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02/01/2015

ça commence bien


 

«  (…) Si l'Europe succombe, si notre civilisation disparaît, noyée par le chaos ethnique, envahie par la religion du désert, subordonnée à l'ordre imbécile et souvent criminel de la World Company américaine, nos colonisateurs n'auront pas à se réjouir. Ils nous auront colonisés et décérébrés, mais ils ne laisseront aucune trace dans l'histoire. Ils ne fonderont aucune civilisation durable, parce qu'ils n'en ont pas le talent historique. Ils ne laisseront que champs de ruines et désolation derrière eux. Ils auront scié la branche sur laquelle ils se sont assis. Sic transit gloria mundi.  Il faut que certaines choses soient dites. Pour les générations futures. Qu'au moins la postérité sache que certains savaient. Que notre génération n'était pas totalement lâche et stupide. Chaque peuple est solitaire face à son destin. Un peuple privé de ses dieux, parce qu'il les a bannis, n'a plus la force de se battre. Il n'ose plus faire couler le sang de ses ennemis, donc son propre sang ne coule plus en ses veines. Nous sommes issus d'une civilisation supérieure. Contre les censeurs et les intellectuels, il faut affirmer cette évidence.

Il faut se battre, se battre, toujours se battre - et d'abord contre soi-même - pour ne pas se laisser aller. C'est la leçon du Cid de Pierre Corneille. Il faut chasser le désespoir, l'affronter et, au final, le vaincre. L'horizon est noir, mais comme disait Hölderlin, c'est au plus profond de la nuit, c'est à la minuit du monde qu'on est sûr que le soleil se lèvera et que l'heure du matin se rapproche. L'essentiel est de garder son âme sereine Il faut puiser au fond du psychisme individuel et populaire, les gisements de forces de résistances et de reconquête.

L'islam pense à long terme. Son objectif est d'écraser toute laïcité et de ne tolérer, tout en les soumettant et les opprimant, que les seules religions du Livre, les deux premières, la juive et la chrétienne totalement soumises à sa volonté.

C'est l'esprit bourgeois qu'il faut abolir. Cet esprit bourgeois qui désarme l'homme européen. Qui l'empêche de défendre ses femmes et ses enfants, qui le dévirilise. La tolérance, la commisération, la pitié pour l'Autre, le lointain ; l'indifférence pour ceux de son clan, pour ses proches : telle est la logique de l'esprit bourgeois, cette peste qu'il faut combattre selon l'ordre nietzschéen del'Umwertung, le “renversement de toutes les valeurs”. Notre poison intérieur est bel et bien l'individualisme matérialiste bourgeois, ce mélange de xénophilie abstraite et d'angoisse xénophobe et inavouée.

Le bourgeois, surtout s'il se veut moderne et branché, signe des pétitions pour accueillir toujours plus de “sans-papiers” impunis, mais refuse d'inscrire ses enfants dans les écoles publiques trop denses en immigrés. Le bourgeois ne se préoccupe nullement du peuple auquel il appartient, son principal souci étant son enrichissement et sa sécurité personnels. Au cours du XXe siècle, il a même perdu le sens de la communauté familiale. Il n'a pas d'idées : ses idées ne sont que des affiches sociales, qui varient au gré des modes et de ses intérêts.

En ce sens, face à la colonisation de peuplement, à la défiguration de la civilisation européenne et de songermen, le bourgeois n'est pas concerné ; parce qu'elle ne l'atteint pas (encore) personnellement. La bourgeoisie ne pourra basculer que lorsque les désordres ethniques la toucheront directement et concrètement. En ce sens, la bourgeoisie est bien une masse molle, aisément manipulable et pusillanime, qui cède à toute force et se range toujours du côté du manche. Des minorités actives, surgies du peuple, peuvent la retourner en cas de crise. Une paupérisation économique comme une guerre civile seraient suffisantes pour disloquer l'esprit bourgeois.

Les docteurs de la foi mahométane, les élites musulmanes, prennent à juste titre les Européens pour de grands naïfs, incapables de déceler leur rouerie. Mais ils se trompent. Ils devraient se souvenir de la reconquista espagnole et du coup d'arrêt du Franc Charles Martel. Contre le sabre d'Allah, l'épée cruciforme des Croisés demeure dans son fourreau. Et la Croix du Christ se laisse desceller, tandis que les églises sont offertes et transformées en mosquées et qu'à Rome même, symbole s'il en est, on s'apprête à en construire une immense. S'abattra peut-être un jour la foudre de Zeus ou le Marteau de Thor. »

G Faye/ source

Commentaires

Auteur intéressant, Guillaume Faye ... quoique pas mal embourgeoisé aujourd'hui, s'étant transformé en défenseur du libéralisme économique. Personnellement odieux, il restera de toute façon dans sa bulle ad vitam aeternam. Typique intello parisien.

Écrit par : Oscar | 03/01/2015

"La bourgeoisie n'a d'autre valeur que de les trahir toutes." Salvador Dali

Écrit par : libherT | 04/01/2015

On le retrouvera noyé dans une baignoire de Vodka , flambé en allumant une clope ... a dit et écrit du solide ... se répète (comme tout le monde) . Passé au sionisme , sa retraite est assurée . Dommage ...

Écrit par : EQUALIZER | 04/01/2015

haha ! Salvador Dali allias "Avida Dollars" :) au cours d'une conférence devant des élèves d'une grande école (penchant à gauche) il dit "j'ai trahi ma classe..." les jeunes attendent le scoop ... "JE SUIS DEVENU ARISTOCRATE" :) déception dans la salle . Hilarité à droite ! :) c'était autre chose que les Jef Koon et autres escrocs à "merde d'artiste" !

Écrit par : EQUALIZER | 04/01/2015

@LibherT

Vous maugréez contre la méchante bourgeoisie, fort bien, c'est le droit que vous accorde la liberté de parole acquise par les hommes de l'élite (et pas par des hommes du bas peuple, incapables de voir plus loin que leur litron de rouge).

Mais, dites-moi, brave prolétaire (l'êtes-vous vraiment, n'avez-vous rien de plus que vos enfants ? Pas de petit pavillon, une misérable voiture, un ordinateur conçu par les Yankees ?), si vous détestez les prétendues valeurs de la 'bourgeoisie', quelles sont, alors, vos propres valeurs ?

Eructer sur la toile, cacher son impotence, en regardant les sites de charme cybernétiques ?

Ah, j'ai compris, j'ai compris vos valeurs, c'est bien, toujours et toujours, la vieille envie de l'esclave face à son maître ? Mais sachez que l'on n'y peut rien, l'esclave sera toujours esclave, syndicalisé ou pas, et le maître sera le maître, avec ou sans manoir.

Écrit par : Horpor | 04/01/2015

Horpor, certains l'ont deja dit, la bourgeoisie est surtout un etat d'esprit.

"Le prolo est un bourgeois qui n'a pas reussi"

Écrit par : JÖ | 05/01/2015

Les commentaires sont fermés.