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10/08/2013

festivisme doré

via Scriptoblog..

1/ à première vue, l'idéal, aprés avoir crée ce réseau de solidarité communautaire patriote et aprés avoir commencé à liquider la garde janissaire-kapo-lumpen prolétariat-immigrée de l'hyperclasse, serait d'aller directement choper l'hyperclasse chez elle: j'imagine assez bien un BHL ou un Sarkosy purgés à l'huile de ricin (à moins qu'eux aussi (comme l'oligarchie héllènique) soient désormais protégés par Académi-Blackwater/Monsanto/Bill gates foundation*?). un vrai geste civique, je trouve. L'Aube dorée est certainement ce qui est arrivé de meilleur aux grecs ordinaires -c'est-à-dire livrés au chaos- depuis 2008. Et c'est tragique. Il n'y a pas de solution dans les urnes. Il ne peut y avoir de solution avec ceux qui ont construit et vérrouillé ce système. Malheureusement, le chaos financier, économique, social et politique qui est là est sans doute la seule fenêtre de tir des peuples européens pour liquider les classes dirigeantes responsables de ce désastre.

2/ avec un peu de recul, on comprend aisément que le positionnement "nationaliste" sinon "racialiste" de ce mouvement patriote grec est une catastrophe d'un point de vue stratégique  sachant qu'il s'agit précisément du type de positionnement honni et combattu par le système. Comment mieux se mettre dans le collimateur de l'hyperclasse toute-puissante (c'est-à-dire courir le risque simplement d'être physiquement liquidé par quelque bombardier de l'OTAN ou par quelque milice djihadiste fraichement rapatriée du Proche-Orient)? A la limite on en vient à penser que si ce mouvement n'est pas directement ou indirectement aidé par le Système (opposition "Goldstein"), il est en revanche la forme d'opposition révée par lui car facilement démonisable...le faire-valoir idéal même lorsque la classe politique corrompue habituelle est laminée par la gravité de la situation.

3/ à un autre niveau de réflexion, on peut imaginer qu'une façon d'éviter le piège tendu par Big Brother est simplement de se positionner sur une ligne échappant à ce genre de clivage ethno-nationaliste, par exemple réactiver une lutte des classes sans doute plus pertinente que jamais: un front trans-courant contre le capitalisme globalisé et ses avatars désormais bien visible par tous ceux qui veulent bien ouvrir les yeux (destruction des peuples, des cultures, de l'environnement, progressisme suicidaire, anomie générale, guerre de tous contre tous, suropulation, etc.). Je rappelle à tous ceux qui me prendront pour un idéaliste ou un fossile marxiste ce que déclarait le 25 mai 2005 Warren Buffett sur la chaîne de télévision CNN : “ Il y a une guerre des classes, c’est un fait, mais c’est ma classe, la classe des riches, qui mène cette guerre, et nous sommes en train de la gagner.”" source/wiki...Voilà qui aurait l'immense avantage:

-de désarmer immédiatement toute la réthorique antifasciste et antiraciste systèmique, (de fait si les médias en font des tonnes sur Aube dorée, on entend finalement assez peu parler du mouvement 1% ou du mouvement OWS (occupy wall street), sans doute pas un grand hasard...

-de mettre gravement en porte-à-faux l'ensemble des organisations politiques estampillées "de gauche" ou "alter-machin" ou en core "anti-système" qui ont depuis plusieurs décennies sciemment évacué toute référence à cette lutte des classes, les uns par stupidité pure et simple (la conviction que le fait capitaliste est incontournable) les autres par corruption ou simple carrièrisme,

-de désarmer toute la batterie de polarisations secondaires (conflit "inter-ethnique", "guerre des sexes", "anti-racisme", "lutte contre les discriminations", lutte contre un Islam fantasmé uni et hostile à l'Occident dans son ensemble, etc.) destinées à masquer les vrais enjeux planétaires (l'accaparement par une petite minorité de l'essentiel des richesses de cette planète au détriment du plus grand nombre. Rien n'empêchant évidemment de décliner ce front de classe (lutte contre l'hyperclasse) au sein de chaque pays, de chaque continent, de chaque entité civilisationnelle, histoire de conserver à cette lutte planétaire un ancrage sinon une cohérence culturelle, sinon ethnique...

