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Laurent Ozon
30 mai, 10:14 ·
Bonjour,
J'ai décidé de cesser toute activité politique.
Je ne veux pas engager de débats sur les raisons de cette décision. Ceux qui me connaissent me comprendront sans un mot d'explication. Pour les autres, ce serait un peu long à expliquer. Retenez seulement en synthèse que j'ai épuisé mon énergie et mes moyens, sans regret, pour contribuer à faire vivre quelque chose que je ne vois plus, ou alors que je vois ailleurs. J'y aurais brûlé beaucoup. Un potlach sans objet. Je vois trop bien la suite.
Malgré quelques rencontres touchantes et amitiés qui resteront, les seuls engagements dont je resterai vraiment fier, pour y avoir rencontré des "hommes", ce sont mes engagement écologistes radicaux.
Mes activités de recherche et d'écriture se poursuivent. La vie m'appelle à nouveau. ;)
"Là où il n'y a plus rien à aimer, tu dois passer ton chemin". Friedrich Nietzsche
Bonne journée !
Laurent Ozon
PS. Ma conférence de mardi sera donc annulée et l'organisation procédera au remboursement des réservations sous 24/48 heures. Pour le reste, Je poursuis.
Écrit par : dizemanov | 01/06/2016
dizemanov
" pour y avoir rencontré des "hommes"
No comment en effet.
Écrit par : JÖ | 01/06/2016
JÖ
Que se passe-til chez Ozon?
Écrit par : Hoplite | 01/06/2016
Hoplite
Il devient de plus en plus clair que la voie politique nous est définitivement barrée.
Que la voie nationaliste s'estompe aussi, comme nos nations n'existent déjà presque plus.
Que la voie identitaire s'efface également, comme une identité sans nation
et sans moyens d'action politiques, c'est un peu comme une plante sans racines,
qui se dessèche et meurt très vite.
Que nous reste t-il et pourquoi il ne faut pas abandonner ?
La race.
Pour ma part, je ne suis plus nationaliste, j'ai vu mon pays disparaître en moins de 15 ans.
Je ne suis plus identitaire, l'identité de mon pays a été balayée.
Mais je suis et je reste un Blanc.
Et bien conscient de m'engager sur un chemin dont je ne verrai jamais le bout.
Mais il faut continuer à marcher, en gardant quelques braises cachées sous le manteau.
Voilà ce que nous devons faire, garder des braises cachées.
Ce n'est pas nous qui allumerons de grands incendies.
Peut-être que personne n'allumera ces grands incendies.
Mais ce dont je suis sûr, c'est que sans braises,
il n'y aura plus jamais de grands incendies.
... je ne suis ni assez désespéré ni assez intelligent pour abandonner. Certes, il y a beaucoup de choses que nous allons devoir abandonner, probablement nos pays, nos paysages, une bonne partie des nôtres, mais ça, jamais.
Écrit par : UnOurs | 01/06/2016
UnOurs
Excellente cette chanson de Frusciante.
Écrit par : UnOurs | 01/06/2016
UnOurs
Personnellement je n'abandonnerai pas ma terre et celle de mes ancêtres .
Peut être qu'Ozon se rend compte que se lancer dans la politique ce n'est plus rentable ?
Écrit par : Hugues capet | 02/06/2016
Hugues capet
Hugues, peut-être devrons-nous faire ce qu'on fait les Russes à Moscou devant Napoléon?
"Nous devons abandonner Moscou, mais la Russie restera vivante partout où nous sommes"
Général Souvorov
Se replier, si possible en bon ordre.
Se rassembler et tenir.
Attendre, puis reprendre.
Écrit par : UnOurs | 02/06/2016
UnOurs
Ouais enfin un ours, les tresors que vous affichez existaient il y a un siecle de chaque coté du Rhin...
Cela dit "ne pas tenir compte" des races est un luxe qu'il est difficile de se permettre.
Commentaires
https://youtu.be/GofJM4_CP-U
Laurent Ozon
30 mai, 10:14 ·
Bonjour,
J'ai décidé de cesser toute activité politique.
Je ne veux pas engager de débats sur les raisons de cette décision. Ceux qui me connaissent me comprendront sans un mot d'explication. Pour les autres, ce serait un peu long à expliquer. Retenez seulement en synthèse que j'ai épuisé mon énergie et mes moyens, sans regret, pour contribuer à faire vivre quelque chose que je ne vois plus, ou alors que je vois ailleurs. J'y aurais brûlé beaucoup. Un potlach sans objet. Je vois trop bien la suite.
Malgré quelques rencontres touchantes et amitiés qui resteront, les seuls engagements dont je resterai vraiment fier, pour y avoir rencontré des "hommes", ce sont mes engagement écologistes radicaux.
Mes activités de recherche et d'écriture se poursuivent. La vie m'appelle à nouveau. ;)
"Là où il n'y a plus rien à aimer, tu dois passer ton chemin". Friedrich Nietzsche
Bonne journée !
Laurent Ozon
PS. Ma conférence de mardi sera donc annulée et l'organisation procédera au remboursement des réservations sous 24/48 heures. Pour le reste, Je poursuis.
Écrit par : dizemanov | 01/06/2016
No comment en effet.
Écrit par : JÖ | 01/06/2016
Écrit par : Hoplite | 01/06/2016
Que la voie nationaliste s'estompe aussi, comme nos nations n'existent déjà presque plus.
Que la voie identitaire s'efface également, comme une identité sans nation
et sans moyens d'action politiques, c'est un peu comme une plante sans racines,
qui se dessèche et meurt très vite.
Que nous reste t-il et pourquoi il ne faut pas abandonner ?
La race.
Pour ma part, je ne suis plus nationaliste, j'ai vu mon pays disparaître en moins de 15 ans.
Je ne suis plus identitaire, l'identité de mon pays a été balayée.
Mais je suis et je reste un Blanc.
Et bien conscient de m'engager sur un chemin dont je ne verrai jamais le bout.
Mais il faut continuer à marcher, en gardant quelques braises cachées sous le manteau.
Voilà ce que nous devons faire, garder des braises cachées.
Ce n'est pas nous qui allumerons de grands incendies.
Peut-être que personne n'allumera ces grands incendies.
Mais ce dont je suis sûr, c'est que sans braises,
il n'y aura plus jamais de grands incendies.
PS: quand je vois ces petits trésors vivants...
http://avax.news/pictures/222596
http://pix.avaxnews.com/avaxnews/84/65/00036584.jpeg
... je ne suis ni assez désespéré ni assez intelligent pour abandonner. Certes, il y a beaucoup de choses que nous allons devoir abandonner, probablement nos pays, nos paysages, une bonne partie des nôtres, mais ça, jamais.
Écrit par : UnOurs | 01/06/2016
Écrit par : UnOurs | 01/06/2016
Peut être qu'Ozon se rend compte que se lancer dans la politique ce n'est plus rentable ?
Écrit par : Hugues capet | 02/06/2016
"Nous devons abandonner Moscou, mais la Russie restera vivante partout où nous sommes"
Général Souvorov
Se replier, si possible en bon ordre.
Se rassembler et tenir.
Attendre, puis reprendre.
Écrit par : UnOurs | 02/06/2016
Cela dit "ne pas tenir compte" des races est un luxe qu'il est difficile de se permettre.
Quel bel avenir.
Écrit par : JÖ | 02/06/2016
Les commentaires sont fermés.