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29/09/2012

alors Jennifer?

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 « Les sociétés occidentales sont au prise avec une élite qui leur est hostile.

Ce site a pour mission de créer des débats et d’éveiller les consciences à propos de l’avenir des peuples occidentaux et d’héritage européenne.

Le système idéologique dans lequel nous vivons repose sur des politiques qui remettent en question notre avenir. Cette élite hostile globalisée encourage la dissolution des nations occidentales. Notre manque de cohésion ethnique constitue notre talon d’achille : un groupe désorganisé et apathique, même majoritaire, est moins puissant qu’une minorité hautement organisée, cohésive et poursuivant ses intérêts.

  • L’immigration sert à nous remplacer biologiquement.
  • La promotion du multiculturalisme, de la diversité  et du métissage servent à accélérer le processus qui fera de nous une minorité parmi tant d’autres.
  • Les médias de masse participent à l’instauration d’une idéologie où la cohésion nationale est diabolisée ou ridiculisée.
  • L’art et la culture font l’éloge du laid.
  • L’anti-racisme neutralise toute forme de contestation envers notre dépossession.
  • Le sentiment de culpabilisation permanent instaure l’idée d’une faillite morale de l’Occident, nous faisant croire que nous méritons notre dépossession.
  • En somme, les peuples occidentaux sont atteints d’une sorte de sida mental qui a neutralisé leur mécanisme de défense."

(...) Le multiculturalisme contient une négation en sa propre essence. Il protège le droit de groupe des populations non-occidentales tout en refusant la nation hôte occidentale l’exercice de ces droits de groupe à sa propre population. La culture de la population hôte est perçue comme étant un site neutre caractérisée par la disposition des droits individuels, qui s’appliquent à tous, et des droits des groupes, qui ne s’appliquent qu’aux populations non-blanches.

Les peuples fondateurs Anglais et Français sont mandatés d’être neutres au point de vue ethnique et d’être désintéressé au niveau historique; ce déracinement permet la défense de certaines valeurs rattachées à « l’humanité » toute entière.

Alors que les idéologues multiculturalistes reconnaissent implicitement que les minorités ont un fort sentiment d’attachement envers leurs origines ethniques, et que ceci démontre que les humains ont en effet un amour naturel envers leur héritage leur origine ethnique, ils appellent néanmoins aux groupes des populations blanches à devoir pratiquer une amnésie historique et prétendre qu’ils ne sont pas les créateurs des institutions canadiennes, des traditions parlementaires et de la Common Law. Le fait historique que le Canada ait été construit en tant qu’État-nation autour d’un noyau ethnique doit être mis de côté et caché aux étudiants.

Le manque de cohésion d’une culture nationale au Canada est démontrée comme un trait positif. L’héritage des Anglais et des Français n’équivaut à rien de plus qu’un ensemble de règles de procédures et de modèles institutionnels : l’économie de marché, l’égalité devant la loi, et une représentation démocratique qui appartient à tout le monde. Les minorités ethniques, quant à elles, défendent les traditions authentiques célébrées pour leurs couleurs et leurs vibrances.

Nos honorables élites travaillent fort à « exposer » les activités coloniales des premiers arrivants, la pratique de leur idéologie prônant la « suprématie blanche » pour construire l’État-nation, l’imposition de la taxe d’entrée pour les Chinois (Chinese Head Tax), leurs lois anti-migratoires en provenance d’Asie, et l’existence continuelle d’une « majorité historique dominante ». Nos élites se dépeignent en tant que libérateurs qui font ressortir des histoires oubliées et supprimés des minorités ethniques tout en apportant des corrections à « la mythologie » qui laisserait croire que ce sont les blancs qui ont construit le Canada.

La haine pour les Blancs qui poursuivaient leurs intérêts ethniques en construisant un Canada traditionnel est palpable. L’idéologue multiculturaliste, Prof.Henry Yu, reçoit d’importantes bourses afin d’entretenir sa haine (« Le Canada est ‘systématiquement raciste’ et doit assumer des réparations historiques par l’acceptation d’une immigration massive du monde non-occidental »). Évidemment, Yu ne mentionne jamais qu’il est lui-même en train de poursuivre des intérêts ethniques en faisant la promotion de son ethnie afin de remplacer le Canada « blanc ».

(...) Pourquoi les blancs sont-ils le seul peuple de la planète duquel on s’attend à ce que la diversité et l’immigration massive soient acceptées? Pourquoi tout le monde suppose que la fierté, la loyauté et le sentiment d’affection avec l’héritage européen du Canada sont incompatibles avec les valeurs des démocraties libérales que les Européens ont développées? »  source/blog Identitas

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A mon avis, un blog et une réflexion sur l'essence du "multiculturalisme", c'est-à-dire de la promotion de sociétés fondées sur l'hypothèse d'une coexistence pacifique sur le même territoire de communautés étrangères les unes aux autres, bien intéressants.

J'ai toujours pensé que le modèle français assimilationniste (largement issu du centralisme étatique de la monarchie capétienne alliée à la bourgeoisie montante sur les ruines du système féodal et consolidé -notamment- sous Louis XIV et Colbert puis sous le premier Empire) devait rester la règle dans ce pays.

Force est de constater que les forces qui s'opposent à ce modèle et promeuvent la dissolution de l’Etat-Nation en tant que communauté ethniquement et culturellement homogène sont désormais incomparablement plus puissantes que celles qui luttent pour préserver ce modèle traditionnel et éprouvé. Cela ne signifie bien sûr pas que les jeux sont faits (l’histoire n’est pas écrite, redisons-le) mais qu’il faut absolument intégrer à notre réflexion cette perspective (bien décrite implacablement par quelques démographes honnêtes et aussi par Aymeric Chauprade) qu’à court ou moyen terme, les européens de souche porteurs d’une identité singulière et millénaire (irréductible à la world culture totalisante promue par l’essentiel du barnum parasitaire politique,culturel et médiatique globalisé) puissent n’être bientôt qu’une communauté parmi d’autres sur leur propre sol.

Dans cette perspective de combat, il est crucial de comprendre le jeu pervers de l’hyperclasse mondialisée mais surtout européenne et occidentale. Pervers car constamment hostile aux intérêts premiers des autochtones européens sur leur sol. Et constamment favorable -dans une logique ethno-masochiste délirante- à la prise de contrôle des pouvoirs politiques, culturels, universitaires, médiatiques, etc. par des individus qui sont majoritairement hostiles à la survie de notre culture européenne et même des peuples européens indigènes.

photo: chacun sait bien que c'est Jennifer, une femme européenne, blanche et blonde, qui est responsable de la faillite des régimes sociaux français. Un exemple parmi d'autres.

addendum: illustration complémentaire (qui se cache derrière le financement de politiques sociales dans les ghettos afro-maghrébins français?)


podcast

28/06/2009

alerta antifascista

Ben oui, pourquoi tortiller du cul, le mieux est que les blancs se suicident.

Deux solutions, donc : soit « antifa action » n’est pas blanc et est simplement raciste, et c’est pas bien (les blancs sont ontologiquement un problème à l’émancipation des immigrés, en l’occurrence les anglais blancs et le mieux est qu'ils disparaissent), soit « antifa machin » est blanc et là c’est un peu différent.

Je sais bien que la phrase tirée de la préface de Sartre au livre de Fanon (« Abattre un Européen, c'est faire d'une pierre deux coups, supprimer en même temps un oppresseur et un opprimé; restent un homme mort et un homme libre ») est très en vogue dans les milieux marxistes et anti faf, mais elle trouve ici une bonne illustration de l’ethno masochisme occidental.

23/05/2008

Homo metis metis ou le culte du nouvel être suprême

L’ouverture inconditionnelle de la France à l’immigration et l’abolition des frontières se sont imposés au fil des ans comme les repères idéologiques majeurs d’une élite bien pensante.

Propagande.

CNCDH : commission nationale consultative des droits de l’homme. Elle réunit une centaine de personnalités françaises issues de quelques associations influentes (SOS racisme, croix rouge, LICRA, MRAP, Ligue des droits de l’homme, HALDE), des hauts fonctionnaires responsables de la presse écrite ou audio-visuelle, des écrivains, des avocats, des magistrats, des dirigeants politiques. Cette élite des élites à l’autorité morale incontestable se prononce sur toutes les grandes questions de société. Son discours sur l’immigration fait autorité, alors même que la nomination de ses membres échappe à tout contrôle du citoyen (contrôle civique).

Cette commission favorise un courant de pensée visant à imposer l’immigration comme un droit fondamental prévalant sur toute considération d’intérêt général et réclame le droit pour l’étranger à l’accès au territoire et le droit au séjour  (http://www.cncdh.com). Cette propagande abondamment reprise par nos élites bannit évidemment toute notion de lien historique entre la nation et un territoire (l’idée de sol national étant par définition maudite), et impose l’idée que la France ne saurait être autre chose qu’un espace sans frontières, ouverte à toutes les migrations. Ecoutons Michel Tubiana, président de la Ligue des Droits de l’Homme : « Il faut comprendre que les gens peuvent et veulent se déplacer et s’établir. Le problème est : comment les accueille-t-on et selon quel calendrier ? » (1)

L’ensemble des relais d’opinion (en majorité à gauche, voire l’extrême gauche, est-ce un hasard ?) est en grande partie acquis à cette cause. Les média, la presse locale, et nationale, les milieux associatifs ont développé une éthique de générosité inconditionnelle envers tout ce qui se rapporte à l’immigration.

Le culte du métissage.

L’obsession de l’ouverture et du droit inconditionnel à l’immigration débouche donc sur l’idéal d’une société nouvelle fondée sur le métissage culturel, « horizon inévitable et souhaitable » selon Bernard Stasi. Sous l’impact des flux migratoires, la société se transforme, se renouvelle et un peuple recomposé serait en train de naître.

La culture se définit principalement comme l’ensemble des aspects intellectuels propres à une civilisation, une nation (Petit Robert). Le multiculturalisme est dés lors, en principe, synonyme de la coexistence, dans une même communauté de sources multiples de connaissance, de pensée, de création. Quoi de plus positif en théorie?

Cette apologie de l’ouverture, qui imbibe le discours officiel sur l’immigration n’a pourtant de sens que dans une société capable de tracer une séparation claire entre respect de la personnalité des migrants et repli identitaire. Comment empêcher la pluralité de dégénérer en fragmentation ? Comment concilier la tolérance et l’interdit (en principe) absolu de certaines pratiques, coutumes importées (polygamie, mutilation sexuelle, port imposé du voile, mariage imposé, soumission de la femme) ? La diversité ne se conçoit pas sans unité, sans valeurs partagées, sans le sentiment d’un destin commun, sans ordre ni autorité ; Sinon elle bascule dans l’atomisation et la haine. Or derrière ce doux rêve du métissage culturel, c’est bien souvent le cauchemar de la fragmentation, de la balkanisation, qui se profile.

La classe dirigeante Française, les média et la presse se complaisent depuis des années dans la sublimation de la France black-blanc-beur Le travail de persuasion- de propagande- est intense, massif. Il est question non seulement de l’équipe black-blanc-beur, mais aussi de l’entreprise, de la télévision, de la culture, de la musique, de l’école, de la police black-blanc-beur ; « il y a encore beaucoup de travail à faire pour que la France black-blanc-beur soit une réalité au dela des grandes victoires du foot » déclare JF Coppé, ancien porte parole du gouvernement sur Radio J. (2)

Or, chose surprenante et ambigu, ce mythe du métissage culturel, qui se veut la parfaite antithèse du racisme, place la couleur de la peau (même mélangée) au centre de son identité, et non pas seulement une coexistence bien heureuse de cultures diverses.

Quand Foddé Sylla, ex président de SOS racisme, écrit dans Le Monde : « la République blanche, c’est fini » (3), non seulement il se trompe car la République, comme la France, n’a jamais été blanche, car elle ne reconnaît aucune « distinction d’origine, de race ni de religion », mais il exalte lui aussi la couleur de peau comme clef de l’identité culturelle. Concept éminemment raciste et ouvrant la voie à une structuration de la société Française sur la reconnaissance d’identité ethnique.

2060237884.gifDiabolisation.

Quel journaliste, quel homme politique, quel écrivain pourrait déclarer sans conséquence (à tort ou à raison d’ailleurs) que l’immigration telle qu’on la conçoit dans ce pays n’est pas une chance ? Ce thème est depuis longtemps tabou, sanctuarisé, placé au dessus de tout débat de fond.

Sortir du credo immigration, clef de l’avenir, du renouveau, de la régénération" avec son corollaire de France black-blanc-beur, c’est s’exposer illico à un tir de barrage massif et destructeur et à la réductio ad Hitlerum, chère à Leo Strauss, qui identifie toute opinion déviante à l’extrême droite raciste. Démonisation et éviction de toute réflexion constructive.

Cette question de l’immigration est le lieu privilégie du divorce entre les élites et la Nation. Un forte proportion de Français voyant en effet dans l’immigration, non pas une chance, mais une menace, à rebours du matraquage opéré par les autorités nationales et européennes. (Dans Le Monde du 15 décembre 2005, la part de Français estimant le nombre d’étrangers trop important atteint 63% ; sondage TNS Sofres)

Ce qui renforce bien sur la classe dirigeante dans sa mission de régénération de la Nation rebelle.

Ainsi voit-on la création d’un musée de l’Immigration, porte Dorée, dont la mission, financée par le contribuable, n’est pas culturelle mais bien de façonner l’opinion publique selon l’idéologie dominante.

Le matraquage et la stratégie de diabolisation de toute opinion déviante (de tout citoyen déviant/ cf. les affaire récentes G Frêche et P Sevran) semblent se retourner contre le message d’une immigration heureuse, comme si la conscience populaire, confrontée aux réalités de terrain (que fuient bien sur nos élites et leurs familles vivant dans quelques sanctuaires sécurisés), résistait obstinément à une œuvre de propagande maladroite et contre-productive.

Négation de l’autorité de l’Etat.

Deux réformes , la loi Debré du 24 avril 1997 et la loi Chevènement du 12 mai 1998, fruits de la crise des sans papiers (on remarquera l’intérêt de ce néologisme qui fait passer des migrants illégaux- donc sans papiers de séjour en règle- pour des victimes…), font basculer le système Français. Ces réformes mettent en place un dispositif de régularisation «de droit » pour les migrants clandestins et suppriment de facto l’obligation de demander un visa de long séjour dans un consulat de France, avant d’entrer en France à des fins d’immigration.

Le droit individuel à l’immigration, conformément à l’idéologie dominante, s’impose sur celui de l’Etat à maîtriser l’accès au territoire national., marquant ainsi la négation de l’autorité de l’Etat -donc du citoyen- sur toute politique d’immigration.

(1)   L’Humanité, 5 mars 2003, cité par M Tandonnet, Immigration, sortir du chaos. Flammarion, p.28.

(2)   Cité par M Tandonnet, op cité.

(3)   Le Monde, 10 décembre 2005, archives.

(Post écrit il y a un peu plus d'un an mais plus que jamais d'actualité...)