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30/08/2016

5%

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« Peyrefitte, je vous supplie de ne pas traiter les journalistes avec trop de considération. Quand une difficulté surgit, il faut absolument que cette faune prenne le parti de l’étranger, contre le parti de la nation dont ils se prétendent pourtant les porte-parole. Impossible d’imaginer une pareille bassesse – et en même temps une pareille inconscience de la bassesse.

Vos journalistes ont en commun avec la bourgeoisie française d’avoir perdu tout sentiment de fierté nationale. Pour pouvoir continuer à dîner en ville, la bourgeoisie accepterait n’importe quel abaissement de la nation. Déjà en 40, elle était derrière Pétain, car il lui permettait de continuer à dîner en ville malgré le désastre national. Quel émerveillement ! Pétain était un grand homme. Pas besoin d’austérité ni d’effort ! Pétain avait trouvé l’arrangement. Tout allait se combiner à merveille avec les Allemands. Les bonnes affaires allaient reprendre.

Bien sûr, cela représente 5% de la nation, mais 5% qui, jusqu’à moi, ont dominé. La Révolution française n’a pas appelé au pouvoir le peuple français, mais cette classe artificielle qu’est la bourgeoisie. Cette classe qui s’est de plus en plus abâtardie, jusqu’à devenir traîtresse à son propre pays. Bien entendu, le populo ne partage pas du tout ce sentiment. Le populo a des réflexes sains. Le populo sent où est l’intérêt du pays. Il ne s’y trompe pas souvent. En réalité, il y a deux bourgeoisies. La bourgeoisie d’argent, celle qui lit Le Figaro, et la bourgeoisie intellectuelle, qui lit Le Monde. Les deux font la paire. Elles s’entendent pour se partager le pouvoir. Cela m’est complètement égal que vos journalistes soient contre moi. Cela m’ennuierait même qu’ils ne le soient pas. J’en serais navré, vous m’entendez ! Le jour où Le Figaro et l’Immonde me soutiendraient, je considérerais que c’est une catastrophe nationale ! » Extrait de C’était De Gaulle, par Alain Peyrefitte

Oui, autant les remplacer par des bombasses, au moins c'est sympa à regarder. mmm c'est moche..

29/08/2016

euh

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trahison ordinaire

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"La chancelière allemande Angela Merkel a jugé inacceptable que certains pays de l'Union européenne refusent d'accueillir des réfugiés parce qu'ils sont musulmans, alors que l'Allemagne réclame l'instauration de quotas de répartition au sein de l'UE.

"Ca ne va pas du tout que certains pays disent que "de manière générale, nous ne voulons pas avoir de musulmans dans nos pays"", a-t-elle déclaré dans un entretien à la télévision publique allemande ARD. Revenant sur sa proposition d'introduire des quotas de répartition de réfugiés au sein de l'UE, la chancelière a souligné que "chacun devait faire sa part" et qu'une "solution commune devait être trouvée".

L'Allemagne a accueilli en 2015 environ un million de demandeurs d'asile, pour la plupart originaires de Syrie, d'Irak et d'Afghanistan. Un haut responsable allemand a indiqué dimanche tabler sur 250.000 à 300.000 nouveaux arrivants en 2016. Depuis un an, avec la décision début septembre 2015 de Mme Merkel d'ouvrir son pays aux demandeurs d'asile, de nombreux Etats européens, notamment en Europe de l'Est, estiment que la chancelière a créé un appel d'air migratoire.

Plusieurs d'entre eux ont affirmé en réaction ne pas vouloir voir émerger de communauté musulmane dans leurs pays. Dernier en date, le premier ministre tchèque, Bohuslav Sobotka le 23 août. "Nous n'avons ici aucune forte communauté musulmane. Et à vrai dire, nous ne souhaitons pas qu'une forte communauté musulmane se forme ici, vu les problèmes que nous observons", a déclaré Bohuslav Sobotka au quotidien Pravo. En 2015, la Slovaquie avait elle indiqué qu'elle ne comptait accueillir que des migrants chrétiens."

