Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

09/12/2011

tsé koi oublie tu fais trop rire olàlà

invalides.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

"Fin 2003 des autocollants des Jeunesses Identitaires parsemaient le mobilier urbain de la ville de Grenoble et proclamaient que désormais « Face à la racaille tu n’es plus seul ». Ah oui dans tes rêves gros! « Tu » as toujours été extrêmement seul face à la racaille et le seras certainement toujours. Très forts pour déceler faiblesse et doute dans le regard et dans le code kynésique les racailleux savent aussi déstabiliser par la parole avec des formules savamment étudiées répétées et testées sur plus fort et plus méchant que toi : « kess tu regardes comme ça t’as cru jrigoilais avec toi tu veux qu’j’te déchire ta gueule ? », « vas-y essaie même pas de faire le vénère genre tu fais le cas soc’ ça marche pas avec moi ça», très forts pour « tester » et bluffer. Très forts pour identifier la désertion intellectuelle et morale, ils savent par exemple que de traiter de « facho » un adversaire FDS plus fort que soi va certainement le faire douter un peu. Presque toute leur vie est tendue vers le but de dominer dans les rapports de force, et tout chez eux est pensé en fonction de cela. C’est pourquoi il n’est pas possible de les tromper, il ne faut jamais les sous-estimer, ce sont des ordures mais pas des naïfs, c’est-à-dire exactement le contraire des membres de la majorité silencieuse.

Il faut comprendre les racailles, comprendre leurs us et coutumes. Une ancienne prof de l’éducation nationale m’expliquait récemment sa démission par le fait qu’elle se retrouvait confronté à des jeunes dont la pensée et les fondamentaux lui étaient complètement étrangers et incompréhensibles. L’honnête jeune enseignante venait d’ambiances FDS studieuses et révérait les belles lettres et se retrouve soudain confrontée à d’atroces CPF passionnés par le rapport de force capables de lâcher des « comment ça « shut » ta kru tété ma mère ? » et de « vas-y c’est bon tu m’as soulé parle même pas avec moi tsé koi oublie tu fais trop rire olàlà ». Or cela c’est l’essence même de la racaille : cette aberration totale, cette inversion des valeurs, cet incroyable culot culpabilisateur. La confrontation brutale et forcée peut s’avérer très surprenante, c’est pourquoi votre humble serviteur serait partisan de s’y préparer en écoutant et en regardant.

(...) La racaille est raciste. Que l’on se renseigne sur ce qui arrive aux Blancs qui, parce qu’ils sont paumés et en recherche de camaraderie virile se lient d’amitié avec la racaille. Regardez K-Libre. C’est affreux, affreux a regarder. Et comme il a tourné, le sort que lui ont fait ses «frères », et pourtant il avait donné tous les gages de bonne conduite, s’était même converti, avait tout adopté, tout hallal-bouffé. Malgré tout cela il a quand même été considéré comme un Blanc et un Dhimmi, et a fini comme tel. Parce qu’en face, tout blakblanbeur qu’ils se prétendent ils pensent et agissent en blacks et en beurs. Qui à honte d’être un negro a part Mickael Jackson ? Booba « Double poney ».

Eux ils ne respectent pas par libre adhésion mais par soumission au plus fort. Leur mot « respect » connote « tenir en respect », pas « avoir du respect ». Et le plus fort ils le testent en permanence pour vérifier qu’il est toujours le plus fort. Ne l’est-il plus ? Montre-t-il des signes de faiblesses ? Aussitôt c’est la curée. Des loups, des hyènes.

Comment a été tué Jean-Claude Irvoas ? Et Jean-Jacques Le Chenadec ? Et Yann Lorence ? Et les dizaines de Sébastien, de Kevin et de Cyril depuis toutes ces années ? Réponse : la curée. Seuls contre plusieurs, façon pogrom, façon Mogadiscio (La chute du faucon noir, histoire vraie).

