31/12/2011
tu nourriras ceux qui ont faim
20:00 | Lien permanent | Commentaires (0)
30/12/2011
don NOT knock him down!
19:44 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : snatch
29/12/2011
come on!
22:20 | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : two smoking barrels
28/12/2011
begbie
22:15 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : trainspotting
camion poubelle
22:12 | Lien permanent | Commentaires (1)
26/12/2011
j'adore la campagne
22:06 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : atomic circus
25/12/2011
für wiefiel persönnen?
22:03 | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : le grand restaurant
24/12/2011
vers la Mecque
20:01 | Lien permanent | Commentaires (2)
23/12/2011
je bulgar franss!
20:00 | Lien permanent | Commentaires (2)
22/12/2011
rappel de barême
21:28 | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : c'est arrivé prés de chez vous
21/12/2011
tour à tour
21:58 | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : c'est arrivé près de chez vous
chiasse records
Allez c'est Noël, je vous programme quelque chose.
09:39 | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : atomik circus
18/12/2011
the kind that drives u to drink..
allez jp, fais pas la gueule!
Hoplite rejoint ses forêts et ses montagnes et va donc se faire rare céans pendant quelques jours, so joyeux noël à tous et à bientôt.
le dernier mot à Jünger:
"Le libéral est mécontent de tout régime; l'anarque en traverse la série, si possible sans jamais se cogner, comme il ferait d'une colonnade. C'est la bonne recette pour qui s'intéresse à l'essence du monde plutôt qu'à ses apparences - le philosophe, l'artiste, le croyant."
Ernst JÜNGER, Eumeswill (1977)
Y a du boulot, encore..
14:28 | Lien permanent | Commentaires (11) | Tags : croze, munich
15/12/2011
crash
"USA 2012/2016 : Un pays insolvable et ingouvernable
Dans ce GEAB N°60, notre équipe présente donc ses anticipations à propos de l'avenir des Etats-Unis pour la période 2012-2016. Nous rappelons que depuis 2006 et les premiers GEAB, LEAP/E2020 a décrit la crise systémique globale comme un phénomène caractérisant la fin du monde tel qu'on le connaît depuis 1945, marquant l'effondrement du pilier américain sur lequel cet ordre mondial a reposé depuis près de sept décennies. Dès 2006, nous avions identifié les années 2011-2013 comme étant celles au cours de laquelle le « Mur Dollar » sur lequel est assise la puissance des Etats-Unis allait se disloquer. L'été 2011, avec la dégradation de la note de crédit des USA par l'agence S&P a marqué un tournant historique et a confirmé que l' « impossible » (27) était bien en train de se concrétiser. Il nous paraît donc essentiel de fournir aujourd'hui à nos lecteurs une vision anticipatrice claire sur ce qui attend le « pilier » du monde d'avant la crise au moment où cette crise est passée à la « vitesse supérieure » depuis l'été 2011 (28).
Ainsi, selon LEAP/E2020, l'année électorale 2012 qui s'ouvre sur fond de dépression économique et sociale, de paralysie complète de l'appareil d'état fédéral (29), de fort rejet du bipartisme traditionnel et de questionnements croissants sur la pertinence de la Constitution, inaugure une période cruciale de l'histoire des Etats-Unis. Au cours des prochaines quatre années, le pays va être soumis à des chocs politiques, économiques, financiers et sociaux comme il n'en a pas connu depuis la fin de la Guerre de Sécession qui, hasard de l'Histoire, débuta très exactement il y a 150 ans en 1861. Au cours de cette période, les Etats-Unis vont être simultanément insolvables et ingouvernables, transformant en « bateau-ivre » ce qui fut le « navire-amiral » du monde de ces dernières décennies.
Pour rendre compréhensible la complexité des processus en cours, notre équipe a choisi d'organiser ses anticipations en la matière autour de trois grands pôles :
1. La paralysie institutionnelle US et la dislocation du bipartisme traditionnel
2. La spirale économique infernale US: récession/dépression/inflation
3. La décomposition du tissu socio-politique US (...)"******************************************************************************
et quand ça pète, on achète quoi?