- d'imaginer, derrière cette lutte éminement juste et offrant si peu de prise à l'arsenal juridique et médiatique du système, la possibilité d'organiser la dissidence en un réseau d'hommes, de structures, de ressources, de lieux à même non seulement de combattre ouvertement le système mais aussi de construire un système concurrentiel et résilient de résistance (sorte de fraction, pour les lecteurs d'Eurocalypse) à ce nouvel ordre. Précisément ce qu'essayent de faire les grecs d'Aube Dorée mais en évitant la puissance de feu du système.

 *il semble bien finalement que Monsanto ait bien eu recours aux services de la plus importante armée de mercenaires du monde, mais uniquement à des fins de renseignement, et ne l’ait pas acquise.

antisémite?



"Je ne saurais trop recommander à quiconque vit sur cette planète d’aller voir le film Defamation, de Yoav Shamir, un documentaire sur l’antisémitisme. Ce film est une dénonciation stupéfiante des conditions morbides qui tiennent prisonnière l’identité juive séculière. Il explore et tourne en ridicule la notion courante d’antisémitisme ainsi que les lobbies qui participent à la diffusion d’une telle phobie. Il dénonce aussi ces propagandistes juifs ethniques qui insistent, pour une raison qu’eux seuls connaissent, pour organiser leur identité autour de l’idée phantasmatique selon laquelle ils seraient pourchassés, diffamés ou haïs pour des raisons « raciales ». (...) Etant Israélien, Yoav Shamir, qui a réalisé ce film, a réussi à infiltrer l’Anti-Defamation League d’Abe Foxman. Il a même réussi à se faire engager dans une « mission internationale » de Foxman. Il a également suivi le voyage de lycéens israéliens à Auschwitz. Il nous donne une vision intime de la jeunesse israélienne que l’on endoctrine afin de la placer dans une anxiété collective et dans une névrose totale juste avant son incorporation dans l’armée.

L’impression générale que ce film donne au spectateur est celle d’une situation rien moins que grotesque. Le film étudie l’amplification agressive et vulgaire de la peur parmi les Israéliens et les juifs sionistes. « Nous sommes élevés dans l’idée que nous sommes haïs », dit ainsi une lycéenne israélienne, en route vers un camp de concentration. « L’ADL nous fournit un programme nous expliquant comment être juifs », indique une dame juive âgée.

Shamir nous donne l’opportunité de voir à quel point les jeunes Israéliens se comportent mal dès qu’ils se trouvent en Pologne. Vous pouvez voir leur mépris pour la population locale, leur manque de respect vis-vis des Polonais et des institutions polonaises. Vous pouvez aussi voir des Israéliens en train de projeter leur haine sur d’autres. Pour quelque raison, ils sont convaincus que tout le monde, autour d’eux, en Pologne, est au moins aussi impitoyable qu’ils le sont eux-mêmes. Les jeunes israéliens sont saturés de peur, et pourtant, ils s’éclatent un max : vous pouvez les voir en train de danser dans le bus tout au long de leur trajet vers Auschwitz. Vous pouvez les voir mâchonner des chips tout en regardant un prisonnier musulman* en train de manger sa soupe délayée d’eau.

Surprise-partie dans le bus, du départ jusqu’à Auschwitz…

Shamir nous donne à voir des images inhabituelles d’Abe Foxman en compagnie de dirigeants du monde. Fièrement, le chef de l’ADL insiste pour vendre son produit favori. Shamir présente le commerce de l’ADL sans mâcher ses mots. « Nous (l’ADL) serons vos alliés au Congrès américain ; tout ce que nous demandons, en retour, c’est que vous combattiez l’antisémitisme à nos côtés… » Shamir prend conscience du fait que si Foxman et son ADL sont en mesure de garantir un laissez-passer pour les corridors du pouvoir en Amérique, alors, le message (soi-disant) « antisémite » visité par les « Protocoles des Sages de Sion » est tout à fait pertinent, et qu’il devrait, par conséquent, être débattu ouvertement.

