Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

01/05/2011

notre avant guerre



Soral: Vive la République? (Ripoublik.com 4-7) par FromDaWu

Bon, on peut penser beaucoup de choses d'Alain Soral mais c'est un homme cultivé dont les points de vue hérétiques et argumentés ne sont pas sans valeur. La simple trajectoire d'un homme passé de l'internationalisme communiste à la Tradition est intéressante. Au moins autant que le discours tiède d'un érudit sortant de Normale sup ou Sciences-Po formaté par ses classiques achetés en poche...

Soral dit sans doute beaucoup de conneries mais il dit aussi un certain nombre de vérités dans le flot qui sont rafraichissantes. Ses quelques appraritions télévisuelles, notamment dans l'émission du regretté Taddéi (et souvent en compagnie d'Alain de Benoist) sont réjouissantes, notamment par la mine consternée des pantins habituels chargés d'étouffer toute pensée libre et d'encadrer tout débat public (éviter les fameux dérapages...). Soral est séduisant aussi par sa grille le lecture du monde parfois un peu reductrice (critique de la domination, infrastructure/superstructures, lobbys franc-macs et juifs notamment).Au-delà de cette vision globale, l'homme reste intéressant par son point de vue décalé et quelques fulgurances de bon aloi. Son analyse de la présidentielle 2012, de la supermédiatisation de MLP, de la candidature probable de DSK versus donc une adversaire étiquettée fasciste (ce qu'elle n'est pas) mais disposant curieusement d'un plan média stratosphérique au regard du black-out habituel dont souffre tout discours politique hérétique (c'est-à-dire hostile à la mondialisation heureuse selon Bouygues et Besancenot ou Attali). MLP tient un discours strictement républicain (n'en déplaise aux pitres du "front républicain" progressiste et sponsorisé par LVMH), anti-mondialiste, hostile à la toute puissance de la finance anglo-saxonne et à la main-mise du pouvoir économique et financier (notamment en France depuis la loi de 1973 obligeant l'Etat français à se financer sur les marchés internationaux) qui devrait, en bonne logique, lui interdire toute voix au chapitre...On aurait même pu imaginer que Gollnisch, en bon libéral et héritier d'un FN réactionnaire et groupusculaire, fut promu par le système car a peu prés assuré de réduire le vote FN a à peu prés rien...hé bien non, c'est l'inverse qui se produit. Pourquoi?

Soral explique alors que c'est la fidélité ou l'allégeance à la nouvelle religion de l'Occident (selon Barnavi), la Shoah, qui décide de la médiatisation -ou non- de tel ou telle. Peut-être. Comme si il devenait urgent de canaliser/instrumentaliser la révolte des peuples européens devant l'hubris du capitalisme globalisé (français en l'occurrence) afin de mieux pouvoir soummettre ces derniers, le jour J, au candidat désigné de l'oligarchie financière, le triste DSK, dont le qualificatif socialiste devrait faire sourire même les lecteurs du Monde ou de Témoignange chrétien...ce qui n'est pas le cas. Comme si ce "21 avril à l'envers" dont on nous rebat les oreilles et qui a effecctivement des chances de se produire vu le spectacle tragique du quinquennat Sarkosy, n'était que le premier acte du plan ourdi (j'aime ce mot, ha ha) par les puissants de ce monde pour garder le contrôle d'une situation en train d'échapper à tout contrôle.

Commentaires

Son bouquin - comprendre l'empire - une salade russe - vaut 15 euros. Economisez : lisez "le Mythe du XXe siècle" d’A. Rosenberg, disponible gratuitement en ligne ;
.
"La nouvelle doctrine humanitaire fut la « religion » des francs‑maçons. Celle‑ci a fourni jusqu’à aujourd’hui les fondements intellectuels d’une culture universelle ab­straite, point de départ de toutes les prédications de bon­heur égoïste. C’est elle qui a trouvé (dès 1740) le slogan politique des cent cinquante dernières années
« Liberté, égalité, fraternité », et donné naissance au concept de démocratie humaine, chaotique, destructrice des peuples."