 

A ce niveau là, ça ne peut pas être de l'ignorance ou de l'inconséquence. Clinton-bis sait à quel point l'immigration de masse maghrebine, subsaharienne et proche-orientale, majoritairement musulmane, est largement rejetée par les peuples européens, contrairement à leurs élites compradores.

Et pour d'excellentes raisons (crise économique/sociale/financière, gap culturel infranchissable, surdélinquance/ surcriminalité allogène et menace terroriste plus forte que jamais).

On aimerait la même fermeté dans le discours à l'égard du sultan Erdogan et de son racket à l'encontre de l'UE...fort avec les faibles mais faible avec les forts.

Ou comment noyer la révolte des peuples dans de prévisibles conflits inter-ethniques horizontaux. 

« L'absence de communauté nationale est facteur de guerre civile, tant que les citoyens ne partagent pas les mêmes valeurs de civilisation. Une cité ne se forme pas à partir de gens pris au hasard, et elle a besoin de temps pour se coaguler. C'est pourquoi, parmi ceux qui ont accepté des étrangers pour fonder une cité avec eux, et pour les intégrer à la cité, la plupart ont connu des guerres civiles. Par exemple, les tyrans de Syracuse, en ayant naturalisé les immigrés, ont dû subir des révoltes. Citoyens et étrangers en sont venus à se combattre. » (Aristote, Politique, Livre V)

Aprés tout, c'est une façon de gérer le chaos comme une autre. Salope.

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et pendant qu'on accepte sur notre sol des millions de barbares...

LA DESTRUCTION DE LA FRANCE PAR LA DETTE AU RALENTI 

Exemple 1: "Le Département de la Somme a décidé de supprimer son fonds d’aide aux cantines pour les élèves du primaire. Une économie de 730.000 €. Et 7.000 familles sont pénalisées"... L'annonce a été faite le... 23 août. Ils n'ont qu'à manger des croissants, ces gueux (merci à Mr Dufrenoy, lire ici le Courrier Picard.

Exemple 2: "Environ 10 départements songeraient à fermer certains de leurs services d'incendie et de secours, ce qui provoque des tensions. Les pompiers sont aujourd'hui sur le qui-vive. Selon la Fédération Nationale qui les représente, 10 départements songeraient aujourd'hui à réduire le nombre de casernes sur leur secteur, à l'instar de ce qui a été décidé dans la Drôme. En effet, en mars dernier, le couperet est tombé sur la tête de ces pompiers: 14 de leurs 78 centres d'incendie et de secours ont été désignés pour être fermés." Lire ici Le Figaro.

Exemple 3: "Regrouper les écoles rurales –est dans l’air du temps. C’est ce que vise le ministère de l’éducation nationale en encourageant la signature de « conventions ruralité » avec les élus. Le principe ? L’Etat garantit le maintien des postes d’enseignants pendant 3 ans, en échange de quoi les maires s’engagent à réfléchir à une « réorganisation » de leurs établissements : fermeture des petites écoles, regroupements, mises en réseau. Depuis 2014, 18 conventions ont été signées, et le mouvement s’accélère : à la rentrée, 22 devraient l’avoir été, 30 sont en projet. Au final, c’est l’ensemble des 60 départements ruraux de métropole qui pourraient être concernés." lire ici Le Monde.

Comme l'arnaque avec Moodys, SP etc. sur les CDS et les CDO: "on garantit sur 3 ans, après ça ne nous regarde plus". L'astuce ici c'est carrément d'enlever le coût de ces écoles du budget de l'Education Nationale... Génial non ? Et les enfants vont se retrouver à passer 1 heure aller 1 heure retour dans des bus de ramassage. Comme aux Etats-Unis.Au fait: ces crétins ne se sont pas demandés pourquoi, de 1945 à 1990, personne n'a jamais trouvé ces petites écoles trop chères ? Jules Ferry doit se retourner dans sa tombe en voyant ces gens qui se disent "socialistes" détruire ce qu'il a réussi à imposer, des petites écoles partout afin que chaque enfant sache lire, écrire et compter correctement.

