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06/05/2015

"vivre-ensemble" pour les uns, cohérence ethnique pour les autres, le double standard habituel du CRIF

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 "Il faut le dire clairement : les pratiques décrites par Robert , son discours, ses intentions, sont abjects ! "4:06 PM - 6 Mai 2015

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« Au CRIF, la thématique du « vivre ensemble » est une préoccupation de chaque instant »

Propos recueillis par Katja Epelbaum, interview de Marc Knobel, Directeur des Études du CRIF, publiée dans Hamodia le 17 septembre 2014

"Comment cette thématique s’est-elle imposée à vous ?

Au CRIF, la thématique du « vivre ensemble » est une préoccupation de chaque instant, à travers l’action et les échanges avec l’ensemble des corps constitués de la société civile. Nous avons toujours voulu exprimer notre opinion à différents interlocuteurs quelque soit le sujet, nous avons toujours cherché à expliquer, notamment quand la situation devenait conflictuelle ou menaçait la communauté juive, afin d’instaurer un dialogue et de pacifier.(...)" source/CRIF

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bla bla bla, Knobel est bien le clone de son coreligionnaire, le sinistre Meyer Habib, (binational franco-israélien, député de la 8e circonscription des Français de l'étranger et membre de la commission des affaires étrangères de l’Assemblée nationale), spécialiste du double standard, comme l'écrivait fort bien Deschamps sur Scriptoblog:

" (...) Si l'on résume donc la position d'un homme comme Meyer Habib, nous sommes obligés de dire qu'en France, en tant que vice-président du CRIF, il défend une société multiculturelle (où les Juifs de la Diaspora sont comme des poissons dans l'eau), tandis qu'en Israël, il fait campagne pour Netanyahou sur une ligne "dure" (Israël, état unitaire juif, dans une vision compatible avec celle de Lieberman). Derrière ce paradoxe, on discerne deux caractéristiques qui suffisent au fond à circonscrire le paradigme à l'intérieur duquel le CRIF évolue :

a) Total soutien à Israël, droit pour l'Etat juif de défendre bec et ongle une identité cohérente, donc une véritable doctrine identitaire juive,

b) Refus absolu d'accorder aux peuples non-juifs un droit similaire à revendiquer la cohérence de leur identité propre, afin de maintenir la possibilité, pour les Juifs de la Diaspora, de se réclamer de deux identités simultanément.

On constatera donc en premier lieu que le CRIF, tiraillé entre les intérêts de la Diaspora en France et ceux de l'Etat d'Israël, tient deux discours parce qu'il y est contraint. Ceci implique d'une part que les membres du CRIF parlent du seul point de vue de leurs intérêts (ils ne sont pas les seuls, évidemment), d'autre part que leurs intérêts les rattachent en partie à une puissance étrangère (ce qui pose clairement le problème de la double allégeance). Cependant, au-delà de ces constats somme toute universellement admis désormais, la capacité des membres du CRIF à assumer leurs contradictions dit quelque chose sur leur formule de pensée.

Ce paradigme contradictoire ne l'est  en effet que si l'on admet, comme la plupart des gens, que toutes les identités ont le droit d'être, séparément mais au même niveau, parce qu'on admet qu'elles sont toutes de même nature. La contradiction interne est cependant résolue si l'on admet que l'identité juive est vue par les membres du CRIF comme supérieure par essence aux autres identités. Et puisqu'il est évident que ces gens ne peuvent assumer leur pensée qu'en dépassant les contradictions internes, il faut forcément conclure qu'à leurs yeux, l'identité juive est bel et bien d'ordre supérieur. C'est pourquoi, à leurs yeux, il est normal qu'un droit accordé aux Juifs ne le soit pas aux non-juifs. Une inégalité des droits qui fonde bel et bien une vision raciste, ou en tout cas (si l'on considère que la judéité n'est pas un fait racial), un différencialisme de domination.

