01/07/2012
le serpent de Tobrouk
merci à Soral..
21:52 | Lien permanent | Commentaires (14)
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Commentaires
Après…
Dédidément, les serpents, j'aime pas trop ça, moi.
Je déteste , même.
Écrit par : Carine | 02/07/2012
Écrit par : hoplite | 02/07/2012
Il y a eu un revirement total, maintenant il est invité partout, encensé, écouté et ce qui est plus grave, influent en matière d'huile sur le feu (cf la Libye), en acharné sayan qu'il est.
Heureusement qu'il n'y a toujours aucun public pour acheter ses navets (écrits ou filmés) !
Si seulement une météorite de la taille d'un bus pouvait s'écraser sur sa soirée annuelle de sa boîte "la règle du jeu", on serait débarrassé d'un coup d'une belle brochette de nuisibles ! Et une autre sur le dîner du crijf tant qu'à faire !
Après ça, faire le ménage avec les autres parasites (de "banlieue"), serait une affaire vite réglée...
Écrit par : S10 | 02/07/2012
Il fait des chèques pour qu'on le suce, et on le suce, effectivement.
Écrit par : Calliclès | 02/07/2012
Et il ne faut pas oublier Renaud !
Je pense que vous la connaissez cette chanson :
http://www.youtube.com/watch?v=LsWHHjW2wso&feature=related
L'enregistrement est très mauvais, mieux vaut le CD (Boucan d'enfer).
On dirait qu'il fait la voix d'un choriste et pas la vraie mélodie.
Écrit par : Carine | 02/07/2012
BHV fait des chèques avec le fric du contribuable.
C'est autrement plus amer.
Merci Carine pour le lien ; c'est mieux que le CD - que j'ai d'ailleurs, comme tout le reste de Renaud.
Écrit par : Sclavus | 03/07/2012
de rien!
mais perso, je préfère le CD. Avec le nain de jardin etc…
J'aime bien Renaud, c'est sûrement un reste de mon passé trotsko.
Et je déplore qu'il se détruise.
Mais bon, les virages ne sont pas toujours facilement négociables.
Écrit par : Carine | 03/07/2012
Ca fait mal.
Écrit par : Carine | 03/07/2012
Écrit par : hoplite | 05/07/2012
Les derniers grands intellectuels français ont rapidement démonté la supercherie, que ce soit Bourdieu, Vidal-Naquet ou encore Catoriadis (dans un texte repris dans la Montée de l'insignifiance :-)):
« Sous quelles conditions sociologiques et anthropologiques, dans un pays de vieille et grande culture, un “auteur” peut-il se permettre d’écrire n’importe quoi, la “critique” le porter aux nues, le public le suivre docilement – et ceux qui dévoilent l’imposture, sans nullement être réduits au silence ou emprisonnés, n’avoir aucun écho effectif ? »
La fin des années 70 et le début des années 80 est une époque charnière pendant laquelle se sont mis en place les mécanismes de domination du système par la culpabilisation des Européens. BHL a en a été un acteur très actif.
Écrit par : Sven | 06/07/2012
Les derniers grands intellectuels français ont rapidement démonté la supercherie, que ce soit Bourdieu, Vidal-Naquet ou encore Catoriadis (dans un texte repris dans la Montée de l'insignifiance :-)):
« Sous quelles conditions sociologiques et anthropologiques, dans un pays de vieille et grande culture, un “auteur” peut-il se permettre d’écrire n’importe quoi, la “critique” le porter aux nues, le public le suivre docilement – et ceux qui dévoilent l’imposture, sans nullement être réduits au silence ou emprisonnés, n’avoir aucun écho effectif ? »
La fin des années 70 et le début des années 80 est une époque charnière pendant laquelle se sont mis en place les mécanismes de domination du système par la culpabilisation des Européens. BHL a en a été un acteur très actif.
Écrit par : Sven | 06/07/2012
Bonnes vacances hoplite.
Écrit par : Sven | 06/07/2012
Un article monumental, essentiel, de Charlie Skelton, paru dans le Guardian du 12 juillet 2012.
Je me suis donné du mal pour que vous disposiez d’une traduction plus correcte et complète que celles déjà disponibles sur le Ouaibe.
http://verslarevolution.hautetfort.com/archive/2012/07/28/opposition-syrienne-qui-produit-le-discours.html
Écrit par : Boreas | 29/07/2012
Écrit par : hoplite | 30/07/2012
Les commentaires sont fermés.