"L’église romaine et la contre‑église franc-­maçonne sont tombées d’accord pour démolir toutes les barrières d’ordre spirituel ou physique. Toutes deux ras­semblent leurs partisans au nom de l’amour ou de l’hu­manité, au nom d’un universalisme sans frontières."

Depuis François 1er, le problème est que les gouvernants français, rois, empereurs, ou simples présidents, sont sous l’ascendant de leurs bonnes femmes et de ce qui se tient bien caché dans l’ombre de leurs bonnes femmes. Sous la monarchie, ces femmelettes étaient encore épaulés par des conseillers d’origine franque, qui, chaque fois que,du moins jusqu’à Louis XV, les héritiers libidineux des Médicis faisaient passer leur libido avant l’intérêt de l’Etat, réussissaient à rectifier le tir. Mais, en démocratie, les femmelettes présidentielles n’ont d’autres conseillers que d’autres femmelettes. Que l’on ne s’y trompe pas : l’idéologie mondialiste n’est rien d’autre que la manifestation moderne du point de vue vaginal selon lequel tous les hommes sont égaux : nous vivons dans un véritable vagin à ciel ouvert. Le monde n’a d’ailleurs jamais été aussi pollué que depuis que le libéralisme et le communisme, ces deux soeurs jumelles, le contrôlent. Toute la symbologie mondialiste, pour peu qu’on l’étudie de près, est de nature vaginale.

Le seul fait que des femmes puissent occuper des postes gouvernementaux et, même, des postes de responsabilités tout court,, démontre, à qui n’est pas totalement efféminé mentalement et spirituellement, le caractère risible et parodique - pour tout dire : grotesque - du pouvoir actuel.

Même dans l’Athènes démocratique, c’est-à-dire au comble de la dégénérescence, les femmes n’avaient aucun droit civique, pas plus que les métèques.

Écrit par : BL | 22/04/2011

Alors, Soral, Sarkozy est toujours un immigré qui a debarqué en France sans parler francais et est devenu president ?

Lui et son "esprit du nord" qui hait les juifs et leur coté mediterranéen, va trouver toutes les sympathies a des musulmans qui viennent de Sibérie ?

Cet ex manequin de JP Gaultier (Cet hetero bien connu, pas vrai...) qui trainait au du Palace raconte tellement de conneries que je lui trouve autant de credit que Rael...

Écrit par : JÖ | 22/04/2011

@ BL: Tariq Soral, sors de ce corps!

Écrit par : Inès | 22/04/2011

Quel est le rapport de cet article avec mon livre?

Écrit par : basil larch | 22/04/2011

.On aurait même pu imaginer que Gollnisch, en bon libéral et héritier d'un FN réactionnaire et groupusculaire, fut promu par le système car a peu prés assuré de réduire le vote FN a à peu prés rien...hé bien non, c'est l'inverse qui se produit. Pourquoi?

Excellente question !

Écrit par : robespierre | 22/04/2011

"La fraternité des gens bien."
"Ce qu'il y a de bien dans l'islam."

Autrement dit, Soral n'est toujours pas sorti du communisme. Il cherche un communisme de substitution. Le communisme c'était un bel idéal, mais il a été trahi. Donc on va en chercher un autre. On va prendre les "guerriers" de tous les bords. Evidemment, Soral se garde bien de nous expliquer ce qu'il y a de bien dans l'islam. Soral s'obstine à refaire ses erreurs passées en les peignant d'une couleur différente.

Comment quelqu'un qui se croit visiblement aussi intelligent peut-il mettre tous les "guerriers" sur le même plan ? Comment peut-il croire que les "guerriers" de tous les bords ont intérêt à s'allier simplement parce qu'ils sont "guerriers" ?

Une seule possibilité : la haine de l'argent et de Juifs. "Le cancer des marchands". Ce type est un fou furieux, une intelligence et une culture totalement perverties. Cancéreuses, justement.

"Moi, je suis quoi ? Je suis quelqu'un comme Soljenytsine."

Se comparer à Soljenystine, pour n'importe qui, c'set gonflé, mais alors pour Soral...

Écrit par : Robert Marchenoir | 23/04/2011

vous énervez pas, robert, il y a à boire et à manger dans la prose de Soral, on est d'accord.

