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27/08/2013

bis repetita placent

27/12/2009

survival under atomic attack

Oh, oh, j'adore la bouteille d'eau dans le frigo et la pintade qui ferme le gaz! Et, au début, la famille de Japs (les faces de citron selon mon maître Buck Danny) irradiés à mort qui mangent leurs sushis comme si de rien n'était, dans leurs kimonos...hi hi!

Bon, rien à voir avec la ligne habituelle d'Hoplite mais je suis tombé dessus en recherchant un vieux film catastrophe américain racontant l'odyssée d'un sous-marin américain aprés une guerre nucléaire et l'espoir fou des marins de retrouver d'autres survivants et ce message en morse incohérent et continu qu'ils finissent par capter...produit par une canette de coke en équilibre dans la cabine d'un opérateur radio, mort, comme tous les autres. (et non, ça n'est pas On the beach avec Gregory Peck...) si vous avez des idées, ce film me hante depuis des années.

17/05/2009

B A BA de la subversion idéologique



 

28/03/2009

hiver civilisationnel

« Etre une princesse, c'est bien...

Être une princesse moderne, c'est mieux...

Être une princesse moderne, avec une fée gâteuse au moment de sa naissance, et vous appeler flocon d'argent...

Alors là, franchement, ça ne fait plus rire du tout... » (Méthode de lecture CE1, Hatier 2003)

Flocon d'argent est le nom d'une petite princesse infortunée puisque née toute blanche, incolore, du fait d'une fée à moitié bourrée...

Flocon d'argent grandit donc sans couleurs à son grand désespoir et à celui de ses parents...

Parce que « le blanc c'est drôlement salissant » et Flocon machin rêve alors du prince charmant « destiné à lui donner des couleurs »...

Flocon truc, qui n'est pas la moitié d'une conne, envoie alors un message en forme de SOS sur internet : « Princesse sans couleur cherche idée géniale pour ne plus être toute blanche. »

Et devinez quoi ? A la fin de l'histoire, Flocon con a retrouvé toutes les couleurs du monde. Sans commentaire.

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printemps_chaises1.jpgCe matin, rêvassant dans ma berline Prussienne hors d'âge, mon regard tombe sur la propagande régionale de notre conducator local, destinée à faire savoir l'existence d'un grotesque « Printemps de la démocratie », pur produit de ces manifestations festives, citoyennes et vivrensemblesque délirantes que notre époque produit à jet continu, comme disait le regretté Murray. Le mieux, lorsque l'on est confronté à la novlangue progressiste de nos modernes, c'est de renverser le sens du message pour approcher un minimum de la vérité.

De fait, « Hiver de la démocratie » convient à mon avis beaucoup mieux à l'entreprise continue et réfléchie de dépossession du peuple dit souverain de la moindre capacité d'exercer son pouvoir au travers d'une réelle démocratie.

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Paul Valery, parlant des loisirs, distinguait le « loisir chronométrique » du « loisir intérieur ». Je pensais à cela en traversant une énième zone commerciale démesurée -nouveau temple dédié aux dieux du commerce- faite de béton et de palmiers qui, justice immanente, meurent les uns après les autres. Hé ! Hé!

Le loisir chronométré, c'est ce temps de loisirs que les masses sont formatées dés le plus jeune âge à rentabiliser en accomplissant moult activités festives et consuméristes. Toujours plus, c'est la règle.

Le loisir intérieur, c'est l'inverse. C'est l'otium des grecs anciens, qui s'oppose au neg-otium, au négoce, à cet arraisonnement marchand des loisirs, de la vie entière plus généralement.

C'est la capacité de s'arrêter, de réfléchir, de lire, de rêver, de s'ennuyer même ou de se promener, vieille tradition millénaire. Voilà qui n'est sans doute pas, malheureusement, à la portée du premier venu.

21/03/2009

what else winston?

« Télé 2 semaines confirme que la dernière élection de Miss France (organisée par Geneviève de Fontenay) était bien truquée. Selon les relevés des résultats chez l’huissier de justice, la gagnante, la métisse Cholé Mortaud, est arrivée en 3ème position seulement (et en 9ème position sur 12 lors du premier vote du public), derrière miss pays de Loire et miss Lorraine. Le vote du jury composé de seulement 6 personnalités, qui compte pour 50% des voix, l’a donc emporté sur les 520418 téléspectateurs qui ont appelé un numéro surtaxé pour voter. Pour justification, l’organisatrice a déclaré sans rire au Monde : « C’est trop complexe, trop compliqué. J’ai moi aussi du mal à comprendre l’élection. » »

Moi j’ai bien compris, par contre : arnaque et propagande. Pas compliqué. Ca veut dire que:

-520.418 connards ont pensé une seconde que leur avis avait la moindre importance,

-que le critère ultime pour être sacrée miss France n'est pas d'être la plus belle, mais de coller à l'idéologiquement correct, id est être métissée,

-que même une manifestation aussi dérisoire -mais emblèmatique- que l'élection de miss France n'échappe pas à la propagande métissolâtre.