Nous pouvons voir Foxman et sa mission internationale en train de parler au Président de l’Ukraine : il lui assure que l’ADL peut tout à fait l’aider, en Amérique, dès lors qu’il n’établit « aucun lien entre l’Holocauste et l’Holodomor (l’Holocauste des Ukrainiens) ». « Si vous établissiez un tel lien, cela serait contreproductif », ose expliquer Foxman au dirigeant ukrainien. L’on est fondé à se demander comment il se fait que Foxman, qui vit (bien) des catastrophes juives, est aussi réticent à autoriser les Ukrainiens à réfléchir à leur passé ou à partager celui-ci avec d’autres ?

Bonne question, vraiment ! Je pense qu’au premier chef, c’est l’ « élection » juive qui entre ici en jeu. Foxman n’aime pas que sa raison d’être, à savoir l’Holocauste, soit mise en compétition, éclipsée, voire, pire, défiée par un quelconque autre génocide. Mais cela va plus loin : comme le confirme le professeur à Harvard Yuri Slezkine, dans son chef-d’œuvre The Jewish Century [Le Siècle juif], les juifs furent, en réalité, « les exécutants zélés de Staline » Les juifs bolcheviques furent largement impliqués dans le crime génocidaire perpétré contre le peuple ukrainien, mais aussi contre d’autres peuples. Au cas où quelqu’un voudrait lire des choses au sujet des « juifs de Staline » dans un quotidien sioniste, le journaliste Sever Plocker, du site Ynet (du quotidien israélien Yediot Ahronot) a écrit des choses excellentes à ce sujet. « Nous ne devons pas oublier que certains des plus grands criminels des temps modernes étaient juifs », dit le sioniste Plocker. Abe Foxman est certainement au courant. S’il exige des Ukrainiens qu’ils ne fassent aucun rapprochement entre leur passé horrifiant et la Shoah, c’est tout simplement parce qu’il sait que bien trop nombreux sont les membres de son propre peuple qui ont été directement impliqués dans les crimes perpétrés à l’encontre du peuple ukrainien.  Détail intéressant : dans le film, ce sont les juifs orthodoxes qui défient les accusations d’antisémitismes proférées à tout bout de champ. C’est un rabbin qui affirme qu’Abe Foxman crée de l’antisémitisme « parce que c’est son boulot ».

(...) La montée de la haine contre toute forme de politique juive et de lobbies juifs est une réaction à une idéologie tribale, chauvine et suprématiste. Si les juifs politiques, qu’ils soient sionistes ou « juifs antisionistes » sont préoccupés par leur perte de popularité, la seule chose qu’ils doivent faire, c’est apprendre à se regarder dans un miroir.

L’examen au miroir est une libération, dès lors que l’on est assez courageux pour affronter la réalité."

Gilad Atzmon.

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Il semble que le maitre du logos doive faire face à l'armada antifasciste au grand complet (avec ses rafiots en carton, ses pistolets à bouchon, ses imprécateurs de foire foraine et ses penseurs de pissotières) et sans doute est-ce lié à la fréquentation trés significative du site E et R...j'en profite pour en remettre une couche (en me cachant derrière Atzmon, c'et plus prudent) sur la réalité de l'"antisémitisme contemporain", ce marronier tribal que l'on nous sert à jet continu depuis quelques décennies, voire plus...

Petite précision pour les lecteurs du blog au sujet de la question juive (Marx): pour cela, je dois répondre à la double question Nietzschéenne : qui parle ? Et d'où ?

