31/12/2014
faith
« (…) Dans le passé, que ce soit en régime païen ou chrétien, la religion a toujours été un mode de structuration de la société globale. Aujourd’hui, elle ne structure plus rien. Les sociétés structurées par la religion ont en outre toujours été des sociétés de tradition. L’autorité dont se prévaut l’Eglise, par exemple, est à la fois toujours antérieure au moment présent et indépendante de la volonté humaine. Or, la société moderne a évacué la tradition. Certes, la notion de « société chrétienne » a souvent été idéalisée, car il n’y a jamais eu de société unanime. Certains historiens pensent même que l’Europe n’a vraiment été « évangélisée » en profondeur qu’aux XVIIIe et au XIXe siècles. Il n’en est pas moins vrai que l’Eglise est restée durant des siècles l’institution qui, partout en Europe, donnait le ton dans le triple registre des croyances, des valeurs et des comportements. Cette époque est passée. Cantonnée à l’espace privé ou aux manifestations publiques d’une association parmi d’autres, l’Eglise n’est plus, depuis longtemps, la clé de voûte de la société globale. C’est ce que reconnaît René Rémond, dans un ouvrage où il s’interroge en tant que croyant sur le déclin de la foi : « L’Eglise doit compter avec cette réalité : elle n’est plus en mesure d’imposer ses vues à la collectivité ».
A partir du XIXe siècle, la laïcité a constitué le principe (d’origine libérale) qui a légitimité la séparation des Eglises et de l’Etat. La distinction classique du spirituel et du temporel est alors redéfinie dans une optique nouvelle : les Eglises sont exclues en tant que telles de la sphère publique, pour voir leur champ d’action cantonné à la société civile. L’Etat, il faut le souligner, n’est pas en principe hostile à la religion, mais seulement aux prétentions terrestres de l’Eglise. Il ne cherche pas non plus à se substituer à l’Eglise, en décidant à sa place des valeurs et des normes qui doivent régir la société : bien au contraire, il estime que la puissance publique doit rester « neutre » en ce domaine, c’est-à-dire qu’elle n’a pas à proposer un modèle particulier de « vie bonne » (Aristote), un modèle particulier de bien, mais plutôt à respecter ou à garantir le pluralisme des convictions et des valeurs dont la société civile est le lieu. Le paradoxe est que l’Eglise doit alors se créer une place en tant qu’institution dans une société civile définie, par opposition justement à la sphère institutionnelle, comme la sphère de l’intimité individuelle et des intérêts privés. L’Eglise retrouve donc une légitimité en tant qu’institution privée, mais à la condition de ne plus se mêler de politique en voulant normer la conduite des affaires publiques. Dans ce cadre, l’affiliation religieuse ne peut plus engager que les fidèles eux-mêmes. Ceux-ci ont bien entendu le droit de vivre leur foi, mais perdent celui de l’imposer aux autres. La conséquence capitale est que la croyance devient ainsi une opinion parmi d’autres – une opinion aussi légitime que les autres, mais qui ne saurait être considérée comme intrinsèquement meilleure ou supérieure. L’avènement de la modernité, comme l’écrit Marcel Gauchet, a ainsi fait passer la foi « du statut de référence englobante de la communauté à celui d’option particulière du citoyen »3. Les Eglises ne sont plus qu’une composante parmi d’autres d’une société civile qui s’organise sur la base de l’adhésion volontaire de ses membres. »
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Commentaires
1) Avec la fin du christianisme, nous voyons le dernier reliquat de l empire romain d occident tombé. L imperialisme est peu être entrain de vivre ses derniers instants.
2) La nature ayant horreur du vide, nous sommes entrain de voir la naissance d une société théocratique en Europe. Il est a noter que jusqu a nos jours le pouvoir temporel et spirituel a toujours été séparé. Les druides, les curé ne pouvait faire de politique.... Le moyen age est une longue lutte entrain Rome et les différent roi et empereur Européens.