22:48 | Lien permanent | Commentaires (13) | Tags : geab, usa
14/12/2011
signaux
(...) Tandis que la Fed et la Bank of England lancent les signaux prémonitoires de relances prochaines de leurs programmes d’achats d’obligations d’État, Mark Carney, le gouverneur de la banque centrale du Canada, a dressé un tableau peu alléchant de ce qui attend les Nord-Américains et les Européens. « Les économies avancées ont régulièrement accru leur levier d’endettement durant des dizaines d’années. Mais cette époque est désormais bien révolue. Si la direction du processus est claire, son envergure et sa rapidité ne le sont pas. Celui-ci pourrait être long et ordonné ou abrupt et chaotique. »
Cette période de désendettement pourrait selon lui mener à une déflation et à des défauts de paiement désordonnés, pouvant provoquer « d’importants transferts de richesse et des troubles sociaux ». Le gouverneur a aussi prédit pour l’Europe que « la dure combinaison de l’austérité budgétaire et de l’ajustement structurel nécessaires aura pour conséquences une baisse des salaires, un chômage élevé et un resserrement des conditions du crédit aux entreprises », annonçant des « baisses non négligeables du niveau de vie » dans certains pays. Concluant qu’il faudra au moins cinq ans avant que l’Europe ne retrouve son niveau de richesse d’avant la crise (sans préciser l’évolution de sa répartition).
Alors que les nouvelles qui viennent d’Athènes accréditent l’idée que son sauvetage est en train d’exploser en plein vol, l’ensemble des informations qui sont disponibles convergent vers une simple constatation : lentement mais surement les pays européens continuent de s’enfoncer dans la crise. Sous les assauts néfastes conjugués de l’implosion du système financier et de la stratégie développée pour tenter de la contrôler.
Dans cette catastrophe au ralenti, tout se passe comme si les forces conservatrices voyaient dans la situation actuelle l’opportunité d’imposer leurs vues, voulant ignorer qu’elles ont enclenché une spirale descendante qu’elles ne maitrisent pas, comme si elle avaient lancé au ciel un pari d’ivrogne.
François Leclerc (chez Jorion)
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Post de décembre 2004 – Compte-rendu de situation sur la faillite de l’Argentine
OK, c’est parti, j’espère que cela aidera. Nous désignons souvent les gens non préparés - la masse – sous le terme de moutons. Mouton les décrit particulièrement bien. Ils font ce que les autres font, ne se battent pas pour leurs droits, acceptent presque tout et ainsi de suite. Mais que ce passe-t-il quand les moutons sont désespérés ? Eh bien, ce qui s’est passé ici.
Après des années de fermetures d’usines et de destruction de notre industrie nationale, de salaires extrêmement bas, les gens en ont eu assez. Cette économie destructive menée par Menem, notre ancien président, un des présidents les plus corrompus de l’histoire (il était impliqué dans l’attentat de l’ambassade israélienne et gérait le marché de la drogue dans le pays, juste pour cité quelques exemples) associée à la stupidité du président suivant, De La Rúa, était la formule du désastre.
Un jour le Ministre de l’Economie a déclaré que personne ne pourrait obtenir plus de 100 dollars par jour de l’ATM (NDT : Automatic Teller Machine = Distributeur de billets) ni clôturer des comptes bancaires. Vous pouviez juste retirer 100 dollars par jour à la banque. C’était tout. Alors vint la dévaluation. Avant qu’elle n’arrive, un dollar US valait un peso argentin. Soudainement le ratio est passé à un dollar US pour 2 pesos, puis 2,5 et même 4. Aujourd’hui un dollar US vaut 3 pesos. Les banques conservent l’argent du peuple, leurs dépôts en dollars US inclus. Si vous aviez 1000 dollars US à la banque de Boston par exemple, elles les ont remplacés par 1000 pesos, équivalents à 333 dollars US. Elles vont ont donc volé 666 dollars US ! Les prix ont augmenté de 200 à 300%, parfois plus. Imaginez un instant à quoi ressemblerait votre vie si demain vous vous rendez au supermarché et constatez que tout à augmenté de 200%. Comment survivriez-vous avec votre chèque de paie ?