Je suis un français d'origine mi savoyarde, mi corrézienne, un goyim comme disent les juifs. Bon nombre de mes ancêtres sont tombés sur les champs de batailles des dernières guerres européennes et leur nom et inscrit sur quelques monuments au morts de quelques villages de France. Je considère que cela m'autorise à donner mon avis sur cette question juive au moins autant que d'autres, sinon plus finalement. Je pense en particulier à tous ces imprécateurs dont le modèle indépassable reste le sinistre Bernard Levy, ni philosophe ni penseur, ni homme de gauche mais simple lobbyiste malveillant et tout-puissant (double rente financière et mémorielle) qui alors même qu'ils ne sont français que depuis peu (ou leurs ascendants au moins), s'autorisent à monopoliser le débat sinon le verrouiller grâce au terrorisme intellectuel qu'ils ont eux-mêmes contribué à institutionnaliser. Sur la question juive évidemment mais aussi sur n'importe quelle autre question, tant leur arrogance est sans limite et leur pouvoir médiatique immense. Et nuisible.

Pendant des années, sur ce blog, je n'ai pas abordé cette question juive avant tout (quand j'y repense) parce que j'avais intériorisé l'interdit systémique fait à chacun d'évoquer cette question si l'on est pas soi-même juif ou bien, pour un goy, dans une posture apologétique du sionisme ou de la religion shoatique. Il m'a fallu la rencontre avec Soral* (son livre Comprendre l'Empire et ses vidéos) mais aussi la lecture de Bloy et d'Atzmon, entre autres, pour comprendre à quel point le tribalisme juif était aujourd'hui une des figures majeures de la domination globale et de l'oppression faite aux peuples européens. Quant je dis "tribalisme juif", je n'essentialise pas, je parle simplement de la toute-puissance des élites juives en Occident. (un exemple parmi mille, l'effarant "repas du Crif" où se presse chaque printemps, la quasi-totalité de la classe politique, médiatique, cultureuse, religieuse et économique du pays, juive et non-juive dans l'assentiment général...on imagine assez bien un repas similaire à l'invitation de l'Opus Déi ou de la French American Foundation ou bien encore de l'UOIF et le barouf que ferait le ban et l'arrière ban du claque culturo-mondain qui fait désormais la pluie et le beau temps dans ce beau pays).

Une figure majeure de la domination, donc. A ce titre, et comme d'autres de moindre importance -loges maçonniques, lobbies atlantistes, lobbies industriels, religieux, etc, je trouve assez logique et sain que leur pouvoir et leur existence même puisse être interrogés voire remis en cause. Façon de retourner à ces puissants du moment la double question Nietzschéenne: Qui parle et d'où? Quand Bernard Levy ou Prasquier ou Cukierman ou Meyer Habib (etc., etc., ) nous font l'honneur de nous livrer leur pensée,  qui parle et d'où?

Au fond, en tant qu'indigène européen -sans possibilité d'alya donc acculé à me battre chez moi sans autre issue que vaincre ou périr (cf. la dernière sentinelle de Spengler à Pompéi**) et avec moi les miens- je considère que cette question juive est absolument secondaire, que l'extermination des juifs d'Europe durant la seconde guerre mondiale n'est qu'une page supplémentaire dans la longue histoire humaine des massacres de masse depuis que l'homme est homme et qu'il doit se battre pour survivre, et que le conflit israélo-palestinien n'est pas notre combat, nous autres européens, juifs ou pas. Je considère que la question prioritaire reste la survie des peuples et des cultures européens versus le globalisme métisseur, relativiste et égalitaire (largement servi par le tribalisme juif). Je considère donc logiquement qu'il y a des leçons à prendre dans l'exceptionnelle résilience du peuple juif au travers des âges, cette faculté à considérer que la culture juive est au moins différente des autres cultures et que cette irréductibilité doit être préservée à tout prix.

Par là, la réflexion de Marx sur la possibilité (ou l'impossibilité) de l'émancipation poliique des juifs de Prusse suivant qu'ils conservent ou pas leur religion juive dans un environnement séculier dévolu aux droits de l'homme, me parait rejoindre la préoccupation du sabra Gilad Atzmon faisant reproche aux juifs sionistes de ne pouvoir atteindre l'universel et de persister dans le tribalisme meurtrier. Si l'"universel" n'était pas aujourd'hui la marque de fabrique de Soros ou de Monsanto et si le communautarisme (dans certaines limites) ne me paraissait pas être une des clefs de sortie de cette anthropologie individualiste libérale meurtrière, je pourrais peut-être y consentir en fils d'Athènes et de Rome...Je considère aussi que le comportement des élites juives en Occident est éminemment ambigu sinon hostile à cette question prioritaire de la survie des peuples européens (via par exemple, l'apologie inconditionnelle de l'immigration de masse, des fameuses "sociétés ouvertes", c'est-à-dire du dogme multiculturaliste ou bien encore du relativisme débridé qui permet au dernier venu de remettre en cause quelques piliers de cultures millénaires indigènes).