3) Et pourtant nous avons besoin d une religion ... Pour croire en nous, en autrui, a notre existence ....
Joyeuse année
Écrit par : libherT | 31/12/2014
Écrit par : Oscar | 31/12/2014
Alain de Benoist, C'est-à-dire, Les Amis d'Alain de Benoist, 2006.
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"En 1973, peu de temps avant sa mort, le président Pompidou reconnaissait avoir ouvert les vannes de l’immigration à la demande d’un certain nombre de grands patrons, tel Francis Bouygues, désireux de bénéficier d’une main-d’oeuvre docile, bon marché, dépourvue de conscience de classe et de toute tradition de luttes sociales, afin d’exercer une pression à la baisse sur les salaires des travailleurs français, de réduire leurs ardeurs revendicatrices, et subsidiairement de briser l’unité du mouvement ouvrier. Ces grands patrons, soulignait-il, en « veulent toujours plus ». Quarante ans plus tard, rien n’a changé. A un moment où plus aucun parti de gouvernement ne se risquerait à demander qu’on accélère encore le rythme de l’immigration, seul le patronat se prononce en ce sens, tout simplement parce que c’est toujours son intérêt. La seule différence est que les secteurs économiques concernés sont désormais plus nombreux, dépassant le secteur industriel ou la restauration pour s’étendre à des professions autrefois épargnées, telles que les ingénieurs ou les informaticiens.
La France, on le sait, a fait massivement appel à l’immigration dès le XIXe siècle. La population immigrée représentait déjà 800 000 personnes en 1876, 1,2 million de personnes en 1911. D’abord centre d’attraction des émigrations italienne et belge, l’industrie française a par la suite attiré les Polonais, puis les Espagnols et les Portugais. « Cette immigration, peu qualifiée et non syndiquée, va permettre à l’employeur de se soustraire aux contraintes croissantes du droit du travail ». En 1924, une Société générale d’immigration (SGI) est même créée à l’initiative du Comité des houillères et des gros exploitants agricoles du Nord- Est. Elle ouvre des bureaux de placement en Europe, qui fonctionnent comme une pompe aspirante. En 1931, on comptera 2,7 millions d’étrangers en France, soit 6,6 % de la population totale. La France affiche alors le plus fort taux d’immigration du monde (515 pour 100 00 habitants). « Un bon moyen pour toute une partie du patronat de faire pression à la baisse sur les salaires […] Dès cette époque, le capitalisme cherche à mettre en concurrence la force de travail en faisant appel à des armées de réserve salariales ».
Au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale, les immigrés vont de plus en plus fréquemment venir des pays du Maghreb, Algérie d’abord, puis Maroc. Des camions affrétés par les grandes entreprises (surtout dans le secteur automobile et le bâtiment) viennent par centaines les recruter sur place. De 1962 à 1974, près de deux millions d’immigrés supplémentaires vont ainsi gagner la France, dont 550 000 recrutés par l’Office national d’immigration (ONI), organisme géré par l’Etat, mais contrôlé en sous-main par le patronat. Depuis lors, la vague n’a cessé de s’amplifier. « Quand il y a pénurie de main-d’oeuvre dans un secteur, explique François-Laurent Balssa, de deux choses l’une, soit on augmente les salaires, soit on fait appel à la maind’oeuvre étrangère. C’est généralement la seconde option qui restera privilégiée par le Conseil national du patronat français (CNPF), puis, à partir de 1998, par le Mouvement des entreprises (Medef) qui prend sa succession. Choix témoignant d’une volonté de profits à court terme, qui devait retarder d’autant l’amélioration des outils de production et l’innovation en matière industrielle. Dans le même temps, en effet, l’exemple du Japon montre que le refus de l’immigration au profit de l’emploi autochtone a permis à ce pays d’accomplir sa révolution technologique avant la plupart de ses concurrents occidentaux».
