Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

06/04/2012

expiation

url.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

"Dans le quotidien Maariv (centre droit) le commentateur Shai Golden estime que les déclarations de Günter Grass* "n’attestent pas forcément d’un antisémitisme mais de son refus d’assumer sa responsabilité pour ses crimes historiques". "Je suis d’accord avec presque tout ce qu’il a dit. Mais il n’a tout simplement pas le droit moral et historique de le dire", estime le commentateur, invoquant "la trahison du principe de l’expiation auquel chaque Allemand doit s’engager pour toujours en parlant d’Israël et des juifs"." source

un "principe d'expiation éternel"?

un "droit de parler"?

ho ho. excellent!

effectivement, de quoi énerver tous les sayanims d'outre-rhin...et leurs séides goys.

* Günter Grass est né à Dantzig, de parents commerçants, propriétaires d'une épicerie en produits coloniaux. Son père était allemand, protestant, et sa mère catholique kachoube. L'invasion par la Wehrmacht de la Pologne et de Gdańsk est approuvée par sa famille même si l'un des oncles polonais du jeune Günter est fusillé après avoir participé au siège de la Poste polonaise3. Enrôlé dans les jeunesses hitlériennes, le garçon demande, à 15 ans, à s'engager dans les sous-marins, mais rejoint à l'âge de 17 ans la 10e Panzerdivision SS Frundsberg des Waffen-SS en octobre 19444. À la fin de la guerre, il est fait prisonnier par les Américains et libéré en 1946. Durant sa captivité, il aurait peut-être rencontré Josef Ratzinger, le futur pape Benoît XVI.