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22/01/2013

business

Pauvre Elkabbach que l'on sent tout soumis, à la fois au président Mitterrand mais aussi à ses commanditaires communautaires...Mitterrand, un homme de droite fondamentalement, sans doute trés conscient de la puissance du communautarisme juif ("SOS racisme" à 10 ans en 1994 et la LICRA 72 ans...), capable de garder sa fidélité à un homme comme René Bousquet, capable de recevoir -pour son seul plaisir- Ernst Jünger en 1995 à la table de l'Elysée...

Mitterand, donc ne mâche pas ses mots à l'égard des exigences sans limites et sans fin du lobby juif et de cette "industrie de l'holocauste" dont parle si bien un Norman Finkelstein. Sans doute se sait-il assez à l'abri du temps et du même lobby pour s'autoriser ce genre de vérité médiatique, bien inhabituelle dans le landernau politicard.

A rapprocher sans doute de l'évolution -tardive- d'un Raymond Barre ou d'un Günter Grass.