L’immigration a donc au départ été un phénomène patronal. Elle continue de l’être aujourd’hui. Ceux qui veulent toujours plus d’immigration, ce sont les grandes entreprises. Cette immigration est conforme à l’esprit même du capitalisme, qui tend à l’abolition des frontières (« laissez faire, laissez passer »). « Obéissant à la logique du dumping social, poursuit François-Laurent Balssa, un marché du travail “low cost” s’est ainsi créé avec des “sans-papiers” peu qualifiés faisant office de bouche-trou. Comme si les grands patrons et l’extrême gauche s’étaient donné la main, les uns pour démanteler l’Etat-social, à leurs yeux trop coûteux, les autres pour abattre l’Etat-nation, trop archaïque ». C’est la raison pour laquelle le parti communiste et la CGT – qui ont radicalement changé d’orientation depuis – ont combattu jusqu’en 1981 le principe libéral de l’ouverture des frontières, au nom de la défense des intérêts de la classe ouvrière. (...)" suite
Alain de Benoist, 2011
Écrit par : hoplite | 31/12/2014
Il y a un truc special a la France la dedans je pense.
(Les locaux qui sont vraiment pas dociles et qu'il faut mater ? la facilité d'importer due a l'ancien empire ? L'universalisme republicain qui vulnerabilise encore plus ?)
Écrit par : JÖ | 31/12/2014
Eeh oui,etat-social,couteux.A date plus fraîche fut crée la SS,1949,six decennies plus tard j'entend sur le net,blogs,analyse de cet etat de fait de la part d'excellents analystes et chroniqueurs "les 60 desastreuses",qualifiants ainsi ce que fut la SS,avis que je rejoins tout a fait.
Pas hors sujet..:il y a quelques mois dans un comm chez notre hôte amical,j'ecrivais un nom de blog par la phrase que ledit blog place en exergue sur sa page d accueil,je me souviens que S10 le trouvait interessant ce blog,ce blog m apparait inaccessible maintenant,mais surtout,quand sur un autre terminal que le mien et dans une autre region ou je reside,je tape la phrase en exergue du blog "declinisme"dans google,la premiere reponse de gogeule est mon vieux commentaire chez Hoplite..ouioui,un doute s'instille chez moi :-)
Pensez a l eventuel mal de crâne demain si ce soir est trop festif!
Écrit par : Dom | 31/12/2014
Écrit par : EQUALIZER | 31/12/2014
L immigration, c est bien sur la faute des patrons. Meme si les lois sociales empechent les employeurs de payer les salaires en dessous d un certain niveau. Meme si le travail au noir est durement réprimé. Meme s' il faut instaurer la discrimination positive pour obliger les entreprises a engager des zivas bons a nib.
Ce type se fout de la gueule des gens. Qu il continue a drainer un auditoire si fourni au sein de la "dissidence" me donne envie de tracter pour Xavier Bertrand.
Et au japon, il n'y a pas de patron ? Leur systeme economique, c'est le marxisme léninisme ? Pourquoi donc n y a t'il pas d immigration, Si celle ci est inhérente au capitalisme ?
Longue vie à vous Hoplite et merci pour vos billets sur ce blog, toujours très stimulants.
Écrit par : eden | 31/12/2014
D'ailleurs, si vous voulez rigoler, essayez d'apprendre le nombre de langues parlées par ce grand pensant (il est incapable de parler même en anglais !) ...
Vraiment, la tragédie de la mouvance en France, c'est le manque criant des intellectuels de haut niveau.
Écrit par : Horpor | 31/12/2014
Non 40 millions d'habitants, soit environ 2,5% d'étrangers essentiellement belges et italiens.
"six decennies plus tard j'entend sur le net,blogs,analyse de cet etat de fait de la part d'excellents analystes et chroniqueurs "les 60 desastreuses",qualifiants ainsi ce que fut la SS,avis que je rejoins tout a fait."
