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10/02/2013

des escrocs


Auschwitz confirme qu'Elie Wiesel n'a pas le... par enquete-debat

Robin est un journaliste sans grand interet sinon qu'il a une dent contre Soral (sais plus pourquoi) et qu'il a un grand-père juif et semble se considérer comme juif. Soral dans un des ses interviews avait mis en cause la légitimité d'Elie Wiesel, célébré partout comme la conscience morale de l'holocauste, au motif qu'il n'aurait simplement jamais été déporté comme il le prétend et qu'il serait donc un escroc, abusant de la souffrance réelle et de la mémoire des juifs européens victimes des exactions nazies.

Robin fait finalement ce que tout journaliste aurait du simpelment faire depuis des lustres, ie appeler le responsable des archives du camp d'Auschwitz pour savoir si Wiesel y fut bien déporté, ce qui ne semble malheureusement être le cas...

Cette affaire fait écho en moi avec la lecture récente de l'ouvrage de Norman Finkelstein, fils de survivants du ghetto de Varsovie et des camps nazis, L’Industrie de l’Holocauste : réflexions sur l’exploitation de la souffrance des juifs, publié en 2000 et qui fit grand bruit, à la mesure sans doute de l'importance qu'a pris l'histoire de l'extermination des juifs d'Europe en occident.

Finkesltein déconstruit la "mémoire de la Shoah" et toute une industrie planétaire (organisée en particulier par la maçonnerie juive, le Bnai Brith, organisation mondiale surpuissante qui fut par exemple à l'origine dans les années 80 en France du concept d'"arc républicain" , ie de l'interdit fait à toute formation politique de frayer avec le FN et dont le bras armé, l'Anti Defamation League, se charge de de poursuivre et de persécuter tous ceux qui pourraient -d'une manière ou d'une autre- entraver ce business, mais aussi de promouvoir sans limites des escrocs de la Shoah, comme semble l'être ce Wiesel ou bien comme le fut sans doute Simon Wiesenthal, le célèbre chasseur de nazi...) qui en découle avec froideur et une efficacité clinique redoutable. Finkelstein montre à quel point le génocide juif a servi des intérêts politiques et sociaux considérables. Israël aurait ainsi fait de l’exploitation du malheur juif une arme idéologique puissante, en s’assignant le rôle d’État-victime. Inutile de préciser qu'aucun goyim (pour les raisons décrites plus haut) n'aurait pu écrire et surout vendre pareil livre sans se voir condamné à la mort sociale, voire à la mort tout court.

A lire, donc.

"Ce livre est à la fois une anatomie et une mise en accusation de l'industrie de l'holocauste. Dans les pages qui suivent, je vais soutenir que "l'holocauste" est une représentation idéologique de l'holocauste nazi 1. Comme beaucoup d'idéologies, elle a un rapport, si étroit fût-il, avec la réalité. "L'holocauste" est une construction non pas arbitraire mais dotée d'une cohésion interne. Ses dogmes principaux soutiennent des intérêts politiques et sociaux significatifs. En fait, "l'holocauste" s'est avéré une arme idéologique indispensable. Grâce à son déploiement, l'une des puissances militaires les plus formidables du monde, dont les manquements aux droits de l'homme sont considérables, s'est posé en état-"victime" et le groupe ethnique le plus florissant des Etats-Unis a, lui aussi, acquis le statut de victime. Des bénéfices considérables découlent de ce statut injustifié de victime, en particulier, une immunité face à la critique, même la plus justifiée. Ceux qui jouissent de cette immunité, ajouterai-je, n'ont pas échappé à la corruption morale qui va de pair avec elle. De ce point de vue, le rôle d'Élie Wiesel, interprète officiel de l'holocauste, n'est pas un hasard. Il est évident qu'il n'est pas parvenu à cette position par son action humanitaire ou ses talents littéraires. Il joue le premier rôle plutôt parce qu'il articule sans la moindre fausse note les dogmes de l'holocauste, défendant par là même les intérêts qui le sous-tendent."

Norman Finkelstein, L'industrie de l'holocauste, 2000.