Les moutons sont devenus désespérés. Tout d’abord parce qu’ils avaient été spoliés par les banques et ne reverraient jamais leur argent. Ensuite parce que les classes sociales bénéficiant des revenus les plus bas ont découvert que leur salaire ne suffirait jamais à s’acheter le minimum vital. Le pays a alors protesté en demandant la démission du président. Lequel a dû quitter le palais présidentiel en hélicoptère… Les banques ont été saccagées par le peuple voulant récupérer son argent durement gagné. Les supermarchés et magasins ont été pillés, ainsi que les maisons. Cela a duré environ un mois, le chaos, concentré dans les grandes villes, s’étendant à tout le pays.
Je me souviens m’être retrouvé dans un supermarché en train de négocier avec le manager, alors que les émeutiers se trouvaient dehors. Parfois, ils ne détruisaient pas l’endroit si le supermarché leur laissait les biens pacifiquement. La nourriture est devenue rare. Je veux dire par là que vous ne pouviez acheter qu’une certaine quantité de lait ou d’eau, 4 bouteilles par exemple. Et la plupart des produits d’importation ont disparu. Les produits électroniques comme les TV, les lecteurs vidéos et les réfrigérateurs ont conservé leur prix en dollars, devenant inaccessibles pour beaucoup de gens. La même chose s’est produite avec l’immobilier, les voitures et les produits de luxe. Aujourd’hui tout cela semble bien lointain. Non parce que la situation s’est améliorée, mais simplement parce que nous humains avons cette damnées capacité à nous adapter. Combien nos vies ont-elles changé ? Je ne suis même pas capable de l’expliquer… Tout a changé ! Les rues sont plus dangereuses que jamais, grâce à la pauvreté généralisée.
En raison de cela l’éducation a également souffert, les enfants devant travailler ou voler au lieu d’aller à l’école. Comment pourrais-je vous l’expliquer ? Par exemple les outils sont devenus vraiment chers, vu que la majorité est importée. N’oubliez pas que notre industrie a été vendue ou détruite. Des trucs comme les MRE (NDT : Meal Ready to Eat) ou les barres énergétiques de survie sont impossibles à se procurer. Plus personne ne les importe (j’ai payé 10 dollars pour une MRE qu’un gars avait). Les armes et les munitions sont vraiment chères et sont vendues en petites quantités. Oubliez l’idée d’acheter une caisse de munitions ! Oubliez cela ! Je sais que c’est difficile pour certains d’entre vous d’imaginer cela, mais vous ne pouvez plus acheter une caisse de quoi que ce soit. Un grand magasin pourra avoir 10 ou 15 boîtes de chacune 20 balles de 308. Les petits magasins en auront 10 ou moins. Seules les munitions courantes sont disponibles, comme les calibres .22, .38, .357, 9mm, quelques 40 S&W, 12, 308 et un peu de .223. C’est à peu près tout. Les munitions pour mon 357 SIG sont difficiles à obtenir. J’achète une boîte de munitions chaque fois que je le peux… et c’est extrêmement cher.
PASSAGE CENSURE - NON CONFORME A LA CHARTE OLDUVAI SUR LES ARMES
Les chaussures et les vêtements sont également chers, même en dollars US. La main d’œuvre est bon marché : vous pouvez avoir un domestique et un jardinier pour 300 dollars. Il n’y a pas d’emploi sûr. Avec 20% de chômage, ils vous paient ce qu’ils veulent et si vous ne voulez pas du travail il y a 100 personnes prêtes à le faire. Posséder un magasin est difficile. Vous devez prendre en compte les attaques à main armée (certains sont attaqués 10 fois par mois) et vous devez également payer la police pour votre protection (contre eux-mêmes). J’espère que cela aidera, au moins vous aurez une idée de ce que sera votre monde si cela arrive à votre pays, en espérant que vous n’aurez jamais à expérimenter cela… Si vous avez une question n’hésitez pas à demander. J’espère vous être utile.
