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10/12/2011

feu

bac

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« Comme le temps file ! Sept années à courir, à attraper des vilains, à esquiver les coups, à digérer les insultes et à supporter cette haine contagieuse qui suinte et se répand partout. Et me tente parfois. Mais je me refuse à basculer. Pour faire ce boulot proprement, la règle première, c'est de garder la tête froide. C'est difficile. De plus en plus difficile. Ces dix dernières années, la violence a explosé dans les quartiers, elle a aussi changé de visage. Elle se fait chaque fois plus juvénile. Nos agresseurs n'ont aujourd'hui pas plus de 13 ans, et ce sont bien eux les pires. Ils se montrent d'une férocité inouïe. Mais surtout, dans ces quartiers populaires, la population a évolué. Les jeunes d'origine maghrébine, qui tenaient le marché du deal, ont été peu à peu évincés par les Africains. Cette immigration est bien plus récente. La polygamie fait des dégâts considérables. Les enfants vivent entassés dans de petits appartements. Ils préfèrent traîner dehors et se retrouvent vite à la merci des délinquants. Ils sont bien plus pauvres et ont le sentiment de n'avoir rien à perdre, d'autant que la plupart d'entre eux viennent de pays en guerre où la violence est extrême et fait figure de règle. Sur le terrain, face à ces populations qui règlent leurs comptes à coups de machette ou avec les poings, nous nous retrouvons souvent pris en étau. Récemment, l'un de mes collègues a été mordu par une femme africaine. Son index a été sectionné et ne tenait plus que par la peau.

(…) Le début des émeutes de l'automne 2005. À l'époque, je venais d'intégrer la BAC et c'est pour moi une des pires périodes de ma carrière de policier. On allait « au feu » tous les jours sans savoir si on reviendrait en vie ou entier à la fin de la journée. Ce qui m'a surtout profondément marqué, c'est qu'à ce moment-là on a vraiment ressenti une haine pure vis-à-vis des policiers. Non seulement on l'a ressentie, mais on l'a sentie dans notre chair. Nombre de mes collègues ont été blessés. Je suis passé souvent à deux doigts de la mort. J'ai vu des boules de pétanque, des casseroles, des plaques d'égout jetées depuis les toits me frôler de quelques centimètres. Mes chaussures ont littéralement fondu, brûlées par l'acide des nombreux cocktails Molotov balancés par ces « pauvres jeunes désœuvrés ». Je me souviens avoir dû évacuer en urgence un de nos collègues, un solide gaillard de 1,90 mètre en état de choc, complètement tétanisé et terrassé par la peur. Une énorme plaque d'égout en fonte venait de passer à un cheveu de son crâne... Il ne s'en est pas remis. Impossible aussi d'ôter de mes souvenirs la vision de ce jeune policier brûlé au visage sous mes yeux. Les jeunes postés au dernier étage d'un immeuble lui avaient jeté de l'essence enflammée en pleine figure. J'étais juste derrière, j'ai eu plus de chance que lui. Ces images me hantent encore. (...) » source

17:13 | Lien permanent | Commentaires (22) | Tags : bac

Commentaires

Hors sujet mais intéressant si on ne s'attarde pas sur le parti pris des illustrations de l'article :

http://france.eternelle.over-blog.com/article-comment-hitler-s-attaqua-au-chomage-et-relan-a-l-economie-allemande-91933765.html

La comparaison de sorties de crise (de 1929) entre deux grandes économies occidentales vaut le coup d'oeil.

Écrit par : S10 | 10/12/2011

J'espère — et je partage cette espérance — que de tels témoignages seront diffusés en masse et en télé-réalité au journal de chez Vingtheures, avant le foot, la météo et la énième blennorragie de DSK ou de NS, mais après les élections (faut pas trop rêver quand même hein !) Et qu'il y aura aussi ceux des pompiers et des infirmiers ou médecins du SAMU et autres urgences — composés d'ailleurs de pas mal d'anciens de ces "cailleras" qui y font d'ailleurs un boulot remarquable et une carrière insoupçonnée et trop discrète et trop courte, à force. Mais je dois être trop candide, trop humaniste, c'est sûr... Je ne suis pas sénateur.
Sinon, je crains de lire ou d'entendre, plus tard, le témoignage d'un soldat ou d'un officier d'un régiment de paras sur le même sujet et la même zone d'opération.

