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10/02/2008

Ghettos

Une approche réaliste de ce problème de ghettos urbains devrait amener à considérer les raisons de l'échec de l'intégration de ces populations à la communauté nationale (si elle existe encore):

- la distance culturelle considérable à franchir pour des hommes et des femmes venant pour l'essentiel du versant méditerranéen non européen et de l'Afrique subsaharienne, appartenant donc pour l'essentiel à la civilisation musulmane. Cette distance culturelle était bien moindre dans l'après guerre pour les vagues de migrants européens (polonais, espagnols, italiens, portugais,etc.) qui partageaient un fond culturel, linguistique et religieux commun.

- la disparition de structures d'intégration puissantes qu'étaient l'école, l'armée, le travail et la famille.

- trois facteurs aggravants que sont: le regroupement familial, l'islam, religion dominante de ces nouveaux français, et qui est un facteur puissant de sécession culturelle, ethnique et territoriale.

Enfin seuls des peuples fiers de ce qu'ils sont, fiers de leur culture peuvent générer le souhait de s'intégrer à une communauté de valeurs; le souhait d'adhérer à un code de conduite commun. Or l'anomie et l'ethno masochisme qui règnent en maître parmi nos élites nationales et transnationales européennes vont à l'inverse de ce besoin de tout migrant d'estimer son pays et sa culture d'accueil.

Alors que faire ?

Gérer ce désastre et sauver ceux qui peut l’être…

 

1/ à l’extérieur :

-         réduire la distance culturelle des nouveaux  Français, c’est-à-dire favoriser l’immigration de personnes culturellement plus proches de nous (orthodoxes ou sud américains par exemple),

-         favoriser une immigration de travail, facteur puissant d’intégration,

2/ à l’intérieur : imposer un code culturel commun aux nouveaux migrants. Cela passe par :

-         reconstruction des outils d’intégration : refondation de l’école (aucune possibilité d’adaptation...faut tout refaire), éventuellement rétablissement d’un service militaire, ou un équivalent de service civil de longue durée.

-         ne JAMAIS transiger sur les velléités de sécession culturelle, ethnique, religieuse ou territoriale : imposer par la force l’ordre républicain et les valeurs républicaines dans ces ghettos, rétablir partout la présence de l’état.

3/  ces problèmes ne sont pas spécifiques à notre pays et appellent logiquement une politique commune à l’échelle Européenne. Idéalement cela devrait passer par la reconnaissance d’une identité Européenne basée sur des valeurs culturelles communes, un projet commun et des frontières claires…on en est loin, malheureusement.

4/ au fond le plus important est de savoir qui nous sommes et quelles sont les valeurs qui ne sont pas négociables par les nouveaux arrivants.

Un contrat clair : des droits pour celui qui souhaite devenir européen et des DEVOIRS, c’est-à-dire l’acceptation de notre code culturel européen, pourquoi pas un serment d’allégeance à une charte. En faire une condition sine qua non.

5/ ces politiques d'intégration sont extrèmement couteuses (nième plan banlieue...); pourquoi ne pas utiliser une partie de cet argent pour encourager la natalité Européenne de souche?

6/ cesser de considérer que les hommes sont interchageables, sans histoire, sans culture, déplaçables d'un continent à un autre, à volonté. Cesser de considérer que l'économie prime sur tout, notamment la politique et les facteurs culturels. L'obsession à court terme de quelques bureaucrates bruxellois d'assurer la pérenité de quelques régimes de retraite les conduit à initier et pereniser des politiques de transfert massif de population à l'échelle continentale sans considération des aspects culturels et identitaires.

7/ aider au MAXIMUM ceux qui manifestent la volonté de s’intégrer à notre communauté mais COMBATTRE et EXPULSER systématiquement tous ceux qui transgressent nos lois.

Relire Platon.

 

Bon dimanche à tous.