Écrit par : hoplite | 23/04/2011

Quand il dit "les gens bien de l'Islam", à mon avis ils parlent de ceux qui l'apprécient.
Le mec s'est tellement fait blacklisté de partout que le premier muzz qui l'écoute et lui donne du crédit en reçoit en échange.

Écrit par : M. Nice Guy | 23/04/2011

Hoplite, cette vidéo est très intéressante car elle fait vraiment comprendre qui est Soral. Tout d'abord, il faut reconnaître que c'est un type brillant, ce qui peut expliquer l'attrait qu'il exerce. Il est incontestable qu'il a une intelligence très déliée et une réelle culture. Le problème est ce qu'il fait avec, et ce qu'il fait avec relève de la psychiatrie.

Regardez son histoire de "guerriers". Cet ancien communiste rêve de réunir les "guerriers" de tous les pays, de toutes les cultures, de toutes les religions.

Le communisme, pour lui, c'était "la fraternité des gens bien". Ce que beaucoup traduisent par "les bonnes intentions du communisme". En gros, les communistes étaient des gentils, et puis ça a mal tourné. Mais ça partait d'une bonne intention, d'un idéal formidable (ah bon ?). Donc c'est excusable.

On remarquera que "gentils" et "fraternité", c'est quand même le contraire de "guerriers".

Et donc maintenant, déçu du communisme, Soral se dit dégoûté des "lopettes" de tout bord (qu'elles soient catholiques ou musulmanes), et rêve un nouvel idéal, qui lui permettrait de se retrouver entre "guerriers".

Les bolcheviques avaient hésité entre le communisme dans le monde entier et le communisme dans un seul pays.

Soral, lui, veut maintenant nous faire le nazisme dans le monde entier ! L'internationale du nazisme par-dessus les frontières et les cultures, l'alliance des mecs virils et conquérants, qui auraient naturellement vocation à se retrouver entre eux, histoire d'être débarrassés des "marchands" et des "pédés" !

Comme si la raison d'être des "guerriers", ce n'était pas justement de combattre impitoyablement les autres "guerriers", et non de fraterniser entre "guerriers" en fumant des cigares au coin du feu au "club des guerriers" !...

Hitler était un fou criminel, mais dans sa folie il était encore beaucoup plus raisonnable que Soral. Il n'a jamais pensé que la virilité ou la race étaient des valeurs en elles-mêmes. Son culte de la virilité et son suprémacisme n'avaient de sens que mis au service de la race germanique. Il n'a jamais envisagé une joyeuse farandole fraternelle de frères d'armes virils et guerriers à travers tous les pays et toutes les cultures.

Quoiqu'il faut bien reconnaître l'hommage qu'il a rendu et à l'islam et au bolchevisme, en allant jusqu'à s'allier avec eux, justement au nom du culte de la violence et de la force qu'ils partageaient avec lui.

En fait, Soral, c'est l'inconscient de Hitler. Sans les moyens (heureusement).

Soral, c'est aussi la vraie nature du communisme : le culte de la force brute détachée des impératifs moraux, maquillé derrière l'idéal du dévouement et de la fraternité. Et c'est la démonstration des affinités entre nazisme, communisme et islam.

Soral, c'est un fantasme sur pattes qui rêve de s'incarner dans un mouvement politique -- ce que, heureusement, il ne le fera jamais.

Écrit par : Robert Marchenoir | 23/04/2011

Et aussi : "Je m'énerve pas, j'essplique !..." (Coluche)

Écrit par : Robert Marchenoir | 23/04/2011

"Je sais qui sont les maîtres et qui sont les esclaves."

Oui, Maître. Bien, Maître.

