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24/11/2013

cirque mortifère

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"(...) Un autre aspect de cette affaire, peut-être encore plus intéressant, est le fameux PPP (partenariat public privé) signé entre une société capitaliste italienne et des politiciens français, dont la plupart ont subitement et récemment été frappés d’amnésie.

Encore une fois, je vais me tresser des lauriers, car sans rien savoir sur cette affaire, mon intuition a bien été la bonne. Comme Mediapart l’a révélé, tout dans ce contrat est scandaleux, que ce soit dans son principe même ou dans la débauche technologique qu’il met en œuvre.

Quoi qu’on dise, tous les signataires politiques de ce contrat sont des pontes de l’UMP. J’espère qu’ils seront jugés. Honte à eux, honte à ce parti de nuisibles qui a déjà fait tant de mal à la France.

J’ai écouté attentivement l’une des coupables, NKM, sur France Inter l’autre matin (les équipes techniques terminent tout juste la réparation du parquet rayé par ses déplacements). Au lendemain de la révélation par Médiapart du contenu du contrat Ecomouv et de l’identité des signataires, elle qui était venue parler de son programme pour Paris (qui comme tout programme de campagne électorale, ne débouchera sur rien) était donc en quelque sorte sur le banc des accusés. Hargneuse. D’autant que la rivale que la presse lui a désignée, Anne Hidalgo, en avait profité pour enfoncer. Au passage, cela repose la question de la démocratie lorsque des mois avant le vote, on sait déjà que le maire de Paris sera o-bli-ga-toi-re-ment, quoi qu’on vote, Hidalgo ou NKM, simplement parce qu’à elles deux elles ont mille fois plus de couverture médiatique que tous les autres réunis. Bref.

NKM se fout de Paris et des Parisiens : elle ne considère la mairie que comme un tremplin vers l’Elysée, seul poste à ses yeux digne d’elle.

NKM est intelligente. Très. Elle n’a donc même pas l’excuse dont nombre de ses collègues peuvent se prévaloir, à savoir d’être trop cons pour comprendre ce qu’on leur fait dire ou signer. Non, ce qu’elle a approuvé, non seulement elle l’a compris, mais c’est parfaitement dans sa ligne : l’argent gagné par les entreprises privées est la chose la plus importante au monde. Tout argent gagné par le privé sur le dos du public est une victoire idéologique. Elle n’a même pas cherché à nier sa responsabilité, préférant tenter de mouiller sa rivale Hidalgo dans la même affaire.

Cela dit, elle a soulevé des objections tout à fait valables. Une simple taxe sur le carburant, comme j’avais suggéré dans mon précédent billet, se heurte à un détail pratique : les camions, en plus d’être conduits par des chauffeurs de plus en plus roumains, de moins en moins payés et de plus en plus exploités, embarquent des réservoirs de plus en plus gros : 1000 litres ou plus. Avec une consommation de 30 à 40 litres/100km, ils peuvent effectivement traverser la France sans y ravitailler.

Est-ce une raison pour abdiquer et se rendre à la logique capitaliste technoscientiste qui commande de mettre en œuvre un barnum informatisé délirant et hors de prix, dans le seul intérêt d’un groupe privé, étranger de surcroît?

Une chose est sûre, même si ce n’est pas simple, même s’il n’y a pas de solution idéale, on aurait pu réfléchir un minimum.

Tiens, la solution suisse : la vignette. Tout poids lourd circulant sur le territoire français devra s’acquitter d’une vignette écotaxe annuelle, indépendante du kilométrage parcouru. Il ne doit pas être très difficile de fixer son montant en fonction du gain financier annuel attendu, par exemple un milliard d’euros. On pourrait même en faire de plusieurs couleurs (locale, nationale, internationale…), et en moduler le prix en fonction de la taille du camion. Coût de mise en œuvre : insignifiant. Contrôles par la maréchaussée ou les gabelous, au même titre que les contrôles “normaux”. Rendement pour l’Etat : maximal.

Et même si des régions peuvent se sentir défavorisées par leur situation (comme la Bretagne), il serait possible de faire des péréquations entre régions.

Il est assez jouissif de voir que Copé et sa clique, ou encore Xavier Bertrand (qui, ne riez pas, a décidé d’être candidat en 2017 et attend son heure), qui ont réalisé que ce sont principalement Fillon et ses sbires (Pécresse, Baroin…) qui vont être éclaboussés dans le scandale (évidemment, ce sont eux qui étaient au gouvernement et qui signaient…) ont vu une lumière perfide (en même temps, “Copé”, “perfide”, scusez le pléonasme) illuminer leur regard et immédiatement décelé un potentiel électoraliste à cette bouffonnerie : ils se désolidarisent hypocritement (oui, je sais, “Bertrand”, “hypocrite”….) de leurs “camarades”. Alors que bien évidemment, l’ultralibéral Copé et l’ami des zentrepreneurs Bertrand auraient signé le truc des deux mains. Tout comme l’auraient fait les “socialistes”, il n’y a qu’à voir la triste et lamentable affaire de Notre-Dame-des-Landes.