On ne voit pas ce que la "SS" vient faire la dedans... Il faut vraiment que nous soyons tombés bien bas pour lire de telles inepties. La SS comme vous dites, malgré ses défauts, est une grande chose, l'une des seules qui montrent encore que nous sommes un peuple, avec des solidarités dans un domaine essentiel. Mais soyez heureux, elle n'en a certainement plus pour très longtemps : bientôt vous serez libre de choisir l'assurance de votre choix, libre de payer plus cher une protection inférieure, contrairement à ce que disent les canailles néolibérales.
Écrit par : Aramis | 31/12/2014
Je l'avais déjà dit sur ce blog il y a 3 ou 4 ans au sujet du Japon. Ce pays a d'abord commencé par miser sur la robotisation mais il a constaté au début des années 2000 que cela ne suffirait pas. Il s'est donc tourné depuis 2003 ou 2005 vers l'immigration. Mais sélective : sont d'abord encouragés les pays d'Asie du Sud -Est (Thaïlande, Phillipines, Corée du Sud ...) sauf la Chine puis ensuite les pays d'Amérique du Sud et les Antilles à condition que l'un des parents soient Japonais, en sachant que le Brésil abrite la plus grande diaspora japonaise au monde (entre 1,3 et 1,5 millions de personnes d'origine jap).
Evidemment ce qu'ils font chez eux, chercher des personnes proches culturellement de leur pays, ils le refusent, par l'intermédiaire de leur ambassadeur, aux autres cf déclaration de l'ambassadeur japonais à Cameron en GB après que celui-ci ait proposé en 2011 (je crois) de chercher en priorité des immigrés Euro.
Écrit par : daredevil | 31/12/2014
Écrit par : Oscar | 01/01/2015
Aramis,je vais avoir l'air de retourner completement ma veste,oui la SS a cette date est une protection meilleur qu au usa par exemple,dans ma classe sociale je ne connais pas cas de perte de niveau de vie telle que ce black au usa,vu dans un reportage,Detroit,il avait 2 emplois et il les perds donc,son logement ou il a un loyer,est un...placard de 2 m carré.
Mais je reste camper sur mon opinion,la SS a permis hélas,un "aveulissement"d'une partie trop grande,du peuple français.La SS..est,et,ses fleaux.
Je suis a penser que d eventuelles solutions neo-liberales,sont tardives,pas de remedes possibles,devant tous,une longue periode de pain noir.
Écrit par : Dom | 01/01/2015
Je troquerais volontiers tous les intellectuels de haut niveau de France et de Navarre, passés, présents et à venir, contre quelques milliers de bonhommes avec de l'esprit de suite et les idées claires.
Écrit par : Calliclès | 01/01/2015
Tout ce qui est socialiste ne fonctionne qu'à la double condition de :
1) fermer les frontières et en réserver les bénéfices aux nationaux ;
2) disposer chez le peuple d'une culture du travail fondé sur une éthique quasi-religieuse.
Écrit par : Calliclès | 01/01/2015
Il y a un truc special a la France la dedans je pense."
JO j'ai comme l'impression qu'il s'agit d'une constante anhropologique au moins depuis l’extension planétaire de la logique capitaliste à la fin du XIXeme. non?
Écrit par : hoplite | 01/01/2015
https://www.youtube.com/watch?v=MM8zOBOFFHw
Écrit par : EQUALIZER | 01/01/2015
Mais si tout nos ennuis venaient de cet encombrant lobby des lobby ce serait trop simple.
Les juifs en tant que peuple et esprit incarnent parfaitement la modernité liberale car celle ci est en phase avec leur condition de nomades fonctionnels depuis la nuit des temps...mercuriens versus apolloniens comme dirait Zletkine.
Cela rend compréhensible leur surreprésentation numérique et idéologique dans les élites liberales occidentales mais je ne crois pas à un complot juif comme a aucun autre complot planétaire pour faire disparaître la race blanche.
Mais bon..