Écrit par : Martin Lothar | 10/12/2011

C est interessant.
Il est serait interessant de connaitre le poids des responsabilites de Dassault dans ce desastre civilisationnel.
Juste pour illustrer mon propos sur la question.
Je note que les zones urbaines ne tiennent, logistiquement, que par le marche, ainsi que par la rente sociale et criminelle.

Écrit par : Three piglets | 10/12/2011

"J'espère — et je partage cette espérance — que de tels témoignages seront diffusés en masse et en télé-réalité au journal de chez Vingtheures"

votre vœu sera certainement exaucé dans les semaines à venir, diffusion accompagnée de quelque posture de matamore des sarko, guéant ou Fion, personnel politique appointé pour rejouer sans vergogne la partition d'une "droite sécuritaire et conservatrice" versus une "gauche sociale et progressiste"...

spectacle qui ne trompera qu'une vaste majorité de français qui ne voient pas encore que tous ces enfoirés ne sont que variantes "économique/dedroite/valeurs actuelles" ou "culturelle/degauch/libé/inrock" du même filon libéral juridico-marchand.

à l'exclusion bien sûr de toute réelle préoccupation sociale (critique du capitalisme globalisé tel qu'il ne va pas) ou conservatrice (critique de l'imaginaire progressiste tel qu'il dévaste à tout va)

"Il est serait interessant de connaitre le poids des responsabilites de Dassault dans ce désastre civilisationnel."

certainement majeur. avec d'autres (bouygues, etc.) notamment par l'initiation de flux migratoires majeurs extra-européens puis par le regroupement familial à l'origine du phénomène de substitution ethno.ique que les européens connaissent aujourd’hui. il est d'ailleurs intéressant de constater que même en pleine crise avec un chômage structurel majeur partout en Europe le MEDEF et ses épigones européens continuent, jours aprés jours, à appeler à toujours plus d'immigration ("choisie") et d'ouverture des frontières, aidés en cela par tous ceux qui ont adopté l'imaginaire capitaliste de l'illimitation (églises chrétiennes, milieux progressistes, églises laïques maçonniques, etc)

merci pour le lien, S10.

Écrit par : hoplite | 10/12/2011

Hoplite : j'avais précisé : "mais après les élections (faut pas trop rêver quand même hein !)" C'est vous dire si je suis un grand rêveur ! (et très con, comme vous le supposâtes)
Quant au "MEDEF" et autres syndicats représentatifs ou pas de mes deux de chez Franchouille SARL depuis 1918, nous aurions bien aimé qu'ils représentent ce qu'ils siglent... Hélas, poor Hoplite, to be or not to be : ils ont choisi, comme beaucoup trop d'entre nous, d'être des marionnettes, des guignols utiles et fonctionnaires.
Quant à Dassault (et d'autres du CACTUS 40) leur compte d'exploitation et leur bilan, les forceront à se poser bientôt — très bientôt, si ce n'est déjà fait — cette question grave, voire existentielle : to be or not to be european. Je vous aurai prévenus hein ! (Bon débarras, vous me direz, et l'avantage c'est qu'on recrutera ensuite tout plein de "filles muettes" chez Paul Festif Emploi — ça sera super pour la parité, alors...)
C'est sûr qu'on se démerdera sans, mais pas tous... Faudra "élaguer" un moment ou un autre.
Bien à vous.

Écrit par : Martin Lothar | 10/12/2011

Elaguer qui?
Car imaginons la même societe et sa structure sans les immigrés, imaginons la même chose que maintenant sans les Cpf, qui serait satisfait?
Le droitard certainement, moi pas en tout cas.
Elaguer l'hyperclasse est prioritaire sur le cpf, tout comme reduire Hitler dans son bunker était la cle pour que le prisonnier dans son camp puisse faire la peau à son kapo... et non l'inverse comme le croit bêtement le droitard.