-que ce pays ressemble de plus en plus à Océania.

« Afin d’« endiguer le négationnisme qui prospère dans le monde musulman », la Fondation pour la mémoire de la Shoah lance le « projet Aladin » : traduire en arabe et en persan les « textes de référence » de la « solution finale » et les diffuser via internet. Parrain de l’opération, Jacques Chirac, qui espère s’adjoindre l’ex-chancelier Allemand Gerhard Schroder. »

Ah, Ah, bon courage, jacquot !

Source : Faits et documents 15-31/03/09

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Une analyse de Xavier Raufer sur la criminalité organisée en europe centrale et orientale et sur la propagande ONUsienne ordinaire.

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Habemus papam, chez Didier Goux, et selon P Murray.

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Chroniques de la RATP (Religion d'Amour de Tolérance et de Paix).

05/04/2007

Propagande "anti fasciste" sur Arte.

Grand moment de désinformation et de falsification historique hier soir sur Arte. Une émission, « L’Europe des fronts populaires », prétendait retracer l’histoire du mouvement « antifasciste » européen, à la veille de la seconde guerre mondiale.

Je tombais dessus par hasard, et la perspective de revoir quelques documents émouvants de cette période critique me retint, malgré la certitude de devoir subir la propagande progressiste habituelle…Et avec Arte, on n’est jamais déçu !

La démonstration était implacable : le camp du Bien , progressiste, c’est-à-dire socialo communiste, bénéficiant de l’aide désintéressée de l’URSS, dans une lutte à mort contre le Mal absolu, c’est-à-dire tout le reste (droite parlementaire classique, Action Française, Croix de feu, mouvements fascistes Européens) étiqueté « ligues factieuses fascistes » ; Un sommet de pensée manichéenne exploitant sans vergogne contre vérités historiques, amalgames et mauvaise foi stratosphérique.

Pas un mot sur l’influence déterminante du Komintern en Europe ou sur la servilité de tous les partis communistes d’Europe à l’égard du PCUS, pas une référence à l’instrumentalisation de cette fameuse « lutte anti fasciste » par une puissance totalitaire désireuse d’étendre la révolution bolchevique sur tout le continent. Que l’on présente les émeutes de février 1934 et ses quelques (malheureuses) victimes comme une menace de subversion fasciste du pouvoir républicain serait risible si le téléspectateur savait qu’au même moment six millions de femmes, d’hommes et d’enfants étaient victimes d’une famine organisée par les soviétiques en Ukraine, et qu’en Asturie, quelques malheureux mineurs misérables manipulés par l’ultra gauche Ibérique se faisaient massacrer par le très efficace (déjà) Francisco Franco.

Je passe sur le beau discours de Maurice Thorez, leader historique du PCF, alors totalement sous la coupe du PCUS, pérorant sur la résistance populaire à la menace fasciste, le même homme qui déserta en 1940 son unité combattante pour fuir à Moscou et revenir comme une fleur en 1944, en pleine épuration (10.000 personnes fusillées à la libération en deux ans versus 20.000 par les Allemands en quatre ans….) et devenir ministre d’état du général…Ca donne mieux que tout une idée de la puissance du PCF à cette époque. Mais ça, il ne fallait pas compter sur Arte pour nous le rappeler !

Un sommet fut atteint avec la guerre civile Espagnole et la légende dorée des brigades internationales versus l’Espagne Franquiste fasciste. Or il n’y a pas de bon côté dans une guerre civile, il n’y a qu’un même peuple qui se déchire ; comment peut-on en 2007 présenter cette tragédie de façon aussi binaire et manichéenne, sans rappeler que toute une Espagne de patriotes non moins sincères prit les armes contre la menace bien réelle d’une dictature bolchevique ? Franco n’était pas un fasciste. Franco était un militaire conservateur croyant, qui méprisait le matérialisme bolchevique et bourgeois, et qui s’appuya tantôt sur la Phalange de Primera (un véritable mouvement fasciste), tantôt sur l’armée, tantôt sur l’Eglise pour consolider son pouvoir. Présenter cette Espagne là comme fasciste dans sa globalité est une imposture.

Ne pas dire un mot de l’aide militaire massive et précoce des Soviétiques, ni de la prise en main des Brigades Internationales par le Komintern évoque soit une inculture dramatique, soit une volonté délibérée de tromper le spectateur.