Dans ces conditions, on comprendra que les "leçons de morale" prodiguées chaque année par les membres du CRIF aux dirigeants du peuple français (et à travers eux à tous les Français) n'ont qu'une portée limitée. Ou pour le dire plus brutalement : nous devons considérer que la relation avec les milieux pro-israéliens incarnés dans le CRIF est un pur rapport de forces, qui doit être géré comme tel, sans considération aucune pour des valeurs d'égalité, de fraternité, d'universalité, qui sont totalement étrangères à l'univers mental de notre vis-à-vis. Souhaitons que cette conclusion débouche sur une voie de négociation raisonnable, et pas sur la généralisation aux "Juifs de France" des jurisprudence qu'ils établissent eux-mêmes, en Israël/Palestine."

source/ Scriptoblog/ Maurice Deschamps


podcast

Commentaires

Dans le même genre, Philippe Grasset de Dedefensa vient de tomber le masque dans sa dernière vidéo :
http://www.dedefensa.org/article-vid_o_06_le_d_terminisme-narrativiste_15_04_2015.html
Il dit clairement à 13'40 :
- Il n'y a pas de complots, c'est risible...aucun groupe humain n'est capable d'accomplir cela.

Donc circulez, y a rien à voir.

Écrit par : Jazzman | 06/05/2015

bah !
en ce moment la marine va en chercher 3000 par jour (sans compter ceux qui passent inaperçus). Rapide calcul 3000 x 360 –> 1 millions par an... en gros. Et le rythme va s'accélerer. Bientôt le cannibale Erythréen dans votre ville...
La classe moyenne blanche va adorer. En même temps c'est un peu sa faute aussi...

alors toutes ces discutes là... bientôt... bof !

Écrit par : Mistersmith | 07/05/2015

Quand a-t-on commencé à perdre toute conscience ethnique,ou plutôt esprit de groupe,chez nous?

La révolution industrielle?

Si on prend comme référentiel le début du métissage,ça remonte chez moi au mêmes dates,fin 19ème,voire début.

Les communistes ont brièvement remplacé le truc,mais bon...

Écrit par : Erwinn | 07/05/2015

Sur le sujet principal du fil, répétons encore et toujours que ce n'est pas parce qu'un "lobbyiste" dit quelque chose, que cette chose est forcément fausse dans sa mécanique interne. Pour un peuple, l'instinct de cohérence ethnique doit évidemment toujours rester un comportement à préserver, à défendre scrupuleusement. S'il faut attaquer le "lobby" sur ce point, c'est uniquement parce qu'il s'autorise de pratiquer les comportements vitalement nécessaires qu'il nous interdit.

@Jazzman, oui, d'accord avec toi. La réticence par rapport au concept de "complot" est un excellent marqueur. Dommage, d'habitude DeDefensa, c'était plutôt bien.

Écrit par : UnOurs | 07/05/2015

"Une inégalité des droits qui fonde bel et bien une vision raciste..."

Oui, et alors ?
Le problème, évidemment, n'est pas que cette vision est "raciste", mais que ce "racisme" empêche notre "racisme" de se déployer. Il convient donc de ne pas condamner le "racisme" en tant que tel, mais uniquement le "racisme contre nous". Petite pique contre les "réconciliationnistes" qui pensent lutter contre le "lobby", en utilisant une dialectique planétariste qui, au final, sert les buts de long terme du "lobby". Bon, ne tirons pas sur les ambulances, ces pauvres gars, du moins ceux qui étaient sincères, doivent bien commencer à réaliser, que non, "ce ne sera pas possible".

Écrit par : UnOurs | 07/05/2015

Le souci des racialistes est de ne pas penser politique. A partir de la critique des autres est moins legitime.

Essayer de nous faire croire que l on va organiser une ré immigration sans chercher à prendre le contrôle de l appareil d etat, et de mettre hors état de nuir les donneurs d ordre et beneficiaires (en gros, les detenteurs de compte en banque en suisse et à Singapour), est une histoire encore plus incroyable que la réconciliation.

Toujours amusant de constater que le droitard n'a toujours pas tiré les leçons des corps francs allemands.

Écrit par : Three piglets | 07/05/2015

"Essayer de nous faire croire que l on va organiser une ré immigration sans chercher à prendre le contrôle de l appareil d etat, et de mettre hors état de nuir les donneurs d ordre et beneficiaires"

Il n'y a effectivement que des naïfs et surtout, d'éternels discoureurs et faiseurs de programmes pour parler ainsi. Personne de sérieux ne croit qu'on peut exercer le pouvoir sans le détenir.

Cela dit, les corps francs allemands se sont battus contre les rouges, c'était la priorité absolue du moment (un peu comme ont eu raison ensuite, dans le moment, les défenseurs de l'Algérie française). Il est trop facile de juger l'histoire avec un siècle de recul.

Écrit par : Olivier | 07/05/2015

Oui, les rouges, ennemis absolus, tout comme les cpf aujourd'hui pour les droitards. Et la mon jugement est actuel.