Écrit par : Three piglets | 10/12/2011

"Elaguer qui?
Car imaginons la même societe et sa structure sans les immigrés, imaginons la même chose que maintenant sans les Cpf, qui serait satisfait?
Le droitard certainement, moi pas en tout cas.
Elaguer l'hyperclasse est prioritaire sur le cpf, tout comme reduire Hitler dans son bunker était la cle pour que le prisonnier dans son camp puisse faire la peau à son kapo... et non l'inverse comme le croit bêtement le droitard."

je comprend votre point de vue même si je le trouve quelque peu irénique: la ploutocratie globalisée qui fait la pluie et le beau temps de nos jours -via quelques pantins politicards de carrière couleur locale- risque d'être encore aux manettes quand vous ramasserez les pissenlits au bord des routes ou quand votre gentilhommière aura été dévastée par quelques hordes ethniques (dont parle le gars de la BAC) de cpf qui ne sont pas votre combat principal.

encore une fois, on peut se battre sur plusieurs fronts à la fois. et les cpf -bien qu'ils soient des capf grâce à nos amis ploutocrates de cette hyperclasse que vous abhorrez à juste titre- n'en sont pas moins des ennemis objectifs (je ne parle que des délinquants). kapos/hyperclasse même combat, mon ami.

Écrit par : hoplite | 10/12/2011

M.Lothar
Pourquoi " JE CRAINS de lire ou d'entendre, plus tard, le témoignage d'un soldat ou d'un officier d'un régiment de paras sur le même sujet et la même zone d'opération." ??
Moi, je l'espère, le souhaite, l'attends (pas peur d'être redondant).

Écrit par : Boutros | 10/12/2011

Le plus hideux dans tout ça c'était peut-être les élites bien-pensantes et les bobos cherchant à justifier et excuser tout ça par tous les moyens. N'importe qui ayant un __minimum__ de vécu du terrain sait bien que le gros de ces "émeutiers" ne faisait pas ça par motivation politique (ce qui nous à pourtant été seriné sans arrêt dans les médias).

Comme si on brûlait des écoles, des bibliothèques, les entreprises qui emploient les gens du quartier et les voitures de tes voisins prolos dans la même merde que toi pour envoyer un message de détresse ou un message "politique"... soyons sérieux...
On est vraiment entourés de guignols... et de cyniques.

Coincé entre les barbares et les décadents, ou comment être forcé d'apprendre le stoïcisme.

Écrit par : otchevidno | 10/12/2011

Three piglets et Boutros : nous rêvons de la même chose en fait, mais pas dans le même ordre (dans tous les sens du terme).
Je vous propose pour vous en convaincre deux métaphores :
1) je pense que vous avez déjà vu un arbre étouffé par le lierre. C'est très joli, vu de loin, mais cette pauvre bête de chêne ou d'orme en crèvera à coup sûr. Trois solutions pour le forestier : abattre l'arbre et on n'en cause plus ; arracher le lierre du sommet au sol, ce qui est efficace deux ou trois ans et qui est un travail de romain ; fouiller le sol et éradiquer les racines du lierre (travail de romain également, mais c'est le salut de votre arbre pour au moins plus de vingt ans : POUR AUTANT que régulièrement, vous éradiquez le lierre à la racine : Bref QUE VOUS RÉVISIEZ LE SYSTÈME DE FOND EN COMBLE LE PLUS SOUVENT POSSIBLE.

