10/05/2020
anatamie du chaos n+1
Michel enfonce le clou:
- désastre sanitaire en Occident, des dizaines de milliers de morts auraient pu être évitées,
- désastre politique de la techno structure/techno sphère politique gangrenée par la logique comptable, la corruption, l'arrogance et le mépris de classe,
- désastres social et humain à venir consécutifs au pire effondrement économique depuis la WW2 en Europe,
- désastre anthropologique d'un monde devenu aveugle à la souffrance des plus démunis, détruisant le vivant et toutes les structures de sens nécessaires à sa propre survie.
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" (...) Les cas confirmés de nouveaux coronavirus sont moins de 3 147 626 dans le monde, soit 0,04 % de la population mondiale. Cela correspond à peine à une toux et un éternuement. Avec la propagation de ce virus dans le monde, l’augmentation du nombre de cas a ralenti, mais le nombre de cas confirmés pourrait encore doubler, voire tripler, ce qui représente jusqu’à trois toux et trois éternuements. Mais c’est alors que l’Organisation mondiale de la santé entre en jeu. L’OMS utilise gratuitement des appellations telles que « monde » et « santé », mais elle est en fait une entité semi-privée, richement financée par Bill Gates et Big Pharma, qui est détenue par une poignée d’entités oligarchiques très proches les unes des autres, dont Vanguard, BlackRock, Capital Group, Morgan Stanley, Goldman Sachs, Northern Trust et State Street, qui à leur tour se possèdent mutuellement de diverses manières alambiquées. La principale fonction de l’OMS est d’effrayer les gens pour qu’ils se fassent vacciner et acceptent des régimes médicamenteux coûteux (dont au moins la moitié ne servent à rien), canalisant ainsi les ressources vers les grandes entreprises pharmaceutiques. "
" (...) Comme je l’ai écrit dans mon livre « Réduire la Technosphere« , « La raison de prolonger la vie le plus longtemps possible, aussi peu logique soit-elle, se trouve dans la téléologie abstraite du contrôle total. La contrainte de la technosphère est de tout contrôler. Il est inacceptable pour elle que les personnes âgées décident seules du moment de leur mort. La mort ne peut pas être laissée à un jugement subjectif, elle doit être le résultat objectif d’un processus technique et mesurable ». Dans ce livre, j’ai défini la technosphère comme « … une intelligence mondiale émergente qui déteste toutes les formes de vie, aime la physique et la chimie, déteste tout ce qu’elle ne peut pas dominer ou contrôler, est capable d’utiliser les humains à ses propres fins, mais est tout à fait prête à les tuer quand ils ne sont plus nécessaires ou quand ils se mettent en travers de son chemin, ce qu’elle peut facilement faire parce que ses technologies les plus avancées et les plus efficaces sont ses technologies de mise à mort – armes conventionnelles, nucléaires et chimiques ; guerre bactériologique ; et technologies politiques qui envoient les gens au combat ».
« (...) Du point de vue de la technosphère, la biosphère est simplement là pour lui fournir des ressources et des services. Son point de vue sur la biosphère démontre le déficit mental frappant de la technosphère : elle est incapable de voir les limites. Tant qu’elle ne les rencontre pas, elle ne peut pas les voir, et suppose que les ressources naturelles sont infinies. Et lorsqu’elle se heurte à ces limites, elle traite invariablement le problème comme un problème financier. Par exemple, lorsque les prix du pétrole ont augmenté, on a automatiquement supposé que le problème n’avait rien à voir avec l’épuisement des ressources mais qu’il était entièrement dû au manque d’investissement dans l’industrie pétrolière. Certes, l’augmentation des investissements a finalement entraîné une augmentation de la production et un marché pétrolier saturé, mais le fait que l’augmentation des investissements soit devenue nécessaire avait tout à voir avec l’épuisement des ressources : les ressources qui pouvaient être produites le moins cher ont été les premières à s’épuiser. De plus, l’effet de l’augmentation des investissements est temporaire ; comme la rouille, l’épuisement des ressources ne dort jamais, et à un moment donné, le niveau des dépenses nécessaires pour maintenir la production devient incroyablement élevé »."
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Bonus: qui finance l'OMS?
" (...) En 2016, ceux qui ont donné le plus à l'OMS sur une base volontaire sont les Etats-Unis (plus de 310 millions de francs), la fondation Bill & Melinda Gates (280 millions), puis la Grande-Bretagne (près de 140 millions de francs).
En quatrième position se trouve GAVI Alliance (près de 55 millions de francs), dont le principal financeur est la Fondation Bill & Melinda Gates. Suivent avec plus de 50 millions de francs de dons: le Japon, le National philantropic trust et le Rotary International. Cette dernière association est également financée en partie par la Fondation Bill & Melinda Gates.
Sur les trois dernières marches du top 10 figurent, avec près de 50 millions de dons, la Commission européenne, le Fonds central d'intervention d'urgence et l'Allemagne."
17:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
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