Écrit par : hoplite | 01/01/2015
Si AdB parle aussi peu du rôle du fameux lobby c'est peut-être parce que:
i) le GRECE a pour but de produire des analyses de la crise que nous traversons et non de répéter les poncifs de l'ed,
ii) le GRECE s'est fait descendre à cause de l'attentat de la rue des rosiers. Bien qu'il n'ait rien à voir dans cette affaire, il n'a jamais pu retrouver l'audience qu'il avait au début des années 80. Ca incite à la prudence.
Les publications du GRECE font sans arrêt référence aux années 30. On rappellera également qu'AdB a été "formé" par Henry Coston, qu'il est l'inventeur du concept de réuctio ad hitlerum, qu'il est pour la suppression des lois mémorielles, ...
Quant à son islamophilie, elle rappelle celle de Sigrid Hunke et consorts.
Pour entendre des éructations sur le lobby, il y a Soral. Qui, soit dit en passant, vulgarise les thématiques du GRECE. A une époque, il reprenait systématiquement les thèmes des dossiers en les adaptant pour son auditoire de benêts.
Écrit par : Sven | 01/01/2015
Écrit par : EQUALIZER | 01/01/2015
Surement pas invulnerables.
Écrit par : JÖ | 02/01/2015
entièrement d'accord concernant la valeur des "intellectuels de haut niveau".
à EQUALIZER :
les Juifs, c'est "l'arbre qui cache la forêt".
Pourquoi s'obséder sur eux, alors qu'il est évident que leurs intentions (vraies ou fausses) ne seraient d'aucun poids s'il n'y avait personne pour leur obéir ?
Pourquoi esquiver toute réflexion sur le christianisme, l'Amérique etc., faisant semblant à tous les coups que c'est du côté des Juifs qu'il faut jeter un coup d'oeil pour comprendre ce qui se passe ?
Écrit par : Oscar | 02/01/2015
Écrit par : EQUALIZER | 02/01/2015
Le juif ou le libéral ?
Peu importe puisqu'il faut se débarrasser d'un certain nombre de parasites d'en haut.
Certains voient qu'ils sont (tous) libéraux, d'autres voient aussi qu'ils sont (très majoritairement) juifs...
Je suis d'accord avec beaucoup de ce qui a été dit sur ADB, beaucoup de blabla pour pas grand chose sinon des évidences, bravo à lui si il les a dites en premier il y a quarante ans (mais je crois qu'il n'était pas tout seul sur la place, dans les années 60, 70 et si on pousse le bouchon, des penseurs lucides il y en a eu avant, au début du XXè, à la fin du XIXè, et même remontons au plus ancien, au plus authentique, Aristote, l'Edda, etc).
J'ajouterai en tant que gros balourd autodésigné qu'ADB a une sale gueule de rat (est-ce génétique ? cela expliquerait-il ses lacunes quant à la critique envers la secte ?) -de bibliothèque-, un intellectuel assis en somme, qui aurait mieux fait de soigner son tabagisme que de noircir inutilement des tonnes de papier assis dans un coin avec son pull jacquard.
Voilà, ça c'est fait :-)
Écrit par : S10 | 02/01/2015
Informez-vous tous sur le comportement, passé et actuel, de cet hypocrite sans vraie instruction, vous en resterez bouche bée.
Il faudrait en finir, dans nos milieux, avec le culte de ces bonhommes mourants qui ne font que radoter et ricaner, conscients qu'ils sont de leur impuissance totale.
Pourtant, dans d'autres pays, surtout dans un très grand pays outre-Atlantique, il existe des savants qui ont vraiment travaillé - et, dis-je, travaillé avec tout le sérieux de la science - la plupart des questions qui nous intéressent ici, sur ce blog.
Essayez, camarades, de sortir de la non-pensée franco-française, et vous découvrirez des perles intellectuelles.
Bonne année à tous (même à Dimizanno, le Masoch de Poutine l'assassin des blancs).
