02/02/2014
vers l'infini et au-delà!
Le point de vue de farida Belghoul est particulièrement intéressant comme celui d'une française d'origine maghrébine assimilée et fondatrice de la marche des beurs (récupérée comme on le sait par la section sioniste du PS ie Dray et Désir et leur petite main jaune à deux balles). (dans le genre, faut lire aussi Malika Sorel+++http://www.malikasorel.fr/ )
Où comment l'école républicaine à l'agonie est liquidée par les descendants historiques des hussards noirs de la république, désormais soumis intégralement aux lobbys en cour (LGBT/études du genre/judith buttler, CRIF/cf la déclaration hallucinante du président du sinistre CRIF, Cukierman, préconisant l'enseignement de la Shoah dés la maternelle ou le "parrainage" sarkosyste obscène d'un enfant juif déporté par un petit écolier français d’aujourd’hui, loges maçonniques/cf l'appel récent de Valls à ces mêmes loges)..on croit rêver!
Finalement au delà du délire émancipateur de nos modernes "exagérés/Hébertistes", il est rassurant de constater que des gens ordinaires (les "fascistes" de Fourest ou de BHL) puissent se révolter contre le grand n'importe quoi sociétal de nos oligarques bien en peine de répondre à la question sociale ou à la liquidation en règle des états-providences européens. Ironie du sort, ce sont ces français maghrébins qui votent massivement à gauche depuis des décennies d'instrumentalisation trotsko-sioniste qui se retrouvent en pointe contre le barnum libéral-libertaire de la gauche de Bergé, Dray ou Hollande...Quoi? une quenelle? Ferme-là!
09:00 | Lien permanent | Commentaires (28) | Tags : crif, école, lgbt, maçonnisme, minor threat
01/09/2013
HOPE
"A côté des divers affrontements, empoignades et rebuffades dans le champ diplomatique et, surtout, dans celui de la communication, à l’intérieur du bloc BAO et dans diverses autres directions, le projet d’attaque “punitive” contre la Syrie demeure. Il est même urgent de l’expédier puisque BHO quitte Washington mardi prochain (vers la Suède puis le G20 de Saint-Petersbourg où l'atmosphère sera fraîche). Il voudrait avoir lancé cette “affaire courante” avant son départ. L’attaque pourrait donc être notre gâterie du week-end.
Pour autant, l’unanimité n’est pas la règle, notamment à Washington même, dans le cœur du Système. Il apparaît peu à peu que les généraux et la bureaucratie du Pentagone n’apprécient que fort modérément le projet du président Obama, tel qu’en l’état des indications nombreuses qui nous sont données, – l'hypothèse largement répandue qu’il ne s’agirait que d’une chiquenaude, un avertissement, une softened strike. (DEBKAFiles, dans un élan de confidence comptabilisée, nous a même confié qu’il n’y aurait que quinze cruise missiles de type Tomahawk tirés de frégates de la VIème Flotte ; un feu d’artifice de sous-préfecture...) Cette formule ne plaît pas au Pentagone, qui ne cesse de machiner des “fuites” diverses chargées d’avis d’experts exprimant des doutes circonstanciés.
(...) Cette mésentente n’atteint certainement pas le sommet de la hiérarchie civile du Pentagone, avec le secrétaire à la défense Hagel qui répète que les forces armées sont prêtes à intervenir comme on le leur demandera, et qui justifie l’attaque contre la Syrie telle qu’elle est prévue. Ce constat est certainement moins assuré du côté de la hiérarchie militaire, même si le président du comité des chefs d’état-major Dempsey s’est abstenu durant toute la semaine du moindre commentaire, – après avoir, auparavant, abondamment exposé sa position de principe résolument hostile à toute intervention en Syrie. C’est précisément là que se situe la possibilité d’une fracture importante, d’ailleurs dans des conditions qui sont devenues un peu plus délicates depuis l’affaire égyptienne où les militaires US sont particulièrement mal à l’aise avec une position bien incertaine du pouvoir politique vis-à-vis de la poursuite de l’aide militaire à l’Égypte.
Jusqu’à la séquence actuelle de la crise syrienne, Dempsey et Obama étaient sur la même ligne de raisonnement et en complet accord, Dempsey jouant alors, en tant que technicien et opérateur de la stratégie militaire, le rôle de porte-voix du président. Les deux hommes partageaient la même analyse, et sans doute continuent-ils à la partager sur le fond. Mais le politique s’est séparé du militaire en se trouvant coincé dans ses engagements de communication, et en optant pour une intervention qu’il voudrait surtout de type symbolique ; du coup, il prend une position qui, paradoxalement par rapport à l'accord sur la position de fond, se trouve complètement en contradiction avec celle de Dempsey puisque forçant à une intervention dans les pires conditions possibles du point de vue du militaire (comme les “fuites” provenant du Pentagone le détaillent). Cette “rupture” en dépit d’une analyse et d’un accord communs est typique de la situation actuelle des pouvoirs, notamment à Washington, où les décisions sont prises non en fonction des caractères des situations considérées, mais pour des effets dans d’autres domaines, pour renforcer ces pouvoirs en état constant de fragilisation, notamment des effets de communication qui ne tiennent aucun compte des impératifs stratégiques. (...) De Defensa
22:38 | Lien permanent | Commentaires (93) | Tags : obama, minor threat
18/04/2013
friday wear
23:30 | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : minor threat