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07/12/2014

anatomie du peuple élu

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"Qui sont les juifs? D'où viennent-ils? Comment se fait-il qu'à différentes périodes historiques ils apparaissent dans des lieux aussi différents et aussi éloignés les uns des autres?

Bien que la plupart des juifs contemporains soient absolument persuadés que leurs ancêtres sont les Israélites bibliques qui auraient été brutalement chassés par les romains, la vérité est que les juifs contemporains n'ont strictement rien a voir avec ces Israélites de l'antiquité, que ceux-ci n'ont jamais été expulsés, le soi-disant exil imposé par les Romains n'étant qu'un mythe juif de plus.

Shlomo Sand expliquait dans le journal israélien Ha'aretz:  "j'ai commencé à rechercher des études au sujet de l'exil de la terre promise, mais, à ma grande surprise, j'ai découvert qu'il n'existe pas de littérature scientifique à ce sujet. La raison en est que personne n'a jamais envoyé en exil la population de cette région. Les Romains ne chassaient pas les peuples qu'ils avaient conquis, et ils n'auraient d'ailleurs pas pu le faire même si cela avait été leur intention. Ils ne disposaient ni de trains ni de camions pour déporter des populations entières. Ce genre de logistique n'a existé qu'au XXème siècle. C'est à partir de là, en fait, que mon livre tout entier est né -de la prise de conscience que la société juive n'a été ni dispersée ni envoyée en exil."

L'idée d'une Marine Impériale Romaine travaillant 24h/24 et 7 jours sur 7 pour schlepper les judéens à Cordoue et à Tolède peut certes aider les juifs à se sentir importants, mais le sens commun suggère que l'armada romaine avait des choses bien plus importantes à faire. Bien plus intéressante encore est la conclusion logique de Sand: si le peuple d'Israël n'a pas été expulsé, alors les véritables descendants des habitants du Royaume de Judée ne peuvent être que les Palestiniens. Écoutons Sand à nouveau: "Aucune population ne demeure "pure" durant une période de plusieurs milliers d'années, mais les chances que les palestiniens soient des descendants de l'antique peuple juif sont infiniment plus grandes que celles que vous ou moi le soyons. Jusqu'à la révolte arabe de 1936-1939, les premiers sionistes savaient qu'il n'y avait pas eu d'exil et que les palestiniens étaient les descendants des habitants de la Terre Sainte. Ils savaient que des paysans ne quittent pas leur terre a moins d'en être chassés. Même Yitzhak Ben-Zvi, le deuxième président de l'état d'Israël, a écrit, en 1929 que l'origine de la plupart des fellahs (paysans palestiniens) ne remonte pas aux conquérants arabes, mais bien, avant ceux-ci, aux fellahs juifs qui étaient nombreux et avaient constitué la majorité dans l'édification du pays."

Dans son livre, Sand pousse tête idée plus loin, suggérant que jusqu'à la Révolte arabe, les dirigeants sionistes dit de gauche avaient tendance à penser que les paysans palestiniens (qui étaient vraisemblablement juifs de par leur origines) s'assimileraient à la culture hébraïque émergente et qu'ils finiraient par adhérer au mouvement sioniste. Ber borochov pensait qu'un "fellah se vêt comme un juif et se comporte comme un juif de la classe ouvrière, et qu'en fin de compte il ne sera en rien différent d'un juif." Cette notions a réapparu par la suite dans les écrits de Ben Gourion et dans ceux de Ben Zvi. Les deux dirigeant sionistes avaient compris que la culture palestinienne était profondément enracinée dans les vestiges bibliques, tant linguistiquement que géographiquement (à savoir dans les noms des villages, des villes, des rivières et des montagnes). Au moins à cette étape précoce, tous deux voyaient dans les palestiniens autochtones des parents du point de vue ethnique, et potentiellement des frères. Ils voyaient aussi dans l'islam une "religion démocratique" amicale. Après 1936, Ben Gourion et Ben Zvi mirent leur enthousiasme "multiculturel" en sourdine. En ce qui concerne le premier, l'épuration ethnique des palestiniens semblait bien plus le passionner.