Pourquoi hurlent-ils et réclament-ils des choses ? Pas parce qu’ils sont opprimés. Mais parce qu’ils ne sont PAS opprimés. Ça joue les mâles mais c’est tout femelle en vrai. Ils ne détestent rien tant que la liberté. Ils y sont dans le vide, ils y sont perdus. Ils souhaitent profondément une bonne dictature bien oppressive pour pouvoir jouer le seul rôle qu’ils connaissent, celui de victime. Preuve en est l’exemple systématique de leurs sociétés au « bled ». Pas un seul des 53 pays d’Afrique qui ne déroge à la règle « dictature racketteuse corrompue et obscurantiste ». Parce que l’être humain veut jouir et ne pas prendre la vie au sérieux. Et eux c’est comme ça qu’ils jouissent.

Le problème étant cet accent dégoûtant, résidus de ces langues maternelles effroyablement gutturales, qui sonnent aux oreilles comme un râle de vomissement ou d’égorgement c’est selon. Richard Millet faisait à juste titre remarquer que très étrangement, cet accent se transmet au fil des générations, et que c’est là une preuve concrète d’absence d’intégration. Idem pour le choix des prénoms donnés aux enfants. Mais revenons à l’accent. L’accent et les simagrées, ces façons d’agiter beaucoup les mains comme si leurs paroles étaient tant profondes qu’elles nécessitent l’appui d’une gestuelle. Une gestuelle disgracieuse un code kinésique et proxémique qui chez nous connote la menace. Différence culturelle te revoilà, gouffre même lorsque leur entêtement à « conservé lé tradissions » a pour résultat de paraître quoi qu’ils fassent, agressifs, violents.

racaille,lounes darboisMais au fond est-ce qu’ils paraissent violents ou est-ce qu’ils sont vraiment violents? Pour répondre à cette question nous prendrons l’exemple du « discours de Ratisbonne » de Benoit XVI. Le pape lit un texte dans lequel il cite un auteur qui dit en substance qu’il se désole de voir que les muslims sont violents. Et aussitôt les muslims dans le monde réagissent non pas en disant « comment nous violents mais pas du tout ! » mais précisément se livrent à un déchainement de meurtres de chrétiens, d’incendies d’églises et de pogroms bien lâches et accomplis en situation d’écrasante supériorité numérique. « Tu pues de la gueule » dit le philosophe au  bouffeur d’ail cru, et ce dernier de de lui gueuler en face en soufflant très fort « comment ? Moi j’pue d’la gueule ?? Moi j’pue d’la gueule ?? ». Eh bien les aberrations intellectuelles de ce calibre-là sont la spécialité de la racaille.(...)

Lounes Darbois (en grande forme..), à lire d'urgence. (Il y a du Balzac chez cet homme)

13/11/2010

encore un effort

tumblr_l2hmb4Llnq1qzmfnwo1_500.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

"Castelnaudary. Trois jeunes rouent de coups un retraité : cinq mois avec sursis.

Un trio de primo-délinquants, âgés de 18 ans, a été condamné à 5 mois de prison avec sursis et mise à l'épreuve de 18 mois par le tribunal de Carcassonne. Ils sont accusés d'avoir roué de coups un homme d'une soixantaine d'années en septembre dernier à Castelnaudary. Ils n'avaient pas apprécié que ce dernier leur fasse une remarque après qu'ils aient légèrement accroché une voiture en stationnement.

En plus de cette condamnation, tous devront également accomplir un stage de citoyenneté."

************************************************************************************

« Quand la classe dominante prend la peine d'inventer un mot (« citoyen ») employé comme adjectif, et d'imposer son usage, alors même qu'il existe, dans le langage courant, un terme parfaitement synonyme (civique) et dont le sens est tout à fait clair, quiconque a lu Orwell comprend immédiatement que le mot nouveau devra, dans la pratique, signifier l'exact contraire du précédent. Par exemple, aider une vieille dame à traverser la rue était, jusqu'ici, un acte civique élémentaire. Il se pourrait, à présent, que le fait de la frapper pour lui voler son sac représente avant tout (avec, il est vrai, un peu de bonne volonté sociologique) une forme, encore un peu naïve, de protestation contre l'exclusion et l'injustice sociale, et constitue, à ce titre, l'amorce d'un geste citoyen. » (JC Michéa, L'enseignement de l'ignorance, Climats 2000)

Allez, on y est presque !

jo, je sais que tu kifferas cet échantillon de punk rock us (mouahhhah!)!