Écrit par : Robert Marchenoir | 23/04/2011

D'accord avec Hoplite... bcp à prendre, mais aussi à laisser, chez Soral. Par exemple, je partage totalement son point de vue sur le catholicisme... "ce n'est pas une religion, c'est de la merde". C'est plutôt final ça, non ? Je pense, mais je peux me tromper, que la question fondamentale que se pose Soral depuis toujours, c'est "comment puis-je être un homme (un mâle) dans ce monde (asexué, féminisé, commerçant, droit de l'hommisé) ?" Sa synthèse est brouillonne, et c'est dans ce cadre qu'il faut intégrer ce qu'il dit de l'islam et de la réconcialiation des guerriers. Le problème, à mes yeux, est qu'on ne peut faire d'une analyse sociologique fut-elle brillante et à tiroirs (ce "projet d'épanouissement personnel" d'Alain Soral) un programme de conquête du pouvoir... Car c'est de cela dont il s'agit quand on prétend faire de la politique, et non de "parlottes". Cela fait des lustres (au moins 30 ans) que tout a été dit et écrit, sans que rien ne soit fait.

Écrit par : iskander | 25/04/2011

"Comment puis-je être un homme dans ce monde commerçant" : gnééé ?

Il y a des mondes non-commerçants ? Chez les Papous et les chasseurs-cueilleurs, peut-être... Je ne suis pas sûr que Soral accepte de régresser à ce stade pour le "plaisir" de voir disparaître le commerce autour de lui... Et si c'est le cas, hé bien rien ne l'empêche de le faire tout de suite, ici et maintenant, en arrêtant de nous casser les couilles sur You Tube par la même occasion...

Ah, bien sûr, pour cela, il faudrait accepter d'arrêter de passer à la télé... ou sur le Web... qui ne peut exister sans appareillages électroniques extrêmement complexes... qui eux-mêmes ne poussent pas sur les arbres de la savane africaine... et qui nécessitent donc un "monde commerçant"...

Sacrés penseurs "anti-capitalistes" !

Écrit par : Robert Marchenoir | 25/04/2011

à tous, merci pour les coms, suis incapable de vous répondre pour le moment car dans une retraite (agréable) au fin fond du Berry...connection incertaine. (les marchands ne sont pas encore hégémoniques, ici (pour Robert, non je rigole:)

Écrit par : hoplite | 25/04/2011

Soral a un côté gourou monomaniaque assez exaspérant, mais ca me fera toujours rire de voir les réactions qu'il provoque chez certains réacs qui déblatèrent des inepties dignes de Caroline Fourest à son sujet.

En fait Soral est typiquement marxiste: très efficace pour pointer du doigt les dysfonctionnements du système, beaucoup moins lorsqu'il s'agit de proposer des solutions.

Écrit par : Aldric | 25/04/2011

Meme sans le web, un strapontin suffirait a Soral, du moment qu'il peut la ramener, le reste est accessoire...
(J'en rajoute)

Sociologue sur le tas, piètre analyste politique (C'est le moins qu'on puisse dire).

il est souvent drole sans le vouloir, et fatiguant en le voulant.

Écrit par : JÖ | 25/04/2011

D'où provient cette haine du commerçant ?
Il serait intéressant de le savoir car ce blocage est perçu comme la clé de bien des névroses.
Le commerce c'est l'échange, c'est aussi le dialogue dans la négociation comme dans la coopération.
Bref c'est l'activité fondamentale de l'homme sur Terre, depuis toujours.
Alors comment et pourquoi s'opposer à celà ?

Écrit par : Obsédé Textuel | 26/04/2011

@obsédé, je crois que ce n'est pas une haine du commerçant lui-même mais une détestation de l'hégémonie de l'économie et de l'échange marchand dans nos sociétés modernes.

Écrit par : hoplite | 26/04/2011

@ Hoplite. Je l'avais bien compris ainsi !
Toutefois il n'y a rien de bien nouveau. Ce que vous nommez l'hégémonie de l'économie à juste titre a toujours été au coeur des réalités de ce monde en toute époque. La mondialisation date depuis Marco Polo.
Et même avant, tant que le monde connu tournait autour des rives de la Méditerranée.
L'argent et la démographie ont toujours commandé la politique et les projections militaires.

Écrit par : Obsédé Textuel | 26/04/2011

@OT. ce qui me semble neuf et au regard de la structure tripartite de la société décrite par Dumézil (ceux qui prient, ceux qui combattent, ceux qui travaillent), c'est la disparition, dans nos sociétés modernes de toute transcendance et du politique. Tout le monde travaille aujourd'hui, ce qui n'était pas le cas du temps de Marco Polo...je ne met pas sur le même plan la mondialisation des échanges, qui ne remonte effectivement pas à hier et la mondialisation, cette uniformisation marchande du monde.
Disparition de toute grandeur et de tout désintéressement, tout s'évalue à l'aune de points de croissance et de PIB. En ce sens, l'univers matérialiste et horizontal des "libéraux" comme des marxistes est bien le même (la consommation d'un côté, la production de l'autre).