On est fondé à s'interroger: si les Palestiniens sont les "vrais juifs", alors qui sont ces gens qui se disent tels? La réponse de Sand est simple et raisonnable: "Ce n'est pas un peuple qui s'est répandu, c'est la religion juive. Le judaïsme pratiquait le prosélytisme. Contrairement à ce que beaucoup de gens croient, dans le judaïsme primitif, i l y avait une véritable soif de conversion des non-juifs." Les religions monothéistes étant moins tolérantes que les religions polythéistes, elles ont une tendance à l'expansion. L'expansionnisme juif, dans ses premiers jours, était non seulement similaire au prosélytisme chrétien, mais c'est même en réalité lui qui a sème les graines du zèle pour la conversion d'autrui présent dans la pensée et dans la pratique chrétienne originelle.

Les juifs d'Espagne dont on considère communément qu'ils sont des parents de sang des anciens Israélites, s'avèrent avoir été des berbères convertis. Sand explique: "Je me suis demandé comment des communautés juives aussi importantes étaient apparues en Espagne. C'est alors que j'ai réalisé que Tarik Ibn Ziyad, le commandant en chef des musulmans qui conquirent l'Espagne, était un berbère, tout comme la plupart de ses soldats. Le royaume de la reine berbère juive Dihya la-kahina avait été vaincu seulement 15 ans auparavant. Et la vérité c'est qu'un certain nombre de sources chrétiennes disent que beaucoup des conquérants de l'Espagne étaient des convertis au judaïsme. La source profondément enracinée de l'importante communauté juive d'Espagne était ces soldats berbères qui avaient adopté le judaïsme.

Conformément à l'attente, Sand fait sienne l'hypothèse largement admise que les Khazars judaïsés constituent la principale origine des juifs d'Europe orientale, qu'il appelle "la nation yiddish". À la question de savoir pourquoi ces juifs parlent le yiddish -une langue très largement considérée comme étant un dialecte allemand médiéval- il répond: " Les juifs constituaient une classe de gens dépendants de la bourgeoisie allemande dans l'est de l'Europe, c'est la raison pour laquelle ils avaient adoptée le vocabulaire allemand."

Sand nous laisse avec la conclusion inévitable que les juifs contemporains n'ont pas d'origine commune et que leur ascendance sémitique est un mythe. Les juifs n'ont strictement aucune origine en Palestine et, par conséquent, leur acte de soi-disant "retour" doit être appréhendé comme un prétexte à une invasion expansionniste tribale.

Bien que la judéité ne constitue aucun continuum racial, l'identité juive est racialement connotée. Beaucoup de juifs, même laïcs, continuent à voir dans les mariages mixtes une menace existentielle. De plus, en dépit de la modernisation et de la sécularisation, la grande majorité des juifs laïcs continuent à pratiquer le rituel de sang qu'est la circoncision.

Contrairement à d'autres "nouveaux historiens" israéliens qui se sont attachés à saper les présupposés de l'historiographie sioniste, Sand ne se contente pas de se référer à 1948 ou aux débuts du sionisme, il remonte plusieurs milliers d'années dans le passé. A la différence des "nouveaux historiens", qui "révèlent" une vérité que connait tout petit enfant palestinien, à savoir le fait que les Palestiniens ont été victimes d'une épuration ethnique, le corpus de travail et la pensée de Sand sont susceptibles d'ouvrir la porte à des recherches ultérieures sur la signification du nationalisme, de l'identité et de la politique juifs. La lecture critique que Sand fait de l'histoire juive pose le cadre de discussions à venir sur la conception juive de l'historicité et de la temporalité. La compréhension de ces deux notions cruciales fournira la clef intellectuelle qui nous permettra de démanteler le pouvoir politique juif et elle pourrait même aider les juifs à s'amender et à se libérer de leur discours politique extrêmement dangereux.

Si Sand est dans le vrai, alors les juifs, plutôt que constituer une race, sont un collectif de nombreux peuples qui ont été pris en otage par un mouvement nationaliste basé sur des mythes. Si les juifs ne sont pas une race et s'ils n'ont rien à voir avec le sémitisme, alors l'"antisémitisme"est, formellement, un mot vide de sens. Autrement dit, la critique du nationalisme, du lobbying et du pouvoir juifs ne peut être considéré comme autre chose qu'une critique légitime d'une idéologie, d'une politique et d'une praxis (parmi d'autres).