Pas d'inquiétudes, ces économies sont demandées par les Américains afin qu'on les rembourse en nature pour leur monnaie de singe. A vomir. Je comprends pourquoi certains lecteurs ont envie de casser leur télé dès que Najat Belkacem y apparaît. A elle seule, elle est pour une majorité de gens le symbole de la France détruite et vendue, pièce par pièce, aux gouvernements étrangers disposant de la planche à billets. Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.jovanovic.com 2008-2016

 
podcast

25/08/2016

symbolique

"In this surveillance camera footage, you can see dozens of hungry African illegal immigrants raiding a small Restaurant in the Italian town of Villanovaforru. They steal everything that isn't bolted, smash the windows, rob the counter and proceed to fight among themselves over food and valuables after the owner has fled in fear of his life. The store was left obliterated and emptied."

23/08/2016

Ordo ab chaos?

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"Qui colonise qui ? « (…) nous sommes probablement en train de faire une grosses sottise. Cette mosquée en plein Paris ne me dit rien de bon. Il n’y a peut-être pas de réveil de l’Islam, auquel cas tout ce que je dis ne tient pas et tout ce que l’on fait se trouve être aussi la plus vaine des choses. Mais, s’il y a un réveil de l’Islam, et je ne crois pas que l’on puisse en douter, un trophée de la foi coranique sur cette colline Sainte-Geneviève où tous les plus grands docteurs de la chrétienté enseignèrent contre l’Islam représente plus qu’une offense à notre passé : une menace pour notre avenir. On pouvait accorder à l’Islam, chez lui, toutes les garanties et tous les respects. Bonaparte pouvait se déchausser dans la mosquée, et le maréchal Lyautey user des plus éloquentes figures pour affirmer la fraternité de tous les croyants : c’étaient choses lointaines, affaires d’Afrique ou d’Asie. Mais en France, chez les protecteurs et chez les vainqueurs, du simple point de vue politique, la construction officielle de la mosquée et surtout son inauguration en grande pompe ré- publicaine, exprime quelque chose qui ressemble à une péné- tration de notre pays et à sa prise de possession par nos sujets ou nos protégés. Ceux-ci la tiendront immanquablement pour un obscur aveu de faiblesse (…) Qui colonise désormais ? Qui est colonisé ? Eux ou nous ? (…) Nous venons de transgresser les justes bornes de la tolérance, du respect et de l’amitié. Nous venons de commettre le crime d’excès. Fasse le ciel que nous n’ayons pas à le payer avant peu (…) ». (Charles Maurras dans l’Action française, le 13 juillet 1926, à propos de l’inauguration de la mosquée de Paris à l’occasion de la visite en France du Sultan du Maroc Moulay Youssef.)

"Vincent Lindon sur le vote FN dans l'Obs: "Difficile de ne pas être furieux, de ne pas devenir ordurier. Ca me met hors de moi. Il y a quelques jours, j'ai passé plusieurs heures avec Robert Badinter, j'aurais voulu qu'un drone tourne dans la pièce et enregistre tout ce qu'il disait, il m'a parlé du ghetto de Varsovie, paisiblement. Je me demandais comment j'allais m'y prendre pour restituer tout cela à mes copains. Il faudrait garder tout ça." Réfléchir et agir, Eté 2016.

"Explications de l'imam de la mosquée Al Tawid de Cologne, suite aux viols commis par des migrants: "Les événements de la Saint Sylvestre sont survenus par la faute de ces femmes parce qu'elles étaient à moitié nues et qu'elle portaient du parfum. Il est peu surprenant que les hommes veuillent les attaquer. C'est comme mettre de l'huile sur le feu." ibid.

"La flamme du judaïsme est l'âme de la République" Manuel Valls à la tribune du CRIF le 09/01/2016." ibid

"Et d'abord parce que les juifs ont, comme on dit, fait la France. Eh oui!" BHL, l'Obs, 04/02/2016. ibid.