13:37 | Lien permanent | Commentaires (17) | Tags : françois leclerc, ferfal, jorion
12/12/2011
au milieu des ruines
20:38 | Lien permanent | Commentaires (10)
11/12/2011
guerre ethnique ou festipride? Ou les deux?
"(...) La guerre ethnique est commencée. En sourdine. Et, année après année, elle prend de l'ampleur. Pour l'instant, elle prend la forme d'une guérilla urbaine larvée : incendies de voitures ou de commerces, agressions &répétées d'Européens, caillassages, attaques des transports en commun, guet-apens tendus aux policiers ou aux pompiers, razzias dans les centre-ville etc. Comme une étude sociologique attentive du phénomène le démontre, la délinquance des jeunes Afro-maghrébins est aussi un moyen de conquête de territoires et d'expulsion des Européens à l'intérieur de l'espace étatique français . Elle n'est pas uniquement motivée par des raisons de simple criminalité économique. A partir des cités, se créent des enclaves ou “zones de non-droit”, qui s'étendent en tache d'huile à l'extérieur. Dès que la population allogène atteint une certaine proportion, la délinquance fait déménager les “petits Blancs”, harcelés par les bandes ethniques. La police - que la justice ne soutient pas - répugne à intervenir dans ces zones conquises, qui échappent alors à l'État de droit. On en dénombre déjà près de1 000 en France. Ce phénomène de parcellarisation du territoire peut suggérer que nous entrons dans un nouveau Moyen-Age. Mais il recouvre aussi un processus de colonisation territoriale qui met en pièces l'utopie de gauche de la “mixité ethnique”. Les élites intellectuelles françaises - qui ont toujours vécu depuis deux cents ans dans les beaux quartiers bourgeois et blancs - ont toujours prôné la mixité sociale dans les zones urbaines. Elle fonctionnait très bien (comme par exemple dans le XV e arrondissement de Paris) tant que les différentes classes sociales étaient d'origine européenne. Mais les élites intellectuelles, qui nient les différences ethniques, n'ont aucune explication pour rendre compte du départ des Européens des zones à majorité immigrée. Ils parlent de “fracture sociale”, alors qu'il s'agit d'une fracture raciale et ethno-culturelle. Les politiciens invoquent de vagues causes économiques, alors qu'il s'agit de causes ethniques très transparentes. Pire : élites intellectuelles et politiciens culpabilisent les “petits Blancs” des classes populaires, qui partiraient des zones à forte proportion immigrée par “peur exagérée”, par “fantasme”, donc par racisme, évidemment. Ce seraient eux (ainsi que le “chômage”, la “misère” et l’“exclusion”) les responsables de la formation des “ghettos”. Trois remarques à ce propos :
1) Il ne s'agit pas de ghettos mais de territoires conquis et colonisés. Un ghetto est une zone où l'on relègue une population, qui subit un ostracisme, comme les juifs au Moyen-Age. Aujourd'hui en France, ce sont les populations allogènes qui se taillent, par la force, des espaces territoriaux. Parler de ghetto, c'est présenter les immigrés comme des victimes, alors qu'ils sont au contraire les acteurs volontaires de la création de leurs espaces autonomes.
2) On laisse entendre que ce serait la misère, le paupérisme qui expliquerait la ghettoisation de zones de non-droit de plus en plus nombreuses. Au contraire, l'économie criminelle, centrée sur la drogue et la revente de biens volés, ainsi que le recours légal ou frauduleux aux allocations assure aux populations de ces zones un niveau de vie confortable , bien supérieur à celui des Français de souche au chômage. La situation française n'a rien à voir avec celle des favellas brésiliens ou des bandes d'adolescents miséreux de Casablanca. Les clandestins sont inexpulsables de France, mais les Français de souche (et tous les autres résidents européens) sont expulsés des zones d'implantation afro-maghrébine majoritaires. Personne dans les médias n'a su (ou osé) expliquer la raison des innombrables incendies de voitures. C'est pourtant simple : la quasi-totalité des véhicules incendiés appartiennent à des Européens, selon un rapport confidentiel des Renseignements généraux du 2 juillet 1999 – 91% exactement. C'est une bonne incitation au départ.