2) Vous connaissez sans doute le site d'Angkor (Vat et Thom, au Cambodge) : c'est un cité dont les temples satellites sont éparpillés sur une surface grande comme deux fois l'Île de France. Les premiers monuments ont été édifiés, grosso modo, au moment où, en Europe, NOS ANCÊTRES édifiaient, en autres, la cathédrale d'Amiens (au hasard, où je fus baptisé catho, ce que je ne regrette nullement — gros kick direct du droit à Sonia^^ Tare ta gueule à la récré)
A la fin du dix-neuvième siècle, les affreux fascistes européens racistes colonisateurs découvrirent ces merveilles à l'abandon et décidèrent (en bon sales nazis de leur race maudite) de les restaurer. Elles étaient en ruine, non pas tant de l'abandon des hommes, mais surtout de la nature, de la végétation qui s'incrustait entre les pierres et faisait, à force, écrouler le tout. La restauration impliquait de démonter le tout et de le reconstruire pierre par pierre. La croissance de la végétation étant telle là-bas, que le simple bon sens ordonnait d'oublier les racines (de fromager surtout) et de leur barrer le passage en remettant à la base des chapes de béton plus dur, tu meurs, et d'en remettre un couche à chaque étage (procédé de l'anastylose, pour votre information)
Méthode de reconstruction qui dura plus de 60 ans, très efficace et pour preuve : malgré les bombardements à la roquette des Khmères rouges et les pillages de futur ministre de la culture française, bon nombre de monuments d'Angkor conservent en 2011 et pour des cierges et des siècles leur splendeur d'antan.
Cela étant, les archéologues de ces temples sont persuadés qu'un de ces jours, une racine, puis deux, puis trois, perceront le béton de la chape et puis plus haut, et plus haut encore...
Three piglets et Boutros, je ne sais quel âge vous avez, mais je vous sais capables de comprendre ces deux fables.
Dois-je vous faire un dessin en plus ?
Graissez quand même votre Kalach et votre opinel : on ne sait jamais avec ces maffieux, députés et sénateurs de père en fils qui nous gouvernent (ou pas) et faites provisions de conserves enfin...

Écrit par : Martin Lothar | 10/12/2011

Je ne comprends pas que les flics ne prennent pas les choses en main à grande echelle:
Des balles dans la peau par légitime-défense sans hésitation et souvent (pas seulement une bavure). C'est eux qui sont sur le terrain, qui ont les moyens officiels de regler le compte à la pegre et ils sont encore là, avec leur bons sentiments de Pilate: j'ai mis les menottes, je laisse le juge faire son boulot...ils s'en lavent les mains, sachant que le juge est un vendu et un salaud (lui il sait qu'il ne recevra pas de plaque d'egout sur la tete); ils ont leur part de responsabilité, car ils voient alors que l'hyperclasse, intouchable ne voit rien et ne veut surtout rien voir. Quand elle se retrouvera avec quelques dizaines de cadavres sur le bitume, elle sera bien obligée de trouver des solutions durables.
c'est des gars déterminés qu'il faut, pas des traumatisés.
On est vraiment dans un monde de lavettes.
Je relisais hier le martyr de ste Perpétue et ste Félicité...elles ont des leçons à nous donner. La racaille d'aujourd'hui, c'est des petits joueurs comparée au peuple romain des années 200-300.

Écrit par : sonia | 10/12/2011

"Je ne comprends pas que les flics ne prennent pas les choses en main à grande echelle:"

Peut etre que Sonia est un peu loin de tout cela depuis bien longtemps.

Écrit par : johny Walker | 10/12/2011

"Peut etre que Sonia est un peu loin de tout cela depuis bien longtemps."
J'en ai bien peur aussi... En plus, elle n'est pas toute seule. Et ça se permet de donner des leçons. Vae victis, comme disait l'autre.

Écrit par : Martin Lothar | 10/12/2011

"Je ne comprends pas que les flics ne prennent pas les choses en main à grande echelle"

C'est sur que vous etes completement hors de la realité.

La "grande echelle" n'est pas decidée par les flics qui sont des excutants.

Aux mieux ils font ce qu'ils peuvent ponctuellement, mai sà grande echelle...