Le petit film de Yoav Shami a l'immense mérite de lever le voile sur l'arnaque planétaire de ce pseudo "antisémitisme" (au moins en Occident) en fait orchestré par le tribalisme juif et ses pseudopodes (Bnai brith et ADL en tête) dans la même logique de domination.

* dont je pense qu'il est le premier à savoir que la "réconciliation" avec des masses allogènes lobotomisées et américanisées est évidemment impossible mais j'imagine bien qu'un mouvement "Egalité et épuration  ethnique" aurait un peu de mal à faire 300 000 lectures à chacune de ses vidéos et à passer l'été...question de tactique et de bon sens (ça me rappelle un peu la logique de la fraction dans Eurocalypse..(3P?)

** "Nous sommes nés à ce temps et devons poursuivre avec vaillance, jusqu'au terme fatal, le chemin qui nous est tracé. Il n'y a pas d'alternative. Notre devoir est de nous incruster dans cette position intenable, sans espoir, sans possibilité de renfort. Tenir, tenir à l'exemple de ce soldat romain dont le squelette a été retrouvé devant une porte de Pompéi et qui, durant l'éruption du Vésuve, mourut à son poste parce qu'on avait omis de venir le relever. Voilà qui est noble. Voilà qui est grand. Une fin honorable est la seule chose dont on ne puisse pas frustrer un homme." Dernier paragraphe de l'essai L'homme et la technique. Oswald Spengler. Munich, 1931.

pour finir, la mafia des mafias, selon AS:

dissidence et réconciliation:-)


Soral: Vive la République? (Ripoublik.com 4-7) par FromDaWu

via Boréas, one more time..

03/08/2013

anatomie du chaos (n+1)

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"La nouvelle promotion 2013 des Young Leaders de la French American Foundation, l'un des groupes mondialistes les plus actifs en France, se compose de Julien Aubert (député UMP du Vaucluse), Jérôme Chapuis (journaliste à RTL), Benoit Claveranne (AXA), Mathias Fekl (député PS du Lot et Garonne et rapporteur de la loi sur le "mariage homosexuel"), Caroline Flaissier (Total énergie gaz), Renaud Guidée (Goldman Sachs), Vincent Menuet (Airbus), Philipe Naudet (commandant du sous-marin nucléaire Améthyste), Estelle Pietrzyk (musée dart moderne et contemporain de Strasbourg), Silvano Sansoni (IBM), Vanessa Scherrer (directrice adjointe de l'Institut des affaires internationales de Science po Paris), Leslie Serrero (Dior), Myrto Tripathi (Areva). Comme pour les promotions précédentes, on verra que la plupart d'entre eux apparaitront, comme par hasard, à des postes de premier plan dans les années à venir." Faits et documents, 15/07-01/09/2013)

NB: jetez un coup d'oeil au site wiki de la FAF, ça vaut le détour..

c'est même à ça qu'on les reconnait

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 "Nathalie Kosciusko-Morizet veut une fête du métro

[...] NKM souhaite que l’on utilise certaines stations de métro fermées depuis des décennies – les fameuses stations « fantômes » – pour faire la fête tandis qu’Anne Hidalgo juge cette proposition absurde.

« Une ville a besoin de vivre la nuit, mais en même temps, ça pose des problèmes de voisinage. Les stations de métro ne posent pas ce problème », a jugé NKM qui, à l’inverse, n’adhère pas à la proposition d’Anne Hidalgo d’ouvrir le périphérique aux piétons une fois par an." source/ RTL

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"Anne Hidalgo veut faire une fête du périphérique

[...] Interrogée par iTélé, la candidate socialiste a prêché pour davantage d’événements festifs à Paris. En particulier les « 24 heures du périphérique ». 

