée d'un attentat permanent à leur position dominante, par le lien qui se construit entre communautarismes (qu'elles ont voulus) et opposants variés (communautaires ou pas) au système oligarchique, du fait de la persistance même de ces "élites" à poursuivre dans la voie déstructurante qu'elles ont choisies pour - croient-elles - leur profit ; par exemple, en ce qui concerne des mouvements comme Occupy aux USA (première manifestation d'une rébellion plus générale), ou le retournement anti-américain des acteurs subventionnés du "printemps arabe" (meurtre de l'ambassadeur US en Libye) ; ou encore, la montée conjointe des populismes européens et de l'islam radical en Europe, sur fond de contestation du modèle occidental et chute de tous les dirigeants dans les sondages d'opinion (perte de clientèle, faute d'offre politique appropriée).
Écrit par : Boreas | 27/10/2012
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