16/11/2011
demandez plus à votre banquier
As Europe grinds out yet another doomed banking system rescue plan, it might be helpful to examine the underlying assumption, which is that we need these big banks.
Do we really? If Goldman Sachs, JP Morgan Chase, Deutsche Bank, Crédit Lyonnais and five or six of their peers ceased to exist tonight, what would happen? Would their absence change the number of factories, hospitals, farms, biotech research labs, oil wells, or gold mines? Would there be fewer houses or cars? Would computers get slower or TVs lower-def? No. The world of tomorrow morning would have exactly the same amount of real wealth and productive capacity as it does today. The main thing it wouldn’t have is a lot of arcane financial instruments that don’t produce anything edible, and a hundred thousand or so bankers making inordinate amounts of money moving this paper around. To the extent that those bankers would have to take jobs making real things, the post-Goldman world would arguably be richer and more productive.
The big banks’ disappearance might, admittedly, leave some ripples in the pond. Interest rates might rise and stock prices fall as countries like the US and Japan have to suddenly live within their means. Military budgets, public services and pensions would shrink dramatically. But there would be compensations. Where today’s low interest rate regime is devastating to retirees living on the proceeds of bank CDs and Treasury bonds, higher interest rates would give them back their personal incomes, probably more than offsetting lower Social Security and Medicare benefits. For young families, falling real estate prices (also due to higher interest rates) would bring starter homes within closer reach. And all those soldiers now occupying foreign countries, or training to, would be freed up to take real jobs alongside the ex-bankers.
People who have leveraged themselves to the hilt to buy various assets would have to sell, of course, but savers — especially those with a lot of precious metals — would snap up those assets and put them to productive use. Apple and Warren Buffett’s Berkshire Hathaway between them have over $100 billion of ready cash, which they’ll use to acquire and deploy cheap assets. Community banks that focus on mortgages, business loans, and customer service(!) will thrive as depositors abandon Bank of America for local institutions. Farmers markets and local farms will grow to replace a disrupted global agribusiness supply chain. Freed from all those financial sector campaign contributions, politics might even get a little cleaner.
Viewed this way, the process looks a lot less threatening, and might even be a path to the kind of world most rational people would prefer. So relax, let the big banks go, and let’s see what happens. source
Pas grand-chose, en fait: petite hausse des taux d'intérèts,une grosse baisse du prix des actions mais globalement un facteur positif pour l'économie réelle US (cf. GEAB). Comme quoi, il y a des bonnes nouvelles, Dia..
19:33 | Lien permanent | Commentaires (14)
Commentaires
"So relax, let the big banks go, and let’s see what happens"
Un vaste happening.
Qu'ils partent et observons.
pay per see…
Écrit par : Carine | 16/11/2011
et effectivement, un drôle de spectacle.
Écrit par : hoplite | 16/11/2011
Mais les prostituées iront chercher un parapluie impérial autre part, c'est certain.
Ilys se convertira en blog sino-élitiste et bouddhiste.
Écrit par : Three piglets | 16/11/2011
Entre la fin d'un long cycle et un nouveau pas vers autre chose il y aura un gap, un trou, un abîme et, la nature ayant horreur du vide, c'est là que l'on risquera de s"amuser. Et, peut-être, ce sera plus cool pour les survivants....
Écrit par : Boutros | 16/11/2011
Entre la fin d'un long cycle et un nouveau pas vers autre chose il y aura un gap, un trou, un abîme et, la nature ayant horreur du vide, c'est là que l'on risquera de s"amuser. Et, peut-être, ce sera plus cool pour les survivants....
Écrit par : Boutros | 16/11/2011
Entre la fin d'un long cycle et un nouveau pas vers autre chose il y aura un gap, un trou, un abîme et, la nature ayant horreur du vide, c'est là que l'on risquera de s"amuser. Et, peut-être, ce sera plus cool pour les survivants....
Écrit par : Boutros | 16/11/2011
Écrit par : Boutros | 16/11/2011
Voir les serviteurs du systéme, du plus grand criminel au plus petit laquais, se trouver sans protection.
Écrit par : Three piglets | 16/11/2011
Écrit par : hoplite | 17/11/2011
Dérouiller ?
Ca ne les empêche nullement de brader leur yacht à 300 millions d'euros pour en acheter un autre un peu plus logeable, environ 500 millions, comme ce chef d'entreprise hollandais qui a commencé avec rien, of course.
Ils pensent s'isoler du merdier ?
Écrit par : Carine | 17/11/2011
et, de fait, beaucoup vivent dans une sécurité (physique, financière..) relative. mais personne n'est à l'abri.
Écrit par : hoplite | 17/11/2011
«Goldman Sachs is doing the God’s work».
http://www.dedefensa.org/article-dictature_molle_type-salvador_dali_17_11_2011.html
Écrit par : Three piglets | 17/11/2011
"Le sentiment général théorique est que l’Europe est une puissance considérable, promise à jouer un rôle formidable, tandis que, dans les faits, partout et même à l’intérieur d’elle-même, s’exprime le mépris le plus complet pour cette formidable “dictature” en train de se faire. Le dernier sommet Brésil-UE, en octobre, a été une belle illustration de cette situation pour les hauts fonctionnaires de cette “dictature”. La présidente brésilienne, comme c’est de coutume pour cette sorte d’occurrence, devait faire suivre le sommet de Bruxelles de visites de bonne volonté dans certains centres importants de l’UE. Après le sommet de Bruxelles, elle a choisi de se rendre en Bulgarie, ce minuscule membre de l’UE qui entretient certaines positions dissidentes de la politique européenne, puis en Turquie, pays qui a conduit avec le Brésil une initiative à l’égard de l’Iran que l’UE (avec la France au premier chef) a complètement ignorée, sinon condamnée avant même de la connaître et sans essayer de la comprendre, conformément à l’état d’esprit du bloc BAO. L’absence d’intérêt de la présidente brésilienne pour une visite à Londres, à Paris ou à Berlin a été ressentie à Bruxelles comme une véritable humiliation et comme une gifle diplomatique. Retour à l’envoyeur, qui mesure l’estime et le respect où l’on tient la “dictature”"
la génération sarkosy-merckel-cameron-berlu va partir, il faut espérer que ceux qui viendront sauront être au niveau des enjeux et sortir de cet atlantisme de pacotille. l'europe mérite mieux, nous aussi.
Écrit par : hoplite | 17/11/2011
http://france.eternelle.over-blog.com/article-pourquoi-une-fin-du-monde-le-21-decembre-2012-88886863.html
Écrit par : S10 | 17/11/2011
Les commentaires sont fermés.