Anne Hidalgo veut qu’une fois par an les associations et les Parisiens puissent investir le boulevard périphérique pour célébrer la fameuse ceinture parisienne.

Il y a une idée qui me plait beaucoup c’est les 24 heures du périphérique. C’est à dire 24 heures de fête, métropolitaine, avec toutes les associations, les parisiens, les métropolitains. C’est quelque chose qui donne à la fois de la joie de vivre, de la gaité, mais qui est aussi symboliquement fort du vivre-ensemble que nous inventons tous les jours avec les Parisiens à Paris. [...]

Pour ses « 24 heures du périphérique », Anne Hidalgo imagine réserver une fois par an cette autoroute urbaine aux piétions et aux cyclistes. « Pour se promener ou « faire la fête »« , écrivait le Journal du dimanche. [...]"

Europe 1

NB: par contre, pas de commémoration du huit centenaire de Bouvines...et je vois bien Paris pavoiser pour les 70 ans ans de la création d'Israel. (faut demander à Meyer Habib, député français de l'UDI).

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adriana lima,cristopher lasch

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« De nombreux militants de gauche s'insurgent encore contre la famille autoritaire, le moralisme anti sexuel, la censure littéraire, la morale du travail et autres piliers de l'ordre bourgeois, alors que ceux-ci ont déjà été sapés ou détruits par le capitalisme avancé. Ces radicaux ne voient pas que la personnalité autoritaire n'est plus le prototype de l'homme économique. Ce dernier a lui-même cédé la place à l'homme psychologique de notre temps -dernier avatar de l'individualisme bourgeois. » (C. Lasch, La culture du narcissisme, éd climats, 2000)

"Les mêmes tendances sont à l'oeuvre dans le monde entier. En europe, les référendums qui se sont tenus sur la question de l'unification ont révélé une faille profonde et qui va en s'élargissant entre le monde politique et les membres plus humbles de la société qui redoutent que la CEE ne soit dominée par des bureaucrates et des techniciens dépourvus de tout sentiment d'identité ou d'appartenance nationale. Une Europe gouvernée de Bruxelles sera de leur point de vue de moins en moins sensible au contrôle des peuples. Le langage international de l'argent parlera plus fort que les dialectes locaux. Ce sont ces peurs qui sont sous-jacentes à la résurgence des particularités ethniques en Europe, tandis que le déclin de l'Etat-nation affaiblit la seule autorité capable de maintenir le couvercle sur les rivalités ethniques. Par réaction, la renaissance du tribalisme renforce le cosmopolitisme chez les élites." (Cristopher Lasch, La révolte des élites, 1996)


"La France ne va pas crever du fait d’une immigration qui n’aura fait que saisir les opportunités qui lui étaient offertes. Non, elle crèvera du feu roulant d’une partie de ses « élites blanches » qui se sont liguées contre elle depuis trente ans, tentant de réduire au silence tous ceux qui tentaient d’exercer la moindre liberté de pensée et de jugement. Le verbe, relayé sans fin par les médiacrates, a remplacé les armes" (Malika Sorel, 2012)

"Il est aussi dans l’intérêt d’un tyran de garder son peuple pauvre, pour qu’il ne puisse pas se protéger par les armes, et qu’il soit si occupé à ses tâches quotidiennes qu’il n’aie pas le temps pour la rébellion." (Aristote 384-322)

"Le travail du journaliste consiste à détruire la vérité, à mentir sans réserve, à pervertir, à avilir, à ramper aux pieds de Mammon et à vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez comme je le sais, alors qui peut parler de presse indépendante? Nous sommes les pantins et les vassaux des hommes riches qui se cachent derrière la scène ….. Ils tirent les ficelles … ET NOUS DANSONS." John Swinton (Ancien chef du personnel du New York Times, dans un discours à ses collègues.)

photo: jeunesse patriote