"Le pape "normal" François est revenu de Lesbos avec 12 réfugiés syriens qu'il a accueilli au Vatican. Il avait auparavant déclaré à inénarrable Mgr Gaillot que "les migrants sont la chair de l'Eglise"." Ibid. (pour toi, UnOurs:))

"Nuit debout ou assis sur la cuvette des chiottes c'est pareil!" Gérard Depardieu, Nice matin 15/05/2016, Ibid

"C’est une proposition qui choque. L’Allemagne veut créer 100 000 emplois pour les migrants sur son sol d’ici trois ans, payés 80 centimes d’euro l’heure. L’objectif est de faciliter leur intégration et leur permettre d’apprendre l’allemand à travers le monde de l’entreprise, relate France Bleu ce mardi. De tels mini-emplois existent déjà pour les chômeurs longue durée dans le pays, mais ils sont rémunérés 1,05 euro de l’heure, ce qui est déjà minime. Les recrutements ont déjà débuté.  [...]" source

"La "surpopulation relative" en régime capitaliste entraîne en premier lieu des licenciements de travailleurs. Elle a aussi pour conséquence de pousser la bourgeoisie à imposer plus de précarité, afin de pouvoir ajuster leur masse salariale (embaucher en cas de besoins momentanés, licencier au moindre durcissement de la conjoncture). Plus généralement, cela exerce une pression à la hausse sur le taux d'exploitationLes travailleurs étant en concurrence sur le marché du travail, cela tire vers le bas l'ensemble de la classe laborieuse:

  • les menaces de licenciement ont d'autant plus de poids que le chômage est élevé
  • les travailleurs précaires (et a fortiori au chômage) sont quasiment exclus de toute activité syndicale, ce qui affaiblit le collectif

« Plus la richesse sociale est grande..., plus est grande la surpopulation relative ou l'armée de réserve industrielle. Mais plus cette armée de réserve est grande par rapport à l'armée active du travail et plus massive est la surpopulation permanente, ces couches d'ouvriers dont la misère est en proportion inverse de la peine de leur travail. (…) Telle est la loi générale, absolue de l'accumulation capitaliste. » Karl Marx, Le Capital, Tome 3" source

22/08/2016

mass migration weapon

"Sans surprise, la MSN s'est bien gardée de s'étendre sur le piratage de l'officine de Soros, la bien mal nommée Open Society Foundation ; tout juste l'imMonde a-t-il déploré que le "philanthrope" (défense de rire) se soit fait hacker. Fut un temps bien lointain où les journaux se seraient précipités sur de telles révélations ; désormais, on attend de voir dans quel sens elles vont. Qu'elles soient favorables à l'empire et l'on ressort avec des trémolos dans la voix les grandes tirades sur la liberté inconditionnelle et l'indépendance de la presse, l'info est publiée avec un engouement juvénile. Dans le cas contraire, heu... on regarde ailleurs. Hop, la tête bien profond dans le sable, ce qui a également l'avantage d'éviter de se regarder dans la glace...

Et pourtant, que de choses intéressantes dans ces archives piratées ! On y voit le rôle de Sorostapopoulos dans les soubresauts de ces dernières années, du conflit ukrainien à la crise des réfugiés en passant par la désinformation médiatique européenne (pas étonnant que nos plumitifs soient embarrassés).

La participation de l'Open Society dans les événements qui ont conduit au putsch du Maidan était un secret de polichinelle. Pendant des années, le vautour philanthropique et d'autres agences néo-cons (NED etc.) ont financé l'opposition à Yanoukovitch. On sait maintenant que Soros adirectement participé à l'après-Maidan au cours de réunions avec l'ambassadeur US et des hauts pontes ukrainiens, tentant par tous les moyens de saboter "l'influence russe", conseillant fortement de s'appuyer sur tel leader politique plutôt que tel autre (l'égérie Timoshenko n'est pas sa tasse de thé), organisant l'opération de "relations publiques" de la junte, refusant la proposition d'un Etat fédéral qui aurait peut-être évité la guerre civile ou faisant pression sur Washington pour imposer des sanctions contre Moscou.

Son activisme ukrainien ne s'arrêtait pas là. Son officine a également "travaillé" l'establishment politico-médiatique grec, identifiant les amis (favorables au putsch, très peu nombreux) et les ennemis. Les médias et autres faiseurs d'opinion susceptibles de se détacher du sentiment général de russophilie, très commun en Grèce, et de se retourner contre le grand frère russe recevaient par exemple de généreux prêts.