Les ennemis idéologiques d'Israël sont engages dans un conflit sans merci avec cet état et ses séides. Mais le problème ne se résume pas à Israël, à son armée ou à ses dirigeants. Le problème est, de fait, une guerre contre une idéologie exclusiviste, contre un fantasme que l'Occident a fait sien et qui l'a, tout au moins momentanément, détourné de ses inclinaisons humanistes et de ses aspirations athéniennes. Combattre un esprit est beaucoup plus difficile que de lutter contre des gens en chair et en os, ne serait-ce que parce qu'on doit, au préalable, se battre contre les traces que cet esprit a pu laisser en nous-mêmes. Si nous voulons combattre Jérusalem, nous aurons sans doute à nous confronter, au préalable, au Jérusalem qui est en nous."

Gilad Atzmon, La parabole d'Esther, Anatomie du peuple élu, 2012.


podcast

PS1: jusqu'à quand? http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/12/05/97001-20141205FILWWW00307-la-sncf-versera-60-millions-de-dollars-aux-victimes-americaines-de-la-shoah.php...

PS2: jusqu'à quand? (Mitterrand vs Elkabach)

PS3: en écoutant parler Mitterrand que je n'ai jamais aimé (trop tortueux), je comprends toute la différence qu'il peut y avoir entre un homme d'Etat (qu'il était malgré tout) et un pantin spectaculaire contemporain comme Hollande ou Sarkosy. tragique.

Commentaires

En Israel il y a des juifs d europe, d afrique du nord, du Mexique, d argentine, du yemen, d iran, d ethiopie, de russie.

Même leur rite religieux sont legerements différents.

Ce n est pas un peuple, ce n est pas une nation. C est pourquoi les dirigeants Israelien font la guerre, pour souder ces gens contre un ennemi commun, les arabes. Je l avais pensé en 2006 quand je vivais la bas.

Maintenant nous pouvons discuter des banquiers, qui comme tout le monde le sait sont de par leur métier apatride. Ils vont la ou l argent est. Je ne me souviens plus qui a dit cela.... Surement un Juif :-)

Écrit par : libherT | 07/12/2014

Tout ça, c'est bien joli mais ce sont leurs histoires de vrais-faux sémites, donc RAF.
Le souci, c'est que la plupart de cette bande de dingos suivent leur talmud et leurs chefs (crif, rabbins, aipac, etc) et croient qu'ils sont le peuple élu et donc destiné à dominer les autres.
Il faut donc leur faire bien comprendre que ça ne marche pas comme ça.
Par exemple, ici c'est la France, pays qui devrait logiquement être dirigé selon des lois votées par les français, par des représentants français et pour les français (bien entendu, il faut définir ce qu'est un français, au minimum ce n'est pas un israëlien ou quiconque fait passer une autre nation, une religion, une idéologie avant l'intérêt commun des français).
Un des trucs les plus agaçants, c'est cette propension à toujours mentir.
Ce qui fait qu'on ne peut pas leur faire confiance, quoiqu'ils disent, même les convertis, les "laïcs", les cachés sous un nom français, les zemmour (qui se disent juifs français et pas français juifs et qui vont à la synagogue).
Trop rares sont ceux qui quittent sincèrement le judaïsme.
Ah si seulement les français étaient moins naïfs, ils se feraient peut-être moins avoir par tous ces politiciens, journalistes et autres...
On peut rêver...

Pour revenir au sujet, il y a une petite satisfaction amusante dans tout ce merdier : les parasites en ont fait venir d'autres mais ont choisi bêtement leurs pires ennemis (je parle des muzzs, les nazis ayant malheureusement disparu).
Qu'ils se bouffent entre eux ! Ce serait mieux en Palestine mais au moins là, pour une fois que nous pouvons être ceux qui comptent les points :-)

Écrit par : S10 | 07/12/2014

Les naïfs qui rêvent de reconquista ou de rémigration et s'apprêtent à soutenir le FN enj...sioniste feraient bien de méditer ceci :

"Et la vérité c'est qu'un certain nombre de sources chrétiennes disent que beaucoup des conquérants de l'Espagne étaient des convertis au judaïsme. La source profondément enracinée de l'importante communauté juive d'Espagne était ces soldats berbères qui avaient adopté le judaïsme."