3) Une autre technique est l'agression systématique. Un cas parmi des centaines d'autres : dans la ville d'Angoulême, les autorités avaient décidé d'installer un foyer étudiant dans une “cité”. Afin de répondre au dogme angélique du “brassage”. Très vite, ce fut, début 1999, le harcèlement par les bandes afro-maghrébines. La vie devint vite infernale pour les jeunes Européens : agressions, cambriolages, harcèlement des étudiantes, incendie des véhicules, etc. Jusqu'au jour où plusieurs d'entre eux se firent grièvement poignarder. Les autorités universitaires durent les déménager en urgence sous la protection de la police. Force était restée aux Beurs-Blacks - dont aucun ne fut inquiété - et non pas à la loi. Ce qui s'est produit au Kosovo risque fort de se produire à l'échelle de la France. La leçon du destin de ce bout de Serbie progressivement occupé par les Albanais musulmans n'a pas été retenue. On s'imagine que les colonisations sont des invasions armées. C'est faux ; ce sont des invasions lentes et silencieuses, et le colonisé se réveille trop tard, quand sa maison est occupée, plus exactement squattée."
22:43 | Lien permanent | Commentaires (43)
chroniques du vivre-ensemble (2)
"Si nous étions soudainement projetés dans un monde ou la citoyenneté n'existait pas, si nous étions soudainement d'un monde ou nos constructions sociales, politiques et culturelles n'avaient pas lieu d'être…si nous étions seulement cet Homo Erectus faisant de ses pas une trace cohérente et intentionnée ne laissant paraître qu'une conscience qui s'affirme, alors, nous n'aurions aucunement besoin d'un autre pour nous dire, pour nous donner, pour nous vendre le droit de défendre nos vies et celles de nos proches. Bien sur, nous sommes d'un monde gouverné par le privilège.Le privilège de pouvoir conduire, de pouvoir jouir de nos systèmes de supports, de pouvoir combattre le cancer, de pouvoir construire une maison…La protection personnelle est devenue au fil de nos organisations sociales grandissantes, une affaire complexe et tentaculaire. La complexité qui s'étire a la vue d'une arme a feu, a la vue de cet outil adapté, est aujourd'hui d'un murmure constant. Pour ou contre, privilège ou droit, l'arme existe. Que cette arme soit illégale ou taxée et enregistrée, longue ou courte, blanche ou noire, d'une discipline ou d'un art, d'un outil ou d'un mot, l'Homme n'est pas directement ou indirectement capable de survivre, de maintenir sa vie, et de subvenir a ses besoins les plus basiques sans elle.Penser, avoir l'idée que notre évolution est si pertinente que l'arme ne devrait plus exister aujourd'hui est un mensonge. Si nous étions 500 sur cette planète, si il n'y existait que des animaux de proies, si la nourriture y était abondante et que nous n'étions pas cette espèce empreinte a l'esclavagisme…alors en effet l'arme n'aurait aucune raison d'être. Ou encore, si nous étions d'une nature et d'une philosophie, d'une présence biologique et d'une intellectualité pouvant accepter la mort sans conditions, et pas seulement la notre mais celle de nos enfants, alors en effet l'arme n'aurait aucune raison d'être. Non…notre monde est d'une réalité ou la plupart des humains transpirent une relation a l'autre forgée dans l'esclavagisme et la soumission. Un ami m'a dit un jour…"Moi je préfère habiter en France, parce que au moins nous n'avons pas d'armes ici comme chez toi aux USA, et que si ça pète un jour, il sera plus facile de survivre". Il est évident que cette pensée est ici le résultat d'une incompréhension généralisée de la place de l'arme en France, ou devrais-je maintenant dire l'Europe ?" blog le survivaliste********************************************************************************Je vous suggère de parcourir ce blog d'un français exilé aux USA. Sa réflexion sur le monde tel qu'il ne va pas -dans une perspective survivaliste- et sa connaissance des armes sont trés souvent pertinentes