Écrit par : JÖ | 10/12/2011

bien sur que je suis loin de tout cela, mais ceux qui veulent elaguer l'hyperclasse, elaguer tout la racaille par l'operation du st esprit, sont eux dans la realité...du bavardage, du fantasme et le chaos s'installe toujours plus, de plus en plus pres de vos retranchements de petits blancs bavards.
Les flics ont pour mission de proteger la societe contre les fauteurs de touble, ils sont habilité a faire regner la terreur dans les cites. Ils sont habilités a faire comprendre à toute cette racaille qu'ils ne sont pas dans un gigantesque jeu de role où tout est permis en toute impunite. Si ces jeunes pouvaient comprendre que la mort les attend au coin de la rue quand ils se livrent à leur actes de violence, plus d'un resterait planqué chez lui.
Les flics sont certes des executants, mais la societe d'aujourd'hui a besoin d'executeurs, de mecs qui savent prendre des decisions de guerre pour avoir la paix, qui savent trouver en eux un echos au dilemme d'Antigone.
Ceux qui sont au-dessus doivent finalement se retrouver debordés par leurs subordonnés qui agissent en etat de legitime-defense. Et si je dis à grande echelle, c'est parce qu'il en faut des dizaines, des centaines...un cas isolé sera forcement condamné.

Écrit par : sonia | 11/12/2011

"petits blancs bavards."

tt tt, pas de discrimination^^

"Les flics sont certes des executants, mais la societe d'aujourd'hui a besoin d'executeurs, de mecs qui savent prendre des decisions de guerre pour avoir la paix, qui savent trouver en eux un echos au dilemme d'Antigone."

je crois que tout le monde -au moins ici- peut se retrouver là-dessus, mais ça ne semble pas être la priorité des pouvoirs en place qui s'ingénient -à l'inverse- à déconstruire et à désarmer toutes les possibilités de maintenir la paix civile.

ie, nos libéraux d'un côté produisent jours aprés jours des torrents de "vivre-ensemble" qui font ricaner les hordes de cpf tout en désarmant, de l'autre côté, les flics et en sapant méthodiquement les conditions d'une paix civile (éducation, famille, ordres intermédiaires que sont syndicats, armée, corporations, quartiers, villages, cultes, brefs tous ces lieux de socialité ordinaire et primaire qui de tous temps ont produits des êtres relativement civiques et sociables.

c'est la grande schizophrénie de nos modernes.

Écrit par : hoplite | 11/12/2011

Je crois que c'est quelque part, pour beaucoup l'importation d'un "genie" americain inadapté à l'Europe et à la France (Tout comme la culture islamique est inadaptée).

Mais il reste des gens dans les "corps intermediaires" qui peuvent reprendre la main.

Et on ne detruit pas la resillience d'un pays ancien comme la France aussi facilement.

Écrit par : JÖ | 11/12/2011

Ben si, JO, hélas.
La preuve : tous les jours, partout, et depuis longtemps.

Écrit par : Boutros | 11/12/2011

"Et on ne detruit pas la resillience d'un pays ancien comme la France aussi facilement."

serait tenté d'être mesurément optimiste, comme vous JÖ. même si les apparences sont parfois tragiques, une civilisation comme la nôtre (je suis hoplite..) ne s'éteint pas en quelques décennies. et a sans doute connu des moments aussi désespérants.

Écrit par : hoplite | 11/12/2011

Je parle de resillience.

Evidement on peut saper le pouvoir et l'influence d'un pays et tenter d'acculturer sa population.

L'anihiler totalement c'est une autre histoire , et de plus les forces qui jouent à ca ne sont pas non plus invulnerables...

C'est difficile à dire mais "les braves gens" (Avec toutes les limites que vous voulez), ca existe encore, c'est tout...

Écrit par : JÖ | 11/12/2011

"Je parle de resillience."

moi aussi..

Écrit par : hoplite | 11/12/2011

"Et pourtant!....Savait-on s'il n'y avait point des Mucius scoevola et des Brutus parmi ces gens qui ne croyaient plus, au fond,qu'a leur ventre;des convaincus capables de se sacrifier,encore, pour une loque d'idée, comme on se fait tuer pour les haillons d'un drapeau" Les Pharisiens Georges Darien

Bonne question n'est-ce pas?

Écrit par : DOLMEN | 11/12/2011

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