Sinon, pour recadrer le débat, un article, avec un concept amusant , concept applicable au tandem gauchiste droitard:

http://comptoir.org/2015/03/10/plaidoyer-contre-la-pensee-marabout-de-ficelle/

Écrit par : Three piglets | 07/05/2015

merci TP

"Il est manifeste qu’une telle pensée aveugle le camp socialiste, et le conduit à ignorer l’apport fécond de penseurs qui ont pu politiquement s’égarer, ou qui n’adhèrent pleinement à certains credo modernes à la mode. Des penseurs inclassables sont ainsi tout simplement ignorés ou méprisés, qu’ils aient pu remettre en cause des dogmes du libéralisme – pensons à Georges Sorel[x] qui pouvait fustiger la démocratie libérale représentative (qu’il confondait erronément dans les termes avec la démocratie) tout en valorisant la démocratie ouvrière directe, critiquer le rationalisme abstrait et vanter les vertus guerrières tout en fustigeant la violence étatique – ou qu’ils aient refusé le clivage gauche-droite – Jean-Claude Michéa, Christopher Lasch, Georges Bernanos. Les romantiques, admirablement remis en valeur par Michaël Lowy et Robert Sayre, sont gommés de l’histoire des idées ou relégués au rang de réactionnaires pour avoir critiqué l’idéologie du Progrès, l’optimisme des Lumières, leur culte de la Raison ou leur individualisme. Zeev Sternhell l’a assez bien montré : quiconque s’écarte de ce droit chemin libéral ne peut être qu’un précurseur ou un idéologue du fascisme. Michelet, Mussolini, De Maistre, Péguy, Lévy-Strauss, Nicolas Sarkozy, Finkielkraut, Maurras, même combat « anti-Lumière » pour cet éminent historien des idées !"

mais faut arrêtre de parle de "camp socialiste", bordel.

ce ramassis de métrosexuels grégaires libéraux-libertaires absolument irréprochables n'ont strictement RIEN de socialiste. rien.

Écrit par : hoplite | 07/05/2015

Ce qui est, en fait, amusant dans ce non-dialogue, c'est d'être désigné comme quelqu'un qu'on n'est pas. On a beau ne pas être "droitard", même selon les propres critères de l'interlocuteur, on ne continue pas moins de se faire traiter de "droitard". En parlant de pensée maraboutdeficelle...

Écrit par : Olivier | 07/05/2015

"Le souci des racialistes est de ne pas penser politique."

Je ne me sens pas visé. Je sais bien que le "racialisme" (j'utilise ce mot-code par flemme), ce n'est électoralement pas porteur. Si j'étais en situation d'arriver à un poste de pouvoir, bien entendu que je me mettrais ma belle pelisse de mouton pour cacher mon échine de loup. Et s'il fallait sourire pour conquérir l'électeur, je ne découvrirais pas trop mes dents, mais le sourire, gueule fermée, alors jusque aux oreilles. Mais en dessous, le loup. Le problème avec ceux qui se présentent ouvertement comme "non-racialiste", on ne sait pas trop ce qu'il y a en dessous. Si c'est un loup, bienvenue camarade, quand on se débarrassera de nos déguisements, on se marrera bien ensemble. Mais si en dessous de la laine, c'est un mouton, il finira croqué.

Et quand à voir l'allogénat comme un problème secondaire, une simple conséquence, deux erreurs de base: à partir d'un certain seuil, le poids finit par produire une force. Et probablement, dès le départ, avant que ce poids ne se fasse sentir, il est probable que cet allogène puisse et veuille se mouvoir sur ses propres "batteries".

Quant à imaginer prendre le pouvoir, c'est d'une naïveté. Le FN au pouvoir, si ça "marche", ça finira "à la Fini". Ce qu'il faudrait, c'est que ça ne marche pas et que le truc saute. On ne peut décemment pas souhaiter cela, la guerre ethnique (pas "civile" la guerre, on n'est pas républicain, les cartes d'identité, rien à battre), mais c'est la seule chose de souhaitable si l'on veut survivre.

Écrit par : UnOurs | 07/05/2015

Ah s'il y avait des allogènes sincères, dans notre camp, qu'ils le prouvent en faisant "les cosaques". Installez-vous en bordure de continent, vous pouvez même être un peu autonomes, MAIS empêcher les autres, ceux qui vous ressemblent, de passer, de monter au nord. Là, on verrait qui est qui.

Écrit par : UnOurs | 07/05/2015

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