et utiles. Les USA ne sont pas l'Europe ou la France, les américains ne sont pas des européens, les législation ne sont pas comparables. Mais les hommes restent des hommes et les comportements primaires (de survie) en cas de chaos sociétal ont toutes les chances d'êtres uniformes d'un bout à l'autre de la planète; et sans doute encore plus violents/radicaux dans les pays ethniquement et culturellement inhomogènes. Je passe sur l'étrange renversement du sens qui rend bien difficile pour un citoyen lambda en France l'achat d'une arme de poing ou même d'un simple fusil de chasse (déclaration récente en préfecture) alors que n'importe quel malfrat peut se procurer une kalachnikov pour quelques centaines d'euros et que les forces de l'ordre (BAC) se voient gracieusement offrir -6 mois avant la présidentielle- un fusil à pompe par unité alors qu'ils ont en face d'eux des armes de guerre (AK47 donc et UZI) et des individus prêts à tuer pour des captain Igloo...Avoir une arme à feu et s'en servir est effectivement un tabou en France. Sans doute est-ce lié à notre Histoire, peut-être aux guerres civiles de religion, ce mal suprême selon Montaigne. Pour autant les générations précédentes, encore largement rurales vivaient avec des armes autour d'eux (fusils de chasses cal 12 comme nombre d'armes de guerres non déclarées et encore parfaitement létales). J'ai personnellement chassé trés jeune avec mon père et le maniement d'un calibre 12 n'avait pas de secret pour moi avant même de passer mon permis de chasse. Depuis moins longtemps, ayant compris la nécessité de connaitre le maniement d'autres armes, je pratique le tir en club avec les mêmes réactions hostiles lorsque j'en parle (rarement) autour de moi: au mieux l'incompréhension, habituellement l'hostilité...je m'en sors habituellement en expliquant combien il est naturel à un fasciste conséquent d'avoir une arme et de s'entrainer...
Inutile de s'étendre alors sur l'étrange et archaïque plaisir de possèder une arme, de l'entretenir et de s'en servir, il y a des réflexions qui dressent l'échafaud de votre mort sociale moins sûrement...Il est probable et souhaitable qu'aucuns d'entre nous dans les années à venir n'ait à se servir d'une arme pour se défendre ou défendre les siens mais en bon Schmittien, je pense qu'il est logique d'envisager le pire pour l'éviter si possible sinon pour y faire face.
17:36 | Lien permanent | Commentaires (7)
10/12/2011
feu
« Comme le temps file ! Sept années à courir, à attraper des vilains, à esquiver les coups, à digérer les insultes et à supporter cette haine contagieuse qui suinte et se répand partout. Et me tente parfois. Mais je me refuse à basculer. Pour faire ce boulot proprement, la règle première, c'est de garder la tête froide. C'est difficile. De plus en plus difficile. Ces dix dernières années, la violence a explosé dans les quartiers, elle a aussi changé de visage. Elle se fait chaque fois plus juvénile. Nos agresseurs n'ont aujourd'hui pas plus de 13 ans, et ce sont bien eux les pires. Ils se montrent d'une férocité inouïe. Mais surtout, dans ces quartiers populaires, la population a évolué. Les jeunes d'origine maghrébine, qui tenaient le marché du deal, ont été peu à peu évincés par les Africains. Cette immigration est bien plus récente. La polygamie fait des dégâts considérables. Les enfants vivent entassés dans de petits appartements. Ils préfèrent traîner dehors et se retrouvent vite à la merci des délinquants. Ils sont bien plus pauvres et ont le sentiment de n'avoir rien à perdre, d'autant que la plupart d'entre eux viennent de pays en guerre où la violence est extrême et fait figure de règle. Sur le terrain, face à ces populations qui règlent leurs comptes à coups de machette ou avec les poings, nous nous retrouvons souvent pris en étau. Récemment, l'un de mes collègues a été mordu par une femme africaine. Son index a été sectionné et ne tenait plus que par la peau.