Écrit par : Horpor | 02/01/2015
Gladio, Gladio, Gladio ... Cris que je lance volontiers, me sentant largement confirmé par votre appel à jeter un oeil vers "un très grand pays d'outre-atlantique" ... oh la ... celui-là gouverné par un (...) et où les blancs sont aujourd'hui une minorité risible ... et on n'a d'ailleurs qu'à s'en réjouir lorsqu'on voit de quels crétins dégénérés il s'agit. Que vive la Russie, voilà ce que j'en dis. Et aussi la Corée du Nord s'il le faut. Vive les Mongols tant qu'on y est, à l'heure de nous trouver des alliés pour nous arracher à l'Ombre anglo-islamique.
Écrit par : Oscar | 03/01/2015
Ca va bien, la petite vie ?
Sinon, avez-vous passé des tests de QI ? Vos résultats seraient intéressants à voir.
Mangez cinq légumes par jour et faites du sport.
Écrit par : Horpor | 03/01/2015
Écrit par : dizemanov | 03/01/2015
Les Français se seraient masturber sur leur nombril, n'en ayant rien à foutre des autres Européens. Ca aurait donné "Patriotes Français contre l'Euro et pour l'Antiracisme laïc républicain". D'ailleurs, le parti de gauche chevénementiste qu'est le FN homosexualiste, bien qu'à 25% dans les sondages, n'est pas foutu de faire une seule manifestation de masse sur quelque sujet que ce soit. Et quand le peuple est dans la rue, comme pour la MPT, les fiottes qui gèrent ce parti s'allient à Pierre Bergé.
Bref... Vive l'Allemagne." Boris Le Lay
http://breizatao.com/…/pegida-1-allemand-sur-8-veut-defile…/
Écrit par : dizemanov | 03/01/2015
La Russie n'est pas un endroit parfait mais c'est bel et bien de par sa volonté de plaquer l'Amérique, cet Empire du Chaos, gouverné par un demi-nègre (typique représentant de la population américaine d'aujourd'hui), que Poutine est à ce point diabolisé par des êtres pétris des valeurs essentiels de 'notre' civilisation occidentale : mensonge, duplicité et fourberie.
Avec mes spirituelles salutations ... et en vous souhaitant une bonne année excentrique (périhélie le 4 Janvier) ...
Écrit par : Oscar | 03/01/2015
Écrit par : Horpor | 04/01/2015
Merci, car c'est bien dit. Le FN actuel est une tragédie pour la mouvance, vraiment une tragédie.
Écrit par : Horpor | 04/01/2015
mais je n'ai jamais caché que je travaillais pour la CIA et faisais partie du réseau Gladio ; quand, monsieur, l'ai-je nié ?
Non, je ne le nie pas, je m'en glorifie, car, non seulement Langley paie bien (de surcroît, le dollar remonte par rapport à l'euro ...), mais, en sabotant la mouvance, je participe du projet du ZOG, projet cosmique, qui, à la fin de la fin, nous permettra de rétablir l'unicité de la planète et du genre humain que nous avons perdue, vous le savez bien, au moment où, par notre rébellion face à D.eu près de Babel, nous avons enfreint à ses commandements.
D'où, disait mon Rebbe, notre exil, notre tragédie, notre Wanderung, à travers les pays et les planètes.
Mais bientôt, bientôt, tout changera, Il reviendra, Il portera le glaive de la rédemption, et tous ceux qui nous ont offensés pendant des millénaires en payeront le prix.
A bon entendeur, salut.
Un suppôt du ZOG.
Écrit par : Horpor | 04/01/2015
Ce style de déconnade spirituelle, qui était déjà très bien entamé avec votre déclaration sur "Poutine le tueur de blancs" (?!), est un élément du problème plutôt que de la solution.
La vermine obscurantiste apporte, dans cette "mouvance" (comme vous dites) : 1°) relativisme; 2°) impossibilité de tomber d'accord; 3°) diversions, intoxications et mensonges.
Mon choix est allé vers Terre et Peuple, où ce genre de type n'existe pratiquement pas.
Écrit par : Oscar | 04/01/2015
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