La lutte pour le contrôle de l'opinion publique ne concerne pas que la Grèce mais l'ensemble des pays européens. En Pologne, au vu et au su de tous, Soros investit dans la presse anti-Kaczynski, ce qui ne surprendra pas le fidèle lecteur. Mais les documents hackés vont plus loin. En plus de la Grèce, les efforts sorosiens se concentrent sur l'Allemagne, la France, l'Italie et l'Espagne : mapping des journalistes susceptibles d'être favorables à la Russie (voir par exemple cette liste noire des journalistes espagnols), influence sur les leaders d'opinion, aide financière à ceux qui prendront un ton russophobe. Bref, la guerre de l'information dans toute sa splendeur...

Notre philanthrope amoureux de l'humanité est infatigable et l'Open Society n'est évidemment pas bien loin de la crise des réfugiés en Europe, comme le révèlent les documents. Aucune surprise là non plus : on sait que les fameux 1% et autres banksters ont toujours été favorables aux migrations, massives de préférence (main-d’œuvre pléthorique donc pesant à la baisse sur les salaires, mais aussi, peut-être, création d'un grand marché européen de consommateurs déracinés et anonymes davantage susceptibles de consommer à outrance).

Extrait : "La crise des réfugiés nous offre de nouvelles opportunités pour influencer la politique globale d'immigration dans les années à venir. Elle établit une nouvelle norme, une nouvelle réalité à laquelle les dirigeants politiques européens et les opinions publiques devront s'adapter et accepter".

De là à penser, comme le font déjà beaucoup, que les sbires de l'empire (néo-cons, banksters, establishment européen vassal) ont sciemment détruit l'Irak, la Libye ou la Syrie afin, entre autres objectifs stratégiques, de provoquer cet afflux de réfugiés en vue de transformer le marché européen, il n'y a qu'un pas que je ne franchirai pas (encore ?) en l'absence de preuves tangibles.

Il va sans dire que pour Soros, fervent partisan des guerres "humanitaires" US, la candidate idoine à la présidence américaine est..."

Sorostapopoulos

chroniquesdugrandjeu.com

voir aussi zero hedge

liste des financements de Open society

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"Le livre de Kelly Greenhill constitue un travail important qui, bizarrement, est pour l’instant resté inaperçu en France. Dans une perspective politique, il traite en l’occurrence de l’instrumentalisation diplomatique de la pression migratoire par les États, du Sud comme du Nord. L’auteur s’avère particulièrement convaincant lorsqu’il nous invite à ne pas sous-estimer la capacité des pays en développement à contrôler et exploiter les migrations transfrontalières, y compris en cas de débordement.

En guise d’introduction, Kelly Greenhill analyse ainsi comment, en 2004-2006, la Libye de Mouammar Kadhafi a négocié avec Bruxelles la levée des dernières sanctions économiques et la reprise des programmes de coopération de l’Union européenne en menaçant d’ouvrir ses frontières et de laisser passer les migrants africains désireux d’entrer dans l’espace Schengen. À l’occasion, rappelle l’auteur, certains États ont d’ailleurs mis leur menace à exécution et procédé à des expulsions massives. Au moment de la première crise du Golfe et de l’invasion du Koweït par l’Irak en 1990, l’Arabie Saoudite, notamment, a chassé les immigrés yéménites afin d’inciter le gouvernement de Sanaa à revoir sa position, qui était favorable à Saddam Hussein. Bien entendu, le jeu des frontières s’est aussi exercé dans le sens contraire – celui de la fermeture – et le livre de Kelly Greenhill regorge d’exemples puisés parmi les régimes communistes qui, eux, avaient précisément essayé de bloquer les sorties de leur territoire, et non les entrées.

De ce point de vue, les cas d’études analysés en annexe s’avèrent être une précieuse mine d’informations. En effet, l’apport du livre de Kelly Greenhill se situe bien au niveau de l’étendue des connaissances, de la diversité des zones couvertes et de la variété des périodes traitées. L’auteur le dit lui-même. En soi, « la manipulation et l’exploitation politiques des migrations transfrontalières n’ont rien de nouveau et de particulièrement inhabituel. Elles puisent leurs racines dans une histoire longue, en temps de guerre comme de paix » (p. 262). De fait, l’instrumentalisation des flux de réfugiés par la rétention ou, au contraire, la création délibérée de crises migratoires, conjuguