05/01/2017
fuck
"Le fondateur de Terra Nova tombe pour pédophilie, la presse française muette.
Pourquoi ce silence ? Est-ce pour ne pas ternir par ricochet le soleil d’Arnaud Montebourg ?
On enterre, aujourd’hui, François Chérèque, ex-patron de la CFDT et président de la « fondation progressiste » Terra Nova. Coïncidence de l’actualité, Christophe Bejach, l’un des fondateurs et ancien vice-président de cette boîte à idées du Parti socialiste, vient de tomber, à Londres, pour pédophilie. Faut-il, alors, imaginer que c’est pour ne pas troubler ce moment de deuil et de recueillement que tous les médias officiels français n’en ont touché mot ?
Christophe Bejach, 53 ans, est ce que l’on appelle une pointure (et peut-être, aussi, un « pointeur », comme on dit dans certains quartiers de Fresnes et d’ailleurs). Sa bio sur Terra Nova nous explique, en effet, que ce brillant « ingénieur et titulaire d’un MBA du Groupe HEC (ISA) a effectué une carrière orientée vers l’investissement dans des entreprises cotées ou non cotées, en France, aux USA et en Asie ». En 2012, il rejoignait l’équipe d’Arnaud Montebourg, devenu ministre du Redressement productif, en tant que conseiller sur l’Aérospatial, la Défense et l’Énergie. Mais surtout productif pour lui-même, Christophe Bejach s’est essentiellement fait connaître comme créateur de la société L’Avion, revendue à British Airways pour 68 millions d’euros.
Ce strauss-kahnien « historique » ne partageait pas, avec son mentor, que des idées. Il semblerait qu’ils avaient aussi en commun quelques connections obsessionnelles entre le cerveau et le pantalon, mais si Strauss-Kahn s’en prenait à des femmes adultes, M. Bejach montrerait quant à lui une nette préférence pour les fillettes. En témoigne sa condamnation, le 14 décembre dernier, par un tribunal britannique à « 9 mois de prison avec sursis pendant deux ans pour un premier chef d’accusation d’offense sexuelle sur enfant mineure et trois autres chefs d’accusation pour possession de photographies d’enfants indécentes ».
Christophe Bejach s’est fait pincer par un agent de police en civil, Sadie, qui s’est fait passer pour la mère de trois fillettes de 8, 10 et 12 ans sur lesquelles il avait jeté son dévolu. Ayant acheté sur Amazon « un stock de petites lingeries pour faire des photos de nus érotiques », Bejach a « décrit ses fantasmes sexuels à Sadie, la présumée mère des filles, qui malheureusement pour lui était en fait officier de police travaillant à la surveillance de la cyber-pédophilie ». Interrogé par le tribunal pour savoir « s’il avait eu quelques intentions d’avoir des rapports sexuels avec les filles avant le rendez-vous de l’hôtel Cumberland, Bejach a répondu “Avant d’avoir eu ces pensées : oui” », rapportent le Daily Mail et l’Evening Standard. Outre ces faits, on a également trouvé dans l’ordinateur de ce brillant homme d’affaires des dizaines de photos à caractère pédophile, dont certaines de catégorie A, c’est-à-dire « dépeignant l’activité sexuelle pénétrante ». Ayant réussi à éviter la prison, Christophe Bejach devra signer « le Registre des délinquants sexuels pendant dix ans, son ordinateur a été confisqué [ndlr : pour les photos] et il devra payer £1,200 de frais de tribunaux. Il a préalablement payé une caution de £100,000 à la Cour et remis son passeport aux autorités », écrit la presse britannique.
Voilà pour les faits. Maintenant, la question qui fâche : qui, en France, a parlé de cette histoire ? Qui a écrit une ligne sur le sujet ? Aucun des médias officiels : pas un mot en radio, pas un mot sur les chaînes d’info, pas un mot dans la presse. Les seuls à l’avoir évoquée sont ceux qu’on range commodément dans la « fachosphère » : Fdesouche, Le Salon beige et TV Libertés et, dans un autre genre, le site Au féminin, qui recense les affaires de pédophilie.
Pourquoi ce silence ? Est-ce pour ne pas « gêner » les primaires de la gauche, ne pas ternir par ricochet le soleil d’Arnaud Montebourg, épargner Terra Nova, ne pas plomber davantage un Parti socialiste moribond ? Ou bien parce qu’un Strauss-Kahn + un Bejach, c’est plus qu’on n’en peut supporter de la part de cette classe politique pourrie ?" Source
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Pourquoi?
Pute ou chômeur, faut choisir, comme dit AS.
Comme c'est pas un curé ou un Chti, mais une éminence feuj du Parti Du Progès et De La Lumière, ben on ferme sa gueule. Tapin, donc.
CQFD.
22:08 | Lien permanent | Commentaires (38)
Commentaires
http://www.fdesouche.com/807689-axelle-19-ans-defend-une-handicapee-et-se-fait-frapper-au-mcdo-personne-na-reagi
Moi d'accord avec les posts 9/11/16/31/68/73 et surtout les posts 61 et 65, tandis que les posts 14 et 25 me font regarder avec de moins en moins d'aménité les droitards à l'ancienne, avec avatars de croisés et de héros de la seconde guerre mondiale.
Alors qu'avant, cela aurait été l'inverse.
Dans le même registre, il m'est arrivé de conspuer ceux d'entre nous qui envisager d'émigrer. J'ai changé d'avis là-dessus aussi.
Écrit par : UnOurs | 06/01/2017
Répondre à ce commentaire1) dire que la délinquance, c'est l'affaire des flics, pas du pékin moyen
2) penser très fort que les 15 zindividus étaient un peu divers, et qu'il est bon d'être un aplaventriste
3) voter FN
Écrit par : Calliclès | 06/01/2017
Écrit par : UnLorrain | 06/01/2017
Répondre à ce commentairerien de neuf. quant à partir? pour aller ou?
Écrit par : hoplite | 06/01/2017
Répondre à ce commentaireÉcrit par : EQUALIZER | 06/01/2017
Répondre à ce commentaireJe n'ai pas insisté. Pas à moi de retenir quelque chose qui s'effondre.
Écrit par : UnOurs | 06/01/2017
Répondre à ce commentaireSinon tu as raison, on peut pas retenir un truc qui s'effondre.
Écrit par : hoplite | 07/01/2017
Dans l'ordre du rêve, dans ce genre de coin.
Arrière-pays perdu, ciel gris, jolie maison:
https://www.instagram.com/p/BNnu6bGAHDd/
https://www.instagram.com/p/BMFgIZAgfJC/
Jolie poulette:
https://www.instagram.com/p/BNZy3n0g-cQ/
https://www.instagram.com/p/BJYBLvHhtL5/
Des moutards, de bons gros connauds de clebs:
https://www.instagram.com/p/BL5DWVTAbUu/
A ce niveau-là d'idéal, ils font quasiment de la provocation:
https://www.instagram.com/foxmeetsbear/
https://youtu.be/R1wAXsbVlHE
Écrit par : UnOurs | 06/01/2017
Répondre à ce commentaireÉcrit par : hoplite | 07/01/2017
Écrit par : Hugues capet | 06/01/2017
Répondre à ce commentaireTrente ans et plus que j'habite la frontière (un grand port du sud de la France...). Trente ans et plus avec pour seul crédo: le terrain, occuper le terrain et ne rien céder en attendant ze big day qui n'est jamais venu. Ma ville, en dehors des zones d'occupation, est un patchwork de communautés à l'identité marquée, et qui ont, pour la plupart, gardé en mémoire la douloureuse expérience de la promiscuité sur territoire réduit et saturé de musulmanose (grecs d'orient, libanais maronites, juifs, corses, arméniens, pieds-noirs, ritaliens, espingouins, etc.). Trente ans et plus à observer l'autre s'installer, faire son nid et conquérir la place, rue après rue, parfois à coup de surin, plus souvent et simplement à coup de kébab ou de parpaings de chit. Trente ans et plus, à voir son territoire rétrécir chaque jour qui passe. Et qu'on fait mes "concitoyens", à qui leur a pourtant été donné tout le temps pour voir venir, de loin et en sabots fluos, le bousin multicolore ? Ils ont fui le centre ville pour s'entasser dans des zones résidentielles digicodisées et reconduit récemment (avec majorité absolue au conseil municipal) pour un quatrième mandat, le dernier
avatar semi-paraplégique d'une classe politique sous pagnolesque. Alors autant dire que l'idée de déserter cette poubelle à ciel ouvert m'occupe l'esprit et me pose de moins en moins d'états d'âme. Continuer à me battre et à m'abîmer pour ce ramassis de crevards et de futurs dhimmis ? c'est bon, j'ai donné. Tout semble indiquer que ce qui s'est produit dans ma
région, va se produire partout en France avec dix ans de décalage. Me dire que l'histoire n'est jamais écrite d'avance ne suffit plus. L'histoire, chez moi, elle est déjà torchée, et dans une langue qui n'est pas la mienne.
Mon angoisse, c'est de tout recommencer un peu plus loin et de voir un jour le merdier me rattraper, façon "187 code meurtre". Donc va falloir, en ce qui me concerne, pousser un peu plus et les pistes, nous les connaissons à peu près tous: pour ceux qui aiment se peler le cul (une partie de l'Europe de l'est, l'Islande, le Groënlol, certains Etats blancs
d'Amérique du Nord, la pointe sud de l'Amérique du Sud) et pour les plus frileux (côte Atlantique du Pays-Basque à Lisbonne, certaines régions d'Australie et de Nlle Zellande, axe Montevideo-Buenos Aires-Santiago Chl). C'est maigre, mais c'est toujours mieux que d'être un pygmée ou un inuit.
Écrit par : Anton | 07/01/2017
Répondre à ce commentaireÉcrit par : EQUALIZER | 07/01/2017
Je sais plus si j'ai déjà raconté cette anecdote ici.
Quand j'ai déboulé dans ce bled de merde le choc a été ultra brutal.
Je bossais au début du boulevard des dames, près de la porte d'Aix, derrière le conseil général. Un putain d'acte manqué sans doute... Je pense que tu vois le décorum.
Chaque jour je devais me taper la rue de la république encore en travaux. Que des bougnoules à la peau bien luisante dès le matin et sur le trajet le triptyque : kebab + taxiphone + supérette de crouille suivi de 3 commerces fermés, et ça se répétait tout du long. Quasiment aucun blanc. Les 70% de blancos de la ville pour moi c'était des conneries.
Et un jour un accident de circulation place Sadi-Carnot. Le bruit fait que les gens dans les appart étaient à leur fenètre et là, stupéfaction. A chacune d'entre elle que des blancs. Je dis bien QUE CA. Par dizaines. Tous reclu chez eux en fait, donc forcément aussi tous conscient du problème.
Jamais su trop quoi en tirer. Parfois c'est justement une raison d'espérer et parfois c'est exactement l'inverse.
Écrit par : Cotuatos | 07/01/2017
Mais si tu es si vieux t'as bien assez de recul pour voir que ça n'a jamais été si proche de basculer non plus. Jamais.
Jusqu'en 90 les bougnes et les pneus pour en voir fallait aller trainer dans leur zone ou y habiter. Sans ça ça restait pour la quasi totalité de la population une abstraction, un truc à la télé, un débat en famille.
A partir de 90/91 ils déboulent en masse dans les centre ville. C'est le tournant. Mais au début ça touche surtout les jeunes qui doivent cohabiter avec eux à l'école, dans les soirées etc... A la fin de la décennie tout le monde est touché. Pas un français n'est pas au courant, n'a pas du adapter son style de vie, n'a pas eu sa gentille expérience avec la diversité. 2002 LePen arrive au 2ème tour, 2017 au moins 1 ans avant l'élection, pas un sondage ne donne MLP absente du 2ème tour.
Alors c'est pas "demain le Reich de 1000 ans" mais c'est peut petre nous qui captons plus très bien le vrai temps de l'Histoire.
Écrit par : Cotuatos | 07/01/2017
Jamais su trop quoi en tirer. Parfois c'est justement une raison d'espérer et parfois c'est exactement l'inverse."
intéressant. sur un plan anthropologique je veux dire.
au fond, c'est la cuisson lente qui fait le job. bcp de nos compatriotes pourraient bouger si le bordel était plus visible.
mais il me suffit de regarder autour de moi (pas que le politburo libéral de mes potes et familles mais aussi les masses de gens ordinaires que je vois défiler pour le boulot): naifs+ mal informés+ soumis à mort au PC= ça bouge pas.
Écrit par : hoplite | 07/01/2017
Écrit par : EQUALIZER | 07/01/2017
A l'instant même où j'ai cliqué sur "publier", j'ai ressenti une forme de gêne en pensant à vous (si, si) et aux plus anciens qui ont vu le merdier s'installer et qui sont encore là, débout, sans pleurniche. Mais comme je disais plus haut: de moins en moins d'états d'âme; surtout quand j'observe la majorité des "blancs au balcon" dont parle Cotuatos. Ce sont ceux-là même qui, en grande partie, me (vous) traitent de facho quand je leur dis qu'il y a urgence à sauver leur peau (et je ne suis même pas 100% européen...).
@Cotuatos
Salut compatriote. La rue de la République, c'est là où j'ai atteri dans les années 80... Tous les jours la descendre, traverser Belsunce (breakdown) puis remonter rue d'Aubagne pour se rendre au bahut. Déjà le vertige avant la nausée. Des anecdotes en pagaille aussi, comme cette amie antiraciste et progressiste qui en a eu marre de se faire taxer de pute (parce qu'elle rentrait seule tard la nuit chez elle en centre ville) et qui n'en a jamais tiré aucune conclusion, à part se bousiller un jour d'hiver 2012.
Il y a encore cent ans, un français mettait au pas dix algériens, chez eux, au bled. Aujourd'hui, un algérien est capable d'embrouiller et de mettre à l'amende dix blancos dans un pays de blancos (et avec le soutien d'une majorité de blancos...) sans avoir grand chose à craindre. J'exagère à peine. Ca me coûte de le dire et j'espère me tromper, mais le "vrai temps" de l'histoire c'est le rapport de force démographique. Après, oui, il y aura un sursaut des peuples européens, celui de la bête acculée... Espérons qu'il suffira à sanctuariser quelques territoires.
Écrit par : Anton | 07/01/2017
Écrit par : EQUALIZER | 07/01/2017
Dans ces conditions, partir n'est plus une lâcheté. Car, quelles seraient les options? Ne rien faire et rester pour la "gloire"? Inutile. En faire un peu et passer au mieux pour un extrémiste (mort sociale) au pire pour un cinglé? Inutile. En faire beaucoup et finir en taule ou au cimetière pour, au final, un truc qui renforcera la dialectique du système? Inutile.
Simplement, quand un niveau d'identité disparaît (ici, la nation pour moi), descendre au niveau inférieur, en l'occurrence l'ethnie. Je dirais donc pour les Blancs dont je suis, comme le général Souvorov disait en quittant Moscou en flammes: "nous devons abandonner Moscou, mais la Russie sera partout où nous sommes".
Si j'avais vingt ans de moins, je n'hésiterais pas.
Je me trouverais un coin perdu, une jolie maison et tout ce qui va avec (comme dans les liens donnés plus haut) et je travaillerais activement et dans les faits à la survie du peuple blanc.
Écrit par : UnOurs | 07/01/2017
Répondre à ce commentaire1/ le principal employeur de Bejach est Rothschild (Executive Board de la Compagnie Financière Saint Honoré ou via les fonds ERES et ERES2)
http://monumentcapitalgroup.com/company/team/christophe-bejach/
2/ Christophe Bejach a été prévenu du "piège" par une personne bien informée.
http://www.brujitafr.fr/2017/01/un-ancien-conseiller-de-montebourg-condamne-pour-pedopornographie-au-royaume-uni.html
Écrit par : dizemanov | 07/01/2017
Répondre à ce commentaireÉcrit par : dizemanov | 07/01/2017
Répondre à ce commentaireÉcrit par : EQUALIZER | 07/01/2017
Répondre à ce commentaire- au soleil , regardez comme ses bras vont morfler ! on pourrait poursuivre ses parents pour provocation à l'apparition d'un mélanome
- aux microparticules
- aux produits décolorants , à la fois sur les cheveux et aussi sur le filtre de la cibiche...
pas bien glorieux , tout ça....
Écrit par : kobus van cleef | 08/01/2017
Écrit par : hoplite | 07/01/2017
Répondre à ce commentaireÉcrit par : Cotuatos | 07/01/2017
Écrit par : hoplite | 07/01/2017
https://youtu.be/L8hX7xpRt84?t=31m53s
Tout est une question de "fenêtre de tir".
Prenons l'affaire Breivik, en faisant abstraction de ses considérations morales.
On peut difficilement déployer un événement de plus forte puissance émissive de sens, mais, hors "fenêtre de tir": pas d'effet concret, pas moins d'immigration allogène en Norvège, pas moins de cosmopolitisme en Norvège, il y en a même plus comme les énergies, les ondes de forme déployées ont d'abord servi à alimenter le système.
Hors "fenêtre de tir", une dissidence efficace consiste non pas à apporter de l'énergie au système (peu importe que cette énergie soit "contraire", cela reste de l'énergie), il faut au contraire générer une sorte de "zone morte", plus concrètement des formes d'action qui relèvent de la séparation, de la sécession, de la non-participation. Recul devant l'ennemi, qui est effectivement trop fort, mais sans rien lui laisser qu'il puisse consommer pour alimenter sa machine.
Possible aussi, mais c'est beaucoup plus subtil, de générer des ondes de formes qui se greffent sur les ondes de forme du système en les parasitant ou en les détournant.
Dans les deux cas, du travail de longue haleine qui nécessite tout à la fois de l'intelligence ET de l'endurance (rare dans la "mouvance", l'endurance).
Écrit par : UnOurs | 07/01/2017
Répondre à ce commentairela terre brûlée?
ne plus consommer, occuper ce qui peut l'être , incendier le reste?
ça se tient , comme raisonnement
Écrit par : kobus van cleef | 07/01/2017
Paradoxalement, ce que je crains, ce n'est pas l'effondrement, mais un non-effondrement qui s'étendrait sans fin.
Parce que dans l'effondrement, nous serions simplement les meilleurs, les plus intelligents, les plus organisés, les plus endurants. Et cela sans plus être retenus par les divers appareillages de contention qui nous font si mal, vu que ceux qui ont construit et qui ont exploité ces appareillages ne peuvent survivre hors d'un système.
Écrit par : UnOurs | 07/01/2017
Répondre à ce commentaireC'est en effet le scénario du pire. Celui qu'on vit depuis au moins quarante ans.
Écrit par : Anton | 07/01/2017
Écrit par : Noone | 07/01/2017
Répondre à ce commentaireje trouve cette prophétie bien trop "démocratique", teintée d'optimisme démocratique. Je ne comprends pas qu'on n'ait pas encore appris à mépriser la masse. Il n y a aucun espoir, aucune solution qui passe par la masse. Il faut se déprendre de cette naïveté "mariniste". C'est simple. L'attente du sursaut de la masse permet de légitimier l'inaction de ceux qui croient s'en distinguer. On croirait un gros comptable qui fait des vidéos depuis ses chiottes pour appeler au calme avant l'élection (et après celle-ci aussi puisque, bien sûr, il en viendra un autre et un autre encore).
On parle beaucoup ici de se préparer un effondrement en quoi l'on entend sans doute par là un événement pour lequel la télé interrompera ses programmes habituels. Mais quoi ? si cet événement avait depuis longtemps déjà eu lieu et si – comme unOurs le suggère – il avait lieu continûment ?
Dans ce cas ne devrait-on pas se préparer à l'après plutôt ?
Écrit par : Dia | 07/01/2017
Répondre à ce commentaire"Dans ce cas ne devrait-on pas se préparer à l'après plutôt ?"
Vous voulez dire se préparer individuellement, avec bobonne et les mouflets ? Se préparer collectivement, mais pas en masse ?
Écrit par : Anton | 07/01/2017
Alors évidemment il n'est jamais question dans mon esprit ni dans mes rêves de la masse. Opposer ici l'individualisme petit bourgeois (qui peut inspirer certains rêves d'une BAD par exemple) et l'appel (fasciste) au "peuple" est astucieux mais je ne parlais pas d'un peuple en fasciste. Je parlais de la farce démocratique. Nous savons bien vous et moi qu'il n'y pas d'opposion entre les idéaux gaucho-démocratiques et l'individualisme libéral. Il n'y a aucune solidarité, aucun esprit de camaraderie, aucune fraternité dans le fait de voter à bulletin secret (oui une élection non secrete aurait mes préférence parce qu'il y faudrait des couilles).
Écrit par : Dia | 07/01/2017
Il n'y avait aucune astuce, ni malice. Je ne comprenais pas votre propos, simplement (déduire de ma phrase l'idée que notre seul espoir serait le bulletin de vote / j'observe néanmoins que même l'arme la plus inoffensive et la moins risquée, nous n'avons pas été foutus de la brandir lorsqu'elle était en notre possession).
(@le taulier, bon, j'arrête l'incruste (c'est pas vrai, je ne promets rien), jamais autant commenté chez vous et tous mes comms sont hs avec le billet, sorry)
Écrit par : Anton | 07/01/2017
Écrit par : hoplite | 07/01/2017
Écrit par : EQUALIZER | 07/01/2017
Répondre à ce commentairehttps://youtu.be/2O6PSDBQRMw
Écrit par : UnOurs | 08/01/2017
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