Écrit par : Dia | 07/12/2014

Outre le mythe de l'expulsion des juifs de leur territoire par les Romains, il y a un autre mythe dont on devrait davantage parler : celui de l'existence d'un prophète nommé Jésus Christ. Supposément auteur de mirages fabuleux, il n'attira cependant l'attention d'aucun historien de son époque.

Écrit par : Oscar | 07/12/2014

Ils déconstruisent tout. Laissez-leur un peu de temps ils déconstruisent la judaisme lui-même ! D'autres creusent des canaux à travers les montagnes, batissent des pyramides, des cathédrales, des universités, des empires, écrivent des épopées, des symphonies. Eux... ils détricottent. C'est leur truc.

Écrit par : Il Popolo d'Italia | 08/12/2014

Je connais tes œuvres, ton affliction et ta pauvreté (mais tu es riche), et je connais le blasphème de ceux qui se disent être Juifs, mais qui ne le sont point, mais [qui sont] la Synagogue de satan. Apocalypse Jean 2.9

Ukraine = Khazaria 2.0
Je sais, c'est en anglais, mais c'est très intéressant, non seulement sur les Azkhenazi = Khazars mais sur la géopolitique actuelle la plus "brûlante" :

http://blogs.timesofisrael.com/leaked-report-israel-acknowledges-jews-in-fact-khazars-secret-plan-for-reverse-migration-to-ukraine/

Écrit par : Dizemanov | 08/12/2014

@ Oscar
Mais oui bien sûr.
Flavius Joseph? ça compte pô il était à moitié juif.

Écrit par : VQE | 08/12/2014

"il était à moitié juif"

Jesus c'est pire , lui c'etait a plein temps.

Cela dit raconter qu'il n'a jamais existé...

Jules Cesar aussi a ce compte là.

Écrit par : JÖ | 08/12/2014

Extrait de http://www.jchr.be/religion/jesus.htm
C'est à ceux qui affirment un fait que revient la charge de l'établir: les croyants devraient donc tenter d'étayer l'existence historique de Jésus-Christ. Mais la tradition et quinze siècles de religion d'État semblent avoir un poids tel qu'il semblerait que ce soit aux critiques de se justifier, ce qui peut expliquer la prudence de beaucoup de non-croyants, qui devraient par la suite affronter l'armée des spécialistes, pour la plupart ecclésiastiques ou en tout cas rarement incroyants.
Extrait de http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A8se_mythiste
La thèse de l'inexistence historique de Jésus, apparue à la fin du XVIIIe siècle, restée marginale au sein de la recherche historique académique, complètement rejetée par les spécialistes universitaires du christianisme ancien depuis la fin des années 1930, a néanmoins continué d’être reprise régulièrement par des auteurs en dehors du milieu académique, se diffusant notamment sur internet. Elle a été popularisée dans les médias au début des années 2000, aux États-Unis par Earl Doherty, et en France par Michel Onfray lequel a repris les thèses de Paul-Louis Couchoud et Prosper Alfaric.

Écrit par : Oscar | 09/12/2014

On s'en fout que jésus (via paul/saül de tarse) ait existé ou pas, comme boudha ou mohamed (lui il a sûrement existé : il y a énormément de ses homonymes dans les rues), ou david et johnathan (qu'est ce que tu vends pour les vacances ? des doudounes et puis des jeans), ça change quoi ?
Rien à foutre de ces grotesques "religions" (des sectes de masse en réalité) importées, surtout celles du même coin de désert pourri (les boudhistes ont le grand mérite de ne pas faire chier tout le temps, tout le monde et depuis des lustres).
Si on a de l'imagination et qu'on aime rêver et réfléchir, autant s'intéresser à l'Edda poétique ou à la mythologie grecque, au moins c'est européen, c'est de la poésie assumée et pas "révélée" et cela fourmille de paraboles pour expliquer les phénomènes naturels de la Terre et de l'Univers.
Thor ou Zeus, autrement plus classes que des clodos basanés en slip ("ton dieu est mort cloué, le mien a un marteau" ;-)

