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15/09/2010

lexomil

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"Excédés par les jeux trop bruyants des enfants, des riverains font fermer des crèches. 

Les Allemands tolèrent de moins en moins les nuisances sonores accompagnant les jeux d'enfants dans une société vieillissante au taux de natalité en berne. Applaudi par l'opposition, le gouvernement prévoit de faire adopter une loi visant à enrayer la multiplication des plaintes contre les crèches, parfois contraintes de déménager ou de fermer pour cause d'enfants trop bruyants.

(…) Ces dernières années les recours juridiques se sont multipliés contre les crèches. Mesures de décibels à l'appui, des employés de bureau, des célibataires endurcis ou des couples allergiques aux jeux d'enfants ont obtenu la fermeture ou le déménagement de plusieurs crèches en Allemagne. À Berlin, un établissement a jeté l'éponge, l'année dernière, après quatre ans de bataille avec un voisin. Certaines crèches ne reçoivent l'autorisation d'accueillir que 25 enfants alors que leur capacité leur permettrait d'en recevoir 40. D'autres sont condamnées à construire des murs antibruit en béton, ou à empêcher les enfants de jouer dehors. La capitale a été la première ville à réagir en adoptant une loi locale «tolérant» les bruits des enfants au nom de leur «épanouissement».

(…) Avec 651.000 bébés seulement nés l'an dernier, l'Allemagne a atteint un record à la baisse. Dans les grandes villes, seul un foyer sur sept compte encore des enfants. La moitié seulement des Allemands juge qu'avoir des enfants est «enrichissant».

Dans les immeubles d'habitation, les couples avec enfants subissent aussi les plaintes et récriminations de voisins qui les traînent en justice parce qu'ils ne supportent plus les leçons de piano, le bruit des premiers pas maladroits d'un bébé la journée, ni ses pleurs la nuit. «Nous nous battons pour que les propriétaires n'aient plus le droit d'expulser leurs locataires à cause des bruits liés à des activités normales pour des bambins», raconte Paula Honkanen-Schoberth. Mais les enfants feraient même baisser le prix de l'immobilier : certains propriétaires affirment qu'un appartement perd 20 % de sa valeur lorsqu'une crèche s'installe au rez-de-chaussée." Source

Ha, ha ! J’adore ce genre de  fait de société. Très symptomatique de notre époque et de ses générations de festivus (festivi) de retour de leur WE à Marrakech dans leur mini cabriolet de merde. Un tas de crétins inconséquents qui bambochent sur le pont du Titanic en recyclant leurs ordures équitables.

Non seulement ils ne font plus d’enfants mais encore ils font chier les derniers de leur espèce qui en ont. Sans doute savent-ils très bien l’avenir qui leur est promis : mourir misérablement -c’est-à-dire seuls- dans un hospice de bobos entourés de RMIstes déguisés en clowns et d’aides-soignantes antillaises pourvoyeuses de couches XXL et de quarts de LEXOMIL: la misère physique et morale. Et c’est un bonheur d’y penser.

"Les Français de souche européenne qui naissent aujourd’hui mourront dans une France au profil majoritairement africain et asiatique. La perspective pour l’Europe apparaît désormais de manière claire : à la fin du siècle [XXIème], les européens seront devenus minoritaires sur la partie européenne du continent eurasiatique. Comme ils ne sont pas les Etats-Unis, une nation fondée sur une idéologie puissante capable de fabriquer des américains à partir d’origines ethniques différentes, ils seront incapables d’assimiler les populations extra-européennes à leur civilisation. Les Européens n’ont donc qu’un seul choix pour éviter à leurs enfants un avenir de minorité, semblable à celui des blancs d’Afrique du Sud, repliés sur leurs bantoustans blancs : repasser le film de l’immigration à l’envers et relancer la natalité européenne." (Aymeric Chauprade)

Relancer la natalité autochtone chez les Germains, ça parait donc mal parti…

L’avenir que nous ont préparé nos élites et nos pères anti-racistes c’est celui que décrit Chauprade : un continent dévasté par un hiver démographique autochtone et une vague migratoire extra-européenne inouie d’obédience essentiellement musulmane conduisant en quelques générations à peine à un remplacement démographique massif : l’europe-monde de nos élites, c’est la ruine programmée d’une civilisation singulière et belle, l’ensauvagement et la décivilisation générale sous la bannière triomphante de l’hédonisme et de l’accueil inconditionnel de l’autre.

Alors?

"Que peut-il se passer après la victoire de la contre-colonisation ? Peut-être bien quelque chose de semblable à ce qui s'est s'est passé dans la partie méridionale du monde méditerranéen après la conquête arabe. Dans un premier temps, les conquérants laissent les chrétiens et accessoirement les Juifs s'occuper des tâches créatives ; il en résulte, à l'époque, une apogée civilisationnelle qui ne doit pas grand-chose à l'islam mais qui n'a été possible que grâce à la paix et à l'unité que les conquérants ont restaurées. Puis le réservoir de ces populations actives et créatrices se tarit progressivement à cause des persécutions occasionnelles et surtout des conversions à l'islam permettant d'échapper à la dhimmitude et à la fiscalité qui l'accompagne. La civilisation islamique se fige assez vite et une lente et inexorable décadence commence. L'histoire s'est répétée à partir du XVe siècle dans l'Empire ottoman. Dans les deux cas, ce sont les populations autochtones conquises qui ont été le plus transformées, et de très loin, et ce malgré leur nombre resté longtemps important : Constantinople-Istamboul était encore majoritairement peuplée de chrétiens en 1914. " (marcel Meyer, gentil lecteur de ce blog)

Voilà, autant le savoir.


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