(…) Le début des émeutes de l'automne 2005. À l'époque, je venais d'intégrer la BAC et c'est pour moi une des pires périodes de ma carrière de policier. On allait « au feu » tous les jours sans savoir si on reviendrait en vie ou entier à la fin de la journée. Ce qui m'a surtout profondément marqué, c'est qu'à ce moment-là on a vraiment ressenti une haine pure vis-à-vis des policiers. Non seulement on l'a ressentie, mais on l'a sentie dans notre chair. Nombre de mes collègues ont été blessés. Je suis passé souvent à deux doigts de la mort. J'ai vu des boules de pétanque, des casseroles, des plaques d'égout jetées depuis les toits me frôler de quelques centimètres. Mes chaussures ont littéralement fondu, brûlées par l'acide des nombreux cocktails Molotov balancés par ces « pauvres jeunes désœuvrés ». Je me souviens avoir dû évacuer en urgence un de nos collègues, un solide gaillard de 1,90 mètre en état de choc, complètement tétanisé et terrassé par la peur. Une énorme plaque d'égout en fonte venait de passer à un cheveu de son crâne... Il ne s'en est pas remis. Impossible aussi d'ôter de mes souvenirs la vision de ce jeune policier brûlé au visage sous mes yeux. Les jeunes postés au dernier étage d'un immeuble lui avaient jeté de l'essence enflammée en pleine figure. J'étais juste derrière, j'ai eu plus de chance que lui. Ces images me hantent encore. (...) » source
17:13 | Lien permanent | Commentaires (22) | Tags : bac
09/12/2011
tsé koi oublie tu fais trop rire olàlà
"Fin 2003 des autocollants des Jeunesses Identitaires parsemaient le mobilier urbain de la ville de Grenoble et proclamaient que désormais « Face à la racaille tu n’es plus seul ». Ah oui dans tes rêves gros! « Tu » as toujours été extrêmement seul face à la racaille et le seras certainement toujours. Très forts pour déceler faiblesse et doute dans le regard et dans le code kynésique les racailleux savent aussi déstabiliser par la parole avec des formules savamment étudiées répétées et testées sur plus fort et plus méchant que toi : « kess tu regardes comme ça t’as cru jrigoilais avec toi tu veux qu’j’te déchire ta gueule ? », « vas-y essaie même pas de faire le vénère genre tu fais le cas soc’ ça marche pas avec moi ça», très forts pour « tester » et bluffer. Très forts pour identifier la désertion intellectuelle et morale, ils savent par exemple que de traiter de « facho » un adversaire FDS plus fort que soi va certainement le faire douter un peu. Presque toute leur vie est tendue vers le but de dominer dans les rapports de force, et tout chez eux est pensé en fonction de cela. C’est pourquoi il n’est pas possible de les tromper, il ne faut jamais les sous-estimer, ce sont des ordures mais pas des naïfs, c’est-à-dire exactement le contraire des membres de la majorité silencieuse.
Il faut comprendre les racailles, comprendre leurs us et coutumes. Une ancienne prof de l’éducation nationale m’expliquait récemment sa démission par le fait qu’elle se retrouvait confronté à des jeunes dont la pensée et les fondamentaux lui étaient complètement étrangers et incompréhensibles. L’honnête jeune enseignante venait d’ambiances FDS studieuses et révérait les belles lettres et se retrouve soudain confrontée à d’atroces CPF passionnés par le rapport de force capables de lâcher des « comment ça « shut » ta kru tété ma mère ? » et de « vas-y c’est bon tu m’as soulé parle même pas avec moi tsé koi oublie tu fais trop rire olàlà ». Or cela c’est l’essence même de la racaille : cette aberration totale, cette inversion des valeurs, cet incroyable culot culpabilisateur. La confrontation brutale et forcée peut s’avérer très surprenante, c’est pourquoi votre humble serviteur serait partisan de s’y préparer en écoutant et en regardant.