Le problème il est toujours là : nous élisons des gens pour nous représenter ou défendre nos intérêts, et sitôt élus la plupart d’entre eux se comportent au contraire comme de gros enfoirés qui touchent de gros salaires (sinon de grosses commissions sur des comptes offshore) pour aller bouffer avec des lobbyistes et pondre des lois dans l’intérêt de ces lobbies, souvent même dictées par eux et qui sont totalement contraires à nos intérêts.

Comment des gens comme Sarkozy, Fillon, Borloo, NKM, Pécresse, Baroin, Mariani… ont-ils pu signer un contrat de plus de 1000 pages, rédigé par une armée d’avocats spécialisés, et qui contenait sans doute des centaines de clauses entubatoires, alors qu’il n’y avait même pas besoin de lire la première pour voir que tout était foireux ? Ultime bizarrerie, la signature finale a eu lieu le dimanche du second tour de la présidentielle de 2012… Ces gens sont soit des neuneus, soit des jobastres, soit des corrompus. Et l’un n’exclut pas l’autre. Que ces gens, tous à l’UMP, veuillent foutre Hollandréou dehors, c’est humain. Mais qu’ils osent se poser en recours, compte tenu de leur bilan apocalyptique (1 million de chômeurs et 600 milliards de dette supplémentaires) et de ce qu’on découvre ici, c’est tout simplement indécent.

Au début des années 2000, certains financiers avaient réussi à convaincre leurs semblables qu’il fallait écouter les écolos. Non pas qu’ils fussent écolos eux-mêmes, faut pas déconner, non plus. Mais ils avaient cyniquement réalisé que laisser l’environnement se dégrader inexorablement, et notamment le climat se réchauffer, allait coûter beaucoup plus cher que les mesures à prendre pour éviter l’apocalypse. D’où la prise de conscience du réchauffement climatique, la gloire éphémère du loser Al Gore, l’omniprésence de l’hélicologiste Hulot, et le cinéma de Sarkozy qui allait déboucher sur la comédie du “Grenelle de l’Environnement”, dont on se demande bien quelques années plus tard ce qu’il en est resté. Les sommets environnementaux se succèdent, avec leurs lots de déclarations la main sur le cœur, mais sans lendemain.

Pour le reste, c’est “business as usual”. Les politiciens font mine de se disputer sur les moyens de “favoriser le retour de la croissance”. Les uns, les libéraux, pensent qu’il suffit de laisser les riches devenir plus riches, de supprimer les impôts, les “charges”, les règlements et les fonctionnaires, pour que, de toute évidence, le monde aille mieux. Si ce n’était pas aussi dramatique, cela prêterait à sourire. Pourtant, c’est bien le courant de pensée qui a le vent en poupe.

Les autres, ce qu’on appelle “la gauche”, en sont restés aux schémas en vigueur dans les années 1950-60, pensant que de bons salaires, de bonnes retraites, de bonnes allocations, allaient pousser les gens à “consommer”, et à entraîner mécaniquement la production de bagnoles, de béton, d’électricité : la “croissance”.

Tous se trompent. Ça fait des années que je le hurle, ici et ailleurs : la seule solution possible, c’est la sortie de cette logique. Appelez ça comme vous le voulez, décroissance, objection de croissance, l’essentiel est d’arrêter ce cirque mortifère. (...) suite/source (une découverte ce blog, passionnant, via Infos du nain)

Commentaires

Ceux qui ne sont pas d'accord avec, au choix, le grand remplacement, le mariage (des pédophiles) pour tous, l'augmentation (de l'escroquerie) fiscale, etc, etc, sont traités de nazis, de fascistes, etc.
Cf Pierre Bergé sur la MPT, bhl sur les impôts, tous sur le grand remplacement (que l'on peut appeler génocide des Blancs ou chance pour la France selon comment on se situe).
Il viendra (bientôt) un moment où les (vrais) écolos seront aussi traités de nazis, de fascistes, etc.
C'est assez vrai finalement. D'ailleurs personnellement je me sens très écolo :-)
La vraie écologie, la vraie défense de la diversité, de l'harmonie avec la Nature, est forcément traditionaliste (attachée aux traditions), raciste (ou racialiste comme on veux), séparatiste, anti-capitaliste et anti-communiste (dans le sens anti grosse machine dingue qui pollue tout, des gaz de chiotte US à la catastrophe écologique chinoise).
Si on peaufine dans le détail, la vraie écologie est localiste, donc anti-internationaliste, donc "antisémite". Elle s'oppose aux agents dissolvants, métisseurs, mondialistes, aux vendeurs de pantalons à une jambe, à la banque, aux menteurs multi séculaires.
hulot, sarkozy, al "gore", nkm, copé, hidalgo, borloo...
Bien sûr, pécresse, fion, mariani, bertrand, méritent le même sort que ceux qu'ils ont choisi de suivre en trahissant leur peuple.

Écrit par : S10 | 24/11/2013

(C'est une photo de Conrad Veidt ?)

Écrit par : JÖ | 24/11/2013

Superno est un blogueur degôche plutôt clairvoyant.

Dans le même sens (avec réserve, car Rougeyron est un souverainiste qui feint de ne pas comprendre que l'ennemi est aussi national qu'international, si bien qu'en réalité l'UE n'est qu'une émanation, pas une réelle superstructure) :

http://www.dailymotion.com/video/x17b80n_pierre-yves-rougeyron-sur-l-etat-de-l-economie-bretonne_news

Écrit par : Boreas | 24/11/2013

Reserve sur la personne de rougeyron. Expérience negative de camarade 1/4 juive avec lui.

Écrit par : Three piglets | 24/11/2013

Rougeyron n'aime pas les ensorceleuses ? ;-)

Écrit par : S10 | 24/11/2013

Et quand on pense aux pouvoirs qu'ont de telles engeances… Mais ce n'est pas nouveau. Je résume : elles ont tous les pouvoirs et une tripotée de gardes du corps. Des questions ?
Bien à vous

Écrit par : Martin-Lothar | 24/11/2013

Pas de salut dans une "république" dont les territoires occupes organisent ces territoires perdus qui s'étendent à proportion sur notre sol...si les patriotes francisais et européens ne trouvent pas le moyen de reprendre le contrôle de leur destinée en virant cette oligarchie libérale, nous mourront. Mais aussi forts que soient nos imprecateurs, ils ne le sont que de notre faiblesse. Pour combien de temps?

Écrit par : hoplite | 24/11/2013

(Cette photo va me faire faire des cauchemards ! Heureusement que vos pin ups habituelles sont pas si loin...)

Écrit par : JÖ | 24/11/2013

@ Hoplite : je cite : "oligarchie libérale". C'est bien la peine que je me troue le cul à commenter sur votre blogue hein ! Vous ne me lisez même pas. Je vous hais, tiens. Bien à vous (quand même ^^)

Écrit par : Martin-Lothar | 24/11/2013

extraordinaire cette photo, on y reconnait l'expression de l'indéniable empreinte génétique des Borgia ...
si les parisiens on un reste de raison, ils se tiendront à l'écard de ce calice où l'on perçoit le poison ...
mais on est en droit de craindre le pire d'un groupe humain qui à livré son destin collectif à homme à la personnalité aussi particulière que Delanoé.... enfin, qui vivra verra ...

Écrit par : Dimezzano | 25/11/2013

@ Dimeezano : je pense la photo un peu retouchée. Mais la retouche n'a fait qu'amplifier un trait existant, c'est indéniable.
On pourrait légender la dite-photo avec les fortes paroles de Kaa dans le "Livre de la jungle" : "fais moi confiance...."
Ben....non, ça ne me dit rien.

Écrit par : Popeye | 25/11/2013

"Vous ne me lisez même pas. Je vous hais, tiens. Bien à vous (quand même ^^)"

pff, Martin, je lis tout le monde même si je ne réponds pas à chaque comm.

Par ce terme d'oligarchioe libérale, j'entends cette classe politique/médiatique/culturo-mondaine/économique occidentale qui a depuis 40 ans au moins abandonné en rase campagne toute critique sociale et toute critique du capitalisme globalisé adossé à cette finance globalisée coupée de l'économie traditionnelle et qui nous mène à la faillite par stupidité, corruption et moutonisme.

Ces hommes et ces femmes au comportement criminels sont les enfants de constant et de Friedman ou d'Adam Smith, nolens volens. D'ou ce terme "libéral" qui parait impropre à tous les thuriféraires de la geste libérale, cette utopie d'émancipation et de liberté.

le débat reste ouvert chez Hoplite, bien sûr..

Écrit par : hoplite | 25/11/2013

merci Boréas:

"Les auteurs de La Gauche bouge assument le tournant néolibéral masqué sous le thème de la « rigueur » : « En réhabilitant, non sans opportunité, l’entreprise et la réussite, la gauche, avec l’ardeur du néophyte, retrouve des accents que la droite n’osait plus prononcer, depuis des lustres, de peur d’être ridicule. Mais prenons garde d’en faire trop : pour faire oublier nos frasques égalitaristes, ne gommons pas notre vocation sociale » (page 50). Et le cynisme continue : « Ce n’est pas par calcul ou par malignité que la gauche a accepté de laisser fermer les entreprises ou d’entamer le pouvoir d’achat des Français. C’est par lucidité. Refuser ces évolutions et c’en aurait été fait de la perspective d’une gestion régulière du pays par la gauche » (page 53). Finis les idéaux politiques, bienvenue à l’expertise et à la gestion avec les postes et les positions de pouvoir liés à une alternance entre la droite et la gauche en harmonie avec le néolibéralisme anglo-saxon, ses « démocrates » et ses « républicains » aux États-Unis, ses « travaillistes » et ses « conservateurs » au Royaume-Uni. « Depuis 1981, une redistribution des cartes s’opère sous nos yeux. Elle traduit l’aspiration croissante des Français à refuser les alternances brutales, et à voir se dégager entre deux grands projets de société, l’un conservateur, l’autre réformiste, les compromis nécessaires sur la gestion de l’économie comme du système de protection sociale, sur la construction européenne comme sur les grands axes de la politique internationale […]. Face à un Parti communiste qui se durcit et se marginalise dans une opposition radicale à la social-démocratie, le Parti socialiste retrouve les marges de manœuvre nécessaires pour s’affirmer comme le pôle essentiel de rassemblement des réformistes et des modernistes » (pages 121-122). L’alternance doit désormais apparaître naturelle, normale et durable. « Il n’y a donc plus pour les socialistes de perspective concevable d’union avec le Parti communiste français » (page 148). C’est tout naturellement que le club des cinq se revendique « libéral de gauche » (page 152). (...)"

effectivement la compromission est totale. CQFD.

Écrit par : hoplite | 25/11/2013

"si les parisiens on un reste de raison, ils se tiendront à l'écard de ce calice où l'on perçoit le poison ..."

oui mais le truc est que, par la grâce de la "démocratie libérale", les parisiens n'auront le choix qu'entre deux candidates strictement superposables sur les choix essentiels et donc cooptées naturellement par le Système: c’est plus pratique, on gagne à tous les coups...

Écrit par : hoplite | 25/11/2013

"on gagne à tous les coups..."

Manque plus qu'un finacement transparent a l'americaine ou le meme lobby paie pour les deux candidats.

C'est trop transparent, j'exagère...

Écrit par : JÖ | 25/11/2013

comme disait Murray, c'est moderne festiviste contre moderne anti-raciste...moderne contre moderne, pas de surprises..Paris-plage contre la Marche des fiertés..

Écrit par : hoplite | 25/11/2013

@ Boreas : je cire : "Pour faire enrager Martin-Lothar".
Et de me causer de François Bidule !
Pff ! même pas mal ^^ !
Trouvez autre chose, mon Cher.
Bien à vous.

Écrit par : Martin-Lothar | 25/11/2013

Et rat homme : "Je cite" (pas "je cire" hein !) Quoi que…

Écrit par : Martin-Lothar | 25/11/2013

Et les liberaux qui n ont toujours pas compris que le développement de l etat suit inexorablement celui du marché qu il venere... tiens, j ai trouve une phrase extrêmement intéressante l autre jour. Je ne vous donne pas l auteur, le jeu est de le trouver.

Écrit par : Three piglets | 26/11/2013

"Nous travaillons en ce moment à réduire notre budget d'Etat, à comprimer notre appareil d'Etat. Tout à l'heure je dirai encore quelques mots de notre appareil d'Etat. Nous devons, en tout cas, le comprimer, nous devons économiser autant que faire se peut. Nous économisons sur tout, même sur les écoles"

Écrit par : Three piglets | 26/11/2013

Lénine.

Écrit par : Boreas | 26/11/2013

Vu.
Normalement, le liberal moyen, autrement dit le petit bourgeois , se tord de douleurs ideologiques a cette révélation.

Écrit par : Three piglets | 26/11/2013

Comme si les libéraux pouvaient ignorer que Marx considérait l'Etat comme oppressif et voulait donc, comme les classes sociales, le faire disparaître...

Autres motifs (quoique...), mais même objectif que les anarcho-libéraux.

Écrit par : Boreas | 26/11/2013

Je ne suis certain que les libéraux lisent la littérature marxiste.

Écrit par : Three piglets | 26/11/2013

"se tord de douleurs ideologiques a cette révélation."

lol..

Écrit par : hoplite | 26/11/2013

L'état devait disparaître quand la domination d'une classe sur l'autre aurait disparu, puisqu'il était l'instrument de cette domination.
Plus de classes antagonistes ⇒ plus d'état

Écrit par : Carine | 26/11/2013

Au sujet de l'état, Marcel Gauchet rappelle, dans la démocratie contre elle-même, que les libéralismes économique (le marché) et sociétal (les droits de l'homme) ne vivent qu'une fois que l'état s'est débarrassé des corps intermédiaires et que tant que l'état, bien que transparent, multiplie les règlements pour qu'ils prospèrent.

Écrit par : Sven | 26/11/2013

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