Écrit par : S10 | 09/12/2014

@ Oscar
lisez tout.
"Dans le monde académique, la question de l'existence historique de Jésus est aujourd'hui close (en dehors du Jesus Project, démarré fin 2008 - voir ci-dessous). Pour les chercheurs et spécialistes, les thèses mythistes sont rejetées par un ensemble d'éléments et d'arguments tant externes qu'internes au Nouveau Testament"
C'est également ce que soutient Jean-Christian Petitfils dans son livre "Jésus"
Mais je suppose que vous n'allez pas le trouver objectif parce qu'il est chrétien?

Écrit par : VQE | 09/12/2014

J'ai aussi plus d'affinité avec le fonds helleno-romain ou paien de l'Europe, mais il est peu probable historiquement que Jesus soit une invention totale.

Bon apres, on peut pinailler sur le "sexe des anges"...

Écrit par : JÖ | 09/12/2014

Oui, exactement. En tant que chrétien il ne peut qu'avoir de la (...) plein les yeux, si je me permets de m'exprimer un peu crûment.
"Les chercheurs et les spécialistes" sont des gens salariés, des éminences, des "gens très très bien" en qui il est dérisoire de croire. De toute façon ... croire ou savoir, il y a lieu de choisir. On voit parfaitement bien aujourd'hui à quel point ça coûte à l'Europe d'être un troupeau crédule qui se laisse embarquer vers son anéantissement.
A propos ... Que vive le matérialisme biologique. Sujet relativement peu investigué par "les chercheurs et les spécialistes", ces gens "sérieux".

Écrit par : Oscar | 10/12/2014

Pour revenir au sujet, j'ai vu un extrait de anal+ via E&R, un reportage d'ariel wizzzzman sur l'islam "bizarre" en France, celui-là sur camel béchir de fiss de fronce.
Les sémites analplussiens avaient l'air tout étonné devant ce phénomène inhabituel et malgré les rapprochements dudit avec E&R et autres individus d'esstrême drouâte, ne trouvaient pas à le critiquer comme ils l'auraient fait volontiers avec le premier blanc bec de souche venu ou un kémi taquin sur un certain lobby qui n'existe pas.
Ils avaient même l'air content devant la performance artistique de ce compétiteur amateur dans le foutage de gueule de fds...
Je me disais bon sang mais c'est bien sûr, voilà un arabe qui fait exactement comme ses cousins zuifs ont fait quelques générations plus tôt, de l'enfumage en beauté.
Il se déguise en bon français avec son costard de gentleman farmer, parle sans accent des rois de France comme un zemmour parle de Napoléon, vante son amour du Berry comme d'autres langman se font appeler berri (ou d'autres auteuil, bertignac, etc).
Il reste un muzz pur et dur mais appellera sans doute son fils Eric ou Henri ou Arnaud et hop, le tour est joué.
Les FDS n'y verront que du feu malgré la tronche de dromadaire comme zemmmour, du moment qu'on les bercera de belles paroles et que la mosquée se fondera dans le paysage parce que recouverte d'ardoises au nord de la Loire ou de tuiles roses en Provence, ou à l'image de n'importe quel bâtiment banal en ville comme une synagogue par exemple (celle-ci seulement trahie par la présence d'un planton de la police nationale devant sa porte).
Plus vronzais que les vronzais !
A tout prendre je préfère les zyvas et les bâchées, au moins ils sont reconnaissables de loin et utilement détestables.

Écrit par : S10 | 10/12/2014

Diable, heureusement que les jouifs ne sont pas un milliard comme les mahométans, sans quoi il n'y aurait plus assez de mots dans toutes les langues du monde, plus assez d'arbres pour en extraire le papier nécéssaire et jamais assez d'électricité pour fournir la quantité d'octets requis pour dire tout le mal que l'on pense d'eux, à tort ou à raison.

Mais ne nous y trompons pas : sur chaque vocable prononcé pour les conchier (quelle que soit la langue), sur chaque caractère écrit ou imprimé pour les agonir et sur chaque octet utilisé pour leur chier sur la gueule, les jouifs prennent un pourcentage (forcément exorbitant, on est jouif ou on ne l'est pas). Ils sont vraiment malins : même de les roulez dans la merde sert "in fine" leurs indicibles intêrets cosmiques (lesquels sont absolument contraire aux notres, mais est-ce utile de le préciser).

D'ailleurs, il parait que le cousin germain du voisin de palier de Gutenberg était jouif et que donc l'imprimerie a été en partie concue par eux dans le but patent et évident de contrôler TOUS les esprits, vivants ou morts, depuis 600 ans, tu vois ? Et la preuve que c'est vrai, c'est que c'est justement un jouif qui le dit, et ça, ben c'est justement la preuve récursive au carré de la véracité de cette vérité, tu vois ?

Bon, allons retrouver nos potes mahométans afin qu'ils nous expliquent enfin comment on se fait pousser des poils histoire de bien montrer qu'on est pas des pédés, nous (pour le greffage de couilles, c'est dans le chapitre suivant, celui que parle de "Servir l'Homme" (http://fr.wikipedia.org/wiki/Pour_servir_l%27homme))

Écrit par : snake | 11/12/2014

@Snake

Le plus simple c est de ne pas lire tous ses délires, sortis d un cerveau tres différent des notres.....
Tant de haine, devient pathologique. Mais comme tout le monde le sait il y a tres peu de différence entre l amour et la haine. Un simple amour contrarié, un lointain parent dont on a honte ....

Écrit par : libherT | 11/12/2014

Cette façon de déconner à tort ou à travers ("divagation" en vieux français) n'a pas fini d'être populaire parmi les Français, n'est-ce pas ? Je me réjouis de ne pas en être.

Écrit par : Oscar | 12/12/2014

Je me demande bien ce qu'il y a aux infos du Bouthan ou du Laos...
La météo, du sport ? des trucs culturels, quelques infos locales comme celles qu'on peut avoir chez nous dans un magazine municipal et peut-être quelques infos internationales qui doivent leur paraître bien étranges.
Heureux peuples classés parmi les moins "antisémites" du monde selon un classement juif très officiel (si si ça existe, les français y sont classés en tête, étonnant ;-).
Il faut dire qu'ils n'en subissent pas beaucoup pour se faire une idée :-)

ps un serpent en liberTé, c'est difficile à suivre, ça rampe en zig-zag ;-)

Écrit par : S10 | 12/12/2014

Tous préférences politiques confondues, le temps de réflexion moyen semble réparti de la façon suivante chez ceux qui ont le loisir de s'y addonner plus que de raison :

- 47% sémitisme
- 47% antisémitisme
- 5% non-sémitisme et/ou a-sémitisme
- 1% tout le reste

Non pas que je sois un autiste pathologiquement attaché aux proportions strictement égales, loin de là, mais une telle disproportion mérite tout de même d'être signalée.

Écrit par : snake | 13/12/2014

2 phrases a mediter ...

Ils sont grand car nous sommes a genoux.

Le pouvoir reviens au peuple.

Maintenant par lacheter on peut toujours blamer les autres de sa petitesse.
Ou bien prendre son destin en main, se lever et montrer l exemple.

Devenir grand ...

Écrit par : libherT | 14/12/2014

"Cette façon de déconner à tort ou à travers ("divagation" en vieux français) n'a pas fini d'être populaire parmi les Français, n'est-ce pas ?"

Le verbe "divaguer" n'est pas exactement ce que l'on pourrait qualifier comme étant du "vieux français". Une telle affirmation pourrait TRÈS éventuellement découler du TRÈS jeune âge de la personne qui l'énonce, mais, à 45 ans, je n'ai clairement pas le sentiment d'être né et d'avoir vécu au XIIème siècle (quoique : j'ai connu les disquettes 5" 1/4, lesquelles, comme chacun le sait, ont été inventées lors du Mésozoïque).

"Je me réjouis de ne pas en être."

Que Dieu nous en garde !

Écrit par : snake | 17/12/2014

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