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16/04/2015

Whatsap?

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" (...) Cette deuxième guerre mondiale  fit 50 millions de morts dont 17 millions de soviétiques et 9 millions d'allemands. la Pologne, les autres pays occupés d'Europe, et aussi les millions de soldats d'Afrique ou d'Asie mobilisés pour cette guerre qui, comme la première, était née de rivalités occidentales, payèrent un lourd tribut de morts. (...)

L'assassinat d'un seul innocent, qu'il soit juif ou qu'il ne le soit pas, constitue déjà un crime contre l'humanité. Mais si le nombre de victimes n'a, à cet égard, aucune importance, pourquoi s'accrocher depuis plus d'un demi-siècle, au chiffre fatidique de six millions, alors qu'on ne considère pas comme intouchable le nombre des victimes non-juives de Katyn, de Dresde, ou Hiroshima et de Nagasaki, pour lesquelles il n'a jamais existé de nombre d'or, alors que le chiffre de six millions a été sacralisé, bien qu'il ait constamment fallu réviser à la baisse ce nombre d'une seule catégorie de victimes dont les injustes souffrances ne sont pas contestables:

Pour le seul camp d'Auschwitz-Birkenau:

-9 millions, disait en 1955, le film d'Alain Resnais "Nuit et Brouillard" par ailleurs fort beau et profondément émouvant,

-8 millions selon les Documents pour servir à l'histoire de la guerre. Camps de concentration Offices français d'édition, 1945, p.7,

-4 millions d’après le rapport soviétique auquel le tribunal de Nuremberg a donné valeur de preuve authentique en vertu de l'article 21 de ses statuts qui stipulaient: "les documents et rapports officiels d'enquête des gouvernements allés ont valeur de preuve authentique". Ce même article 21 proclamait: "Ce tribunal n'exigera pas que la preuve de faits de notoriété publique soit rapportée. Il les tiendra pour acquis."

-2 millions selon l'historien Léon Poliakov dans son Bréviaire de la haine, Calman levy, p. 498,

-1 million deux cent cinquante mille, selon l'historien Raul Hillberg, La destruction des juifs d'Europe, Ed Holmes and Mayer, 1985, p.895,

-950000 à 1.2 million selon François Bedarida, directeur de l'Institut de temps présent au CNRS (source Le Monde 23/07/1990).

L'on en continue pas moins, après avoir officiellement réduit le nombre des victimes à Auschwitz-Birkenau de 4 à 1 million de répéter le chiffre global: 6 millions de juifs exterminés selon l'étrange arithmétique: 6-3=6."

Roger Garaudy, Les mythes fondateurs de la politique israélienne, 1998.

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"Ce livre est à la fois une anatomie et une mise en accusation de l'industrie de l'holocauste. Dans les pages qui suivent, je vais soutenir que "l'holocauste" est une représentation idéologique de l'holocauste nazi. Comme beaucoup d'idéologies, elle a un rapport, si étroit fût-il, avec la réalité. "L'holocauste" est une construction non pas arbitraire mais dotée d'une cohésion interne. Ses dogmes principaux soutiennent des intérêts politiques et sociaux significatifs. En fait, "l'holocauste" s'est avéré une arme idéologique indispensable. Grâce à son déploiement, l'une des puissances militaires les plus formidables du monde, dont les manquements aux droits de l'homme sont considérables, s'est posé en état-"victime" et le groupe ethnique le plus florissant des Etats-Unis a, lui aussi, acquis le statut de victime. Des bénéfices considérables découlent de ce statut injustifié de victime, en particulier, une immunité face à la critique, même la plus justifiée. Ceux qui jouissent de cette immunité, ajouterai-je, n'ont pas échappé à la corruption morale qui va de pair avec elle. De ce point de vue, le rôle d'Élie Wiesel, interprète officiel de l'holocauste, n'est pas un hasard. Il est évident qu'il n'est pas parvenu à cette position par son action humanitaire ou ses talents littéraires. Il joue le premier rôle plutôt parce qu'il articule sans la moindre fausse note les dogmes de l'holocauste, défendant par là même les intérêts qui le sous-tendent."

Norman Finkelstein, L'industrie de l'holocauste, 2000.