Au delà de cette œuvre de propagande ordinaire au « Pays des Lumières ™ », je repensais à ce court dialogue entre Zeev Sternhell et René Rémond dans l’excellente émission de Finkielkraut sur France Kultur...(un autre bras de l’hydre propagandiste progressiste). (1)

Sternhell y défendait l’existence d’une tradition fasciste Française, arguant de la présence, à coté de la geste humaniste rationaliste et universaliste issue des Lumières, d’une tradition alternative reposant sur une vision organique de la société, vomissant les droits de l’homme, l’individualisme, l’hédonisme et l’égalité, et se définissant en termes historiques, culturels, raciaux et ethniques…incarnée en 2007 par le FN. Une vision quelque peu binaire que René Rémond réfute en niant l’existence d’une tradition fasciste Française et en dissociant une droite traditionaliste de mouvances fascistes inconstantes sans prise réelle sur la société. Manquerait à cette droite traditionaliste ce caractère révolutionnaire et cette philosophie politique qui fait de l’Etat un absolu, qui sont distinctifs du fascisme. Et Rémond de distinguer cette mouvance intellectuelle fasciste en France (Francisme, Georges Valois, Doriot, PPF), d’une droite réactionnaire (Maurrassienne), conservatrice, hostile aux idéaux des Lumières, et attachée à des valeurs de l’ancien régime, mais sans cette composante révolutionnaire, de subversion d’un ordre existant pour lui en substituer un autre, du mouvement fasciste.

Je pense qu’il serait aussi possible de distinguer une droite libérale (au sens philosophique et politique du terme, surtout), dans la lignée de Tocqueville, qui concilie des valeurs de l’ancien régime et certains des acquits des Lumières, sans lien aucun avec l’idéologie fasciste, bien qu’hostile à certains égards au matérialisme (qu’il soit communiste ou bourgeois).

Je termine avec françois Furet pour qui, « le fascisme est la solution enfin disponible aux impasses de l’idée contre-révolutionnaire ; il permet de récupérer le charme de la révolution au service d’une critique radicale des principes de 1789. » (2)

(1)   Qu’est ce-que la France? Stock Panama 2007.

(2)   Fascisme et communisme, Furet, Nolte. Pluriel, p.66.

21/01/2007

Immigration II. Propagande.

L’ouverture inconditionnelle de la France à l’immigration et l’abolition des frontières se sont ainsi imposés au fil des ans comme les repères idéologiques majeurs d’une élite bien pensante.

Vous avez un message des élites…

CNCDH : commission nationale consultative des droits de l’homme. Elle réunit une centaine de personnalités françaises issues de quelques associations influentes (SOS racisme, croix rouge, LICRA, MRAP, Ligue des droits de l’homme), des hauts fonctionnaires responsables de la presse écrite ou audio-visuelle, des écrivains, des avocats, des magistrats, des dirigeants politiques. Cette « élite des élites » à l’autorité morale « incontestable » se prononce sur toutes les grandes questions de société. Son discours sur l’immigration fait autorité, alors même que la nomination de ses membres échappe à tout contrôle du citoyen. Cette commission favorise un courant de pensée visant à imposer l’immigration comme un droit fondamental prévalant sur toute considération d’intérêt général et réclame « le droit pour l’étranger à l’accès au territoire et le droit au séjour » (http://www.cncdh.com); cette propagande abondamment reprise par nos élites bannit évidemment toute notion de lien historique entre la nation et un territoire (l’idée de sol national étant par définition maudite), et impose l’idée que la France ne saurait être autre chose qu’un espace sans frontières, ouverte à toutes les migrations ; Ecoutons Michel Tubiana, président de la Ligue des Droits de l’Homme : « Il faut comprendre que les gens peuvent et veulent se déplacer et s’établir. Le problème est : comment les accueille-t-on et selon quel calendrier ? » (1)

L’ensemble des relais d’opinion (en majorité à gauche, voire l’extrême gauche, est-ce un hasard ?) est en grande partie acquis à cette cause. Les média, la presse locale, et nationale, les milieux associatifs ont développé une éthique de générosité inconditionnelle envers tout ce qui se rapporte à l’immigration.

Le culte du métissage.

L’obsession de l’ouverture et du droit inconditionnel à l’immigration débouche donc sur l’idéal d’une société nouvelle fondée sur le métissage culturel, « horizon inévitable et souhaitable » selon Bernard Stasi. Sous l’impact des flux migratoires, la société se transforme, se renouvelle et un peuple recomposé serait en train de naître.

La culture se définit principalement comme « l’ensemble des aspects intellectuels propres à une civilisation, une nation » (Petit Robert). Le multiculturalisme est dés lors, en principe, synonyme de la coexistence, dans une même communauté de sources multiples de connaissance, de pensée, de création. Quoi de plus positif en théorie?

Cette apologie de l’ouverture, qui imbibe le discours officiel sur l’immigration n’a pourtant de sens que dans une société capable de tracer une séparation claire entre respect de la personnalité des migrants et repli identitaire. Comment empêcher la pluralité de dégénérer en fragmentation ? Comment concilier la tolérance et l’interdit (en principe) absolu de certaines pratiques, coutumes importées (polygamie, mutilation sexuelle, port imposé du voile, mariage imposé, soumission de la femme) ? La diversité ne se conçoit pas sans unité, sans valeurs partagées, sans le sentiment d’un destin commun, sans ordre ni autorité ; Sinon elle bascule dans l’atomisation et la haine. Or derrière ce doux rêve du métissage culturel, c’est bien souvent le cauchemar de la fragmentation, de la balkanisation, qui se profile.

La classe dirigeante Française, les média et la presse se complaisent depuis des années dans la sublimation de la France « black-blanc-beur ». Le travail de persuasion- de propagande- est intense, massif. Il est question non seulement de l’équipe « black-blanc-beur », mais aussi de l’entreprise, de la télévision, de la culture, de la musique, de l’école, de la police « black-blanc-beur » ; « il y a encore beaucoup de travail à faire pour que la France «black-blanc-beur soit une rélité au dela des grandes victoires du foot » déclare JF Coppé, porte parole du gouvernement sur Radio J. (2)

Or, chose surprenante et ambigu, ce mythe du métissage culturel, qui se veut la parfaite antithèse du racisme, place la couleur de la peau (même mélangée) au centre de son identité, et non pas la seulement une coexistence bien heureuse de cultures diverses.

Quand Foddé Sylla, ex président de SOS racisme, écrit dans Le Monde : « la République blanche, c’est fini » (3), non seulement il se trompe car la République, comme la France, n’a jamais été « blanche », car elle ne reconnaît aucune « distinction d’origine, de race ni de religion », mais il exalte lui aussi la couleur de peau comme clef de l’identité culturelle. Concept éminemment raciste et ouvrant la voie à une structuration de la société Française sur la reconnaissance d’identité ethnique.

Diabolisation et divorce.

Quel journaliste, quel homme politique, quel écrivain pourrait déclarer sans conséquence (à tort ou à raison d’ailleurs) que l’immigration telle qu’on la conçoit dans ce pays n’est pas une chance ? Ce thème est depuis longtemps tabou, sanctuarisé, placé au dessus de tout débat de fond ; Sortir du credo "immigration, clef de l’avenir, du renouveau, de la régénération" avec son corollaire de France black-blanc-beur, c’est s’exposer illico à un tir de barrage massif et destructeur et à la "réductio ad Hitlerum", chère à Leo Strauss, qui identifie toute opinion déviante à l’extrême droite raciste. Démonisation et éviction de toute réflexion constructive.

Cette question de l’immigration est le lieu privilégie du divorce entre les élites et la Nation. Un forte proportion de Français voyant en effet dans l’immigration, non pas une chance, mais une menace, à rebours du matraquage opéré par les autorités nationales et européennes. (Dans Le Monde du 15 décembre 2005, la part de Français estimant le nombre d’étrangers trop important atteint 63% ; sondage TNS Sofres)

Ce qui renforce bien sur la classe dirigeante dans sa mission de régénération de la Nation rebelle. Ainsi voit-on la création d’un musée de l’Immigration, porte Dorée, dont la mission, financée par le contribuable, n’est pas culturelle mais bien de façonner l’opinion publique selon l’idéologie dominante.

Le matraquage et la stratégie de diabolisation de toute opinion déviante (de tout citoyen déviant/ cf. les affaire récentes G Frêche et P Sevran) semblent se retourner contre le message d’une immigration heureuse, comme si la conscience populaire, confrontée aux réalités de terrain (que fuient bien sur nos élites et leurs familles vivant dans quelques sanctuaires sécurisés), résistait obstinément à une œuvre de propagande maladroite et contre-productive.

Négation de l’autorité de l’Etat.

Deux réformes , la loi Debré du 24 avril 1997 et la loi Chevènement du 12 mai 1998, fruits de la crise des sans papiers (on remarquera l’intérêt de ce néologisme qui fait passer des migrants illégaux- donc sans papiers de séjour en règle- pour des victimes…), font basculer le système Français. Ces réformes mettent en place un dispositif de régularisation «de droit » pour les migrants clandestins et suppriment de facto l’obligation de demander un visa de long séjour dans un consulat de France, avant d’entrer en France à des fins d’immigration. Le droit individuel à l’immigration, conformément à l’idéologie dominante, s’impose sur celui de l’Etat à maîtriser l’accès au territoire national., marquant ainsi la négation de l’autorité de l’Etat -donc du citoyen- sur toute politique d’immigration.

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(1)   L’Humanité, 5 mars 2003, cité par M Tandonnet, Immigration, sortir du chaos. Flammarion, p.28.

(2)   Cité par M Tandonnet, op cité.

(3)   Le Monde, 10 décembre 2005, archives.