(...) La racaille est raciste. Que l’on se renseigne sur ce qui arrive aux Blancs qui, parce qu’ils sont paumés et en recherche de camaraderie virile se lient d’amitié avec la racaille. Regardez K-Libre. C’est affreux, affreux a regarder. Et comme il a tourné, le sort que lui ont fait ses «frères », et pourtant il avait donné tous les gages de bonne conduite, s’était même converti, avait tout adopté, tout hallal-bouffé. Malgré tout cela il a quand même été considéré comme un Blanc et un Dhimmi, et a fini comme tel. Parce qu’en face, tout blakblanbeur qu’ils se prétendent ils pensent et agissent en blacks et en beurs. Qui à honte d’être un negro a part Mickael Jackson ? Booba « Double poney ».
Eux ils ne respectent pas par libre adhésion mais par soumission au plus fort. Leur mot « respect » connote « tenir en respect », pas « avoir du respect ». Et le plus fort ils le testent en permanence pour vérifier qu’il est toujours le plus fort. Ne l’est-il plus ? Montre-t-il des signes de faiblesses ? Aussitôt c’est la curée. Des loups, des hyènes.
Comment a été tué Jean-Claude Irvoas ? Et Jean-Jacques Le Chenadec ? Et Yann Lorence ? Et les dizaines de Sébastien, de Kevin et de Cyril depuis toutes ces années ? Réponse : la curée. Seuls contre plusieurs, façon pogrom, façon Mogadiscio (La chute du faucon noir, histoire vraie).
Pourquoi hurlent-ils et réclament-ils des choses ? Pas parce qu’ils sont opprimés. Mais parce qu’ils ne sont PAS opprimés. Ça joue les mâles mais c’est tout femelle en vrai. Ils ne détestent rien tant que la liberté. Ils y sont dans le vide, ils y sont perdus. Ils souhaitent profondément une bonne dictature bien oppressive pour pouvoir jouer le seul rôle qu’ils connaissent, celui de victime. Preuve en est l’exemple systématique de leurs sociétés au « bled ». Pas un seul des 53 pays d’Afrique qui ne déroge à la règle « dictature racketteuse corrompue et obscurantiste ». Parce que l’être humain veut jouir et ne pas prendre la vie au sérieux. Et eux c’est comme ça qu’ils jouissent.
Le problème étant cet accent dégoûtant, résidus de ces langues maternelles effroyablement gutturales, qui sonnent aux oreilles comme un râle de vomissement ou d’égorgement c’est selon. Richard Millet faisait à juste titre remarquer que très étrangement, cet accent se transmet au fil des générations, et que c’est là une preuve concrète d’absence d’intégration. Idem pour le choix des prénoms donnés aux enfants. Mais revenons à l’accent. L’accent et les simagrées, ces façons d’agiter beaucoup les mains comme si leurs paroles étaient tant profondes qu’elles nécessitent l’appui d’une gestuelle. Une gestuelle disgracieuse un code kinésique et proxémique qui chez nous connote la menace. Différence culturelle te revoilà, gouffre même lorsque leur entêtement à « conservé lé tradissions » a pour résultat de paraître quoi qu’ils fassent, agressifs, violents.
Mais au fond est-ce qu’ils paraissent violents ou est-ce qu’ils sont vraiment violents? Pour répondre à cette question nous prendrons l’exemple du « discours de Ratisbonne » de Benoit XVI. Le pape lit un texte dans lequel il cite un auteur qui dit en substance qu’il se désole de voir que les muslims sont violents. Et aussitôt les muslims dans le monde réagissent non pas en disant « comment nous violents mais pas du tout ! » mais précisément se livrent à un déchainement de meurtres de chrétiens, d’incendies d’églises et de pogroms bien lâches et accomplis en situation d’écrasante supériorité numérique. « Tu pues de la gueule » dit le philosophe au bouffeur d’ail cru, et ce dernier de de lui gueuler en face en soufflant très fort « comment ? Moi j’pue d’la gueule ?? Moi j’pue d’la gueule ?? ». Eh bien les aberrations intellectuelles de ce calibre-là sont la spécialité de la racaille.(...)
Lounes Darbois (en grande forme..), à lire d'urgence. (Il y a du Balzac chez cet homme)
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