07/11/2009

de la gauche moderne et de la caillera

fue1CohnBendit.jpg« Dans la culture de gauche (ou encore progressiste, ou encore moderniste), toute porte fermée constitue, par définition, une provocation intolérable et un crime contre l’esprit humain. C’est donc, de ce point de vue, un impératif catégorique que d’ouvrir, et de laisser ouvertes, toutes les portes existantes (même si elles donnent sur la voie et que le train est en marche). Tel est, en dernière instance, le fondement métaphysique de cette peur panique d’interdire quoi que ce soit, qui définit un si grand nombre d’éducateurs et de parents, qui, pour leur confort intellectuel, tiennent à tout prix à « rester de gauche ». Il convient naturellement d’ajouter que, selon le circuit classique des compensations de l’inconscient, cette peur d’interdire se transforme assez vite en besoin forcené d’interdire (par la pétition, la pression de la rue, le recours au tribunal, etc.) tout ce qui n’est pas politiquement correct. On reconnaît ici la triste et contradictoire psychologie de ces nouvelles classes moyennes dont la Gauche moderne (une fois liquidé son enracinement populaire) est devenue le refuge politique de prédilection. »

 

« Si l’on parle, en effet, de l’intégration à une société, c’est-à-dire de la capacité pour un sujet deracaille1.jpg s’inscrire aux différentes places que prescrit l’échange symbolique, il est clair que cette fraction modernisée du Lumpen n’est pas « intégrée », qu’elles que soient, par ailleurs, les raisons concrètes (familiales et autres) qui expliquent ce défaut d’intégration. S’il s’agit, en revanche, de l’intégration au système capitaliste, il est évident que la Caillera est infiniment mieux intégrée à celui-ci (elle a parfaitement assimilé les éloges que le Spectacle en propose quotidiennement) que ne le sont les populations indigènes et immigrées, dont elle assure le contrôle et l’exploitation à l’intérieur de ces quartiers expérimentaux que l’Etat lui a laissé en gérance. En assignant à toute activité humaine un objectif unique (la thune), un modèle unique (la transaction violente ou bizness) et un modèle anthropologique unique (être un vrai chacal), la Caillera se contente, en effet, de recycler, à l’usage des périphéries du système, la pratique et l’imaginaire qui en définissent le Centre et le Sommet. L’ambition de ses membres n’a, certes, jamais été d’être la négation en actes de l’Economie régnante. Ils n’aspirent, tout au contraire, qu’à devenir les golden boys des bas-fonds. »

JC Michéa, L’enseignement de l’ignorance, 1999.

17/11/2007

What else?

Dans le grand journal de Canal plus il y a quelques jours, Alain Rey, linguiste de talent et gourou du petit et du grand Robert, et les deux auteurs d’un « petit dictionnaire du parler racaille ». Il y avait quelque chose de misérable de voir ce petit homme, concentré d’érudition et parfait représentant de l’élite littéraire de ce pays, entouré de deux malabars au Français hésitant, faire l’apologie de la « culture des banlieue ». Entendons-nous bien : si la langue des Apaches a toujours su faire évoluer et enrichir un français plus académique, faire l’apologie, en bloc, de cette sous culture pour l’essentiel violente, machiste, raciste et antisémite, m’est apparu d’une veulerie sans nom.

Eric Zemmour est pour moi un OVNI. Ce journaliste et chroniqueur de talent au Figaro (organe de presse bien-pensant), à LCI et à France 2, jouit et use avec bonheur d’une liberté de ton et de parole sans pareille dans le PAF. Et je ne peux m’empêcher de penser (j’attends d’être réfuté), qu’indépendamment de son talent, son origine Juive le protège de la diabolisation du camp progressiste. Zemmour, cultivé et combatif, pourfend avec courage vu le milieu dans lequel il évolue, tous les totems du politiquement et de l’historiquement correct (esclavage africain et musulman, antifascisme en peau de lapin du camp progressiste, antisémitisme de l’extrême gauche, caractère totalitaire de la doxa « anti raciste », islamisation de l’Europe, etc.).

 

                                       *

En rentrant de l’entraînement hier soir, vu un panneau annonçant la création d’une place Henri Krasucki, prés de chez moi. Après le lycée Jules Guesde, ça commence à faire beaucoup.

Etait il bien nécessaire de célébrer la mémoire de cet apparatchik stalinien qui ne trouva pas un mot pour réprouver la répression communiste à Budapest et à Prague et qui, sa vie durant, fit l’apologie par ses mensonges et ses silences du totalitarisme communiste ? Pour quand l’épuration (au moins idéologique) des criminels communistes et la mise à l’index des Sollers, Godard, Krasucki, Marchais, Besancenot, et autres ?

Et à quand une médiathèque Maurice Thorez ou une piscine Carrier?

 4836f20caeff19a0cc680ac0239c058d.jpg

 

                                         *

Lecture passionnante du « Modèle occidental de la guerre », par Victor Davis Hanson (chez Texto). Cet historien américain spécialiste de la guerre dans l’antiquité, montre avec bonheur comment la phalange hoplitique des Grecs révolutionna l’art de la guerre en Occident. Combattre de façon rationnelle, ordonnée et disciplinée était une nouveauté absolue d’une efficacité redoutable. Le citoyen soldat hoplite combattait de l’âge de 18 à 60 ans (pas de régime spécial, ici) ; Hérodote, dans ses Guerres Médiques, et Thucydide dans sa Guerre du Péloponnèse, relatent des affrontements faisant intervenir des guerriers âgés de plus de 60 ans. Cela était possible par la nature brève de l’engagement (quelques heures, quelques jours au plus) et par l’absence d’entraînement spécifique nécessaire : le guerrier hoplite qui combattait avec 30 kg environ d’armes et de protection (bouclier en bois épais, lance, casque lourd, épée courte, cuirasse et cnémides), n’était qu’un parmi une formation dont la cohérence faisait la force. Le point faible était la désunion de la phalange, notamment dans les mouvements de panique. Les généraux avisés disposaient souvent des guerriers chevronnés, vétérans, en arrière de la phalange de façon à limiter le recul ou la fuite de jeunes guerriers terrorisés. Hanson est remarquable car il axe son étude sur la psychologie du guerrier hoplite et sur l’homme combattant, et non pas seulement sur des considérations stratégiques ou tactiques désincarnées. L’effroi que ressentaient bien souvent les ennemis des Grecs à la vue d’une phalange en formation de combat, hérissée de pointes et hermétiquement close par un mur de boucliers devient compréhensible. Cette manière de faire la guerre, qui excluait toute escarmouche, embuscade, guérilla, ruses, attaque nocturne, etc, est révolutionnaire et est devenue le modèle occidental de la guerre jusqu’à nos jours. Le front immobile et inquiétant des armées Franques de Charles Martel (le fameux "mur de glace") devant la cavalerie désordonnée d’Abd al raman en est un exemple marquant.

 

                                        *

News of barbarians: la Marseillaise à nouveau sifflée hier soir au stade de France lors du match amical France-Maroc, comme lors du match France-Algérie avec Jospin et Buffet. Il est toujours intéressant de voir certains jeunes français d'origine africaine montrer tant de haine à l'égard du pays qui les a accueillis (ou leurs parents) alors même qu'ils n'ont que le mot "respect" à la bouche.

"Il y a juste eu le début des hymnes qui a été sifflé, c'était un peu tendancieux, un peu dommage, mais il [l'hymne français] n'a pas été entièrement sifflé", nous dit Henri Michel, l'entraineur de l'équipe Marocaine (source AFP).

D'accord henri, c'est juste un peu pas grave et un peu dommage...Qui habet audies audendi, audiat!

684e8c7531bdff7e9991e66292865e21.jpg