Écrit par : hoplite | 27/04/2011

"Tout le monde travaille aujourd'hui, ce qui n'était pas le cas du temps de Marco Polo..."

Houlàlà... D'où ça sort, ça ?

Qui est-ce qui ne travaillait pas, du temps de Marco Polo ? Une poignée de nobles et de religieux ?

Est-ce qu'on est bien sûr que ça représente davantage, en proportion, que la masse des chômeurs + sortis volontaires du système subsistant d'aides sociales ou de mendicité + immigrés illégaux oisifs + trafiquants de drogue, à laquelle il faudrait ajouter, pour être juste, la masse considérable de gens payés sur fonds publics à ne rien foutre, ou bien à peigner la girafe, ou bien à surveiller la peinture en train de sécher, qui sont exactement l'équivalent des nobles de jadis, à l'exception notable du fait que leur utilité sociale est bien moindre, qu'ils ne risquent jamais leur vie au service de la nation, et que leur sens de l'honneur est inexistant ?

Écrit par : Robert Marchenoir | 29/04/2011

Ajouter aussi, aux classes inutiles qui ne travaillent pas, les cohortes "d'étudiants" en sociologie de gauche, en "arts du clown", en management des missions humanitaires à l'étranger, les étudiants en lettres analphabètes, etc.

Ajouter aussi les troupes "d'associatifs" payés à entretenir le désordre et la subversion dans la société, qui n'existeraient pas sans l'argent public.

Et j'en oublie sûrement.

Quant aux moines de jadis, il y en avait une part non négligeable qui travaillaient, qui défrichaient les champs, qui produisaient de la bière, qui fabriquaient des objets artisanaux, qui dirigeaient la construction de bâtiments qui tiennent debout mille ans plus tard, etc.

Par rapport à un "agent d'accueil" de la RATP, payé à téléphoner à ses potes et à faire la gueule, ou à un "animateur social" qu'on paye pour ne pas mettre le feu aux voitures, y'a pas photo...

Écrit par : Robert Marchenoir | 29/04/2011

... Sans parler des libéraux fanatiques qui ne font qu'écumer le Ouaibe, tant leur travail acharné leur laisse du temps libre, comme Robert Marchenoir qui aime tant donner des leçons aux autres du haut de son oisiveté internétomane...

Écrit par : Boreas | 05/05/2011

@ Boréas
Pour (sur)vivre, il suffit de travailler pour enrichir son patron. Pour accéder à l'aisance, mère de tous les possibles, il faut trouver autre chose...
Eh oui, il faut savoir godiller dans la vie.
Ne soyez pas jaloux.

Écrit par : Obsédé Textuel | 06/05/2011

@ Boréas
Pour (sur)vivre, il suffit de travailler pour enrichir son patron. Pour accéder à l'aisance, mère de tous les possibles, il faut trouver autre chose...
Eh oui, il faut savoir godiller dans la vie.
Ne soyez pas jaloux.

Écrit par : Obsédé Textuel | 06/05/2011

Je regrette cher Hoplite mais Soral est une illusion d'optique (je vous l'accorde trés doué), très grand manipulateur d'idées mais une grande désillusion car il mélange tout et sans vouloir rentrer dans le détail avant son antisémitisme de ressentiment vraiment pénible, c'est sa mégalomanie, sa vulgarité récurrente qui me le rendent antipathique.

Écrit par : Rogemi | 09/05/2011

cher rogémi, il n'y a pas de mal, je ne milite pas à EetR....je trouve aussi soral extravagant et excessif dans beaucoup de postures mais ce grain de démesure ne doit pas cacher la justesse de certaines de ses analyses. pas plus. un discours et une pensée libre, ça se fait très rare.

Écrit par : hoplite | 09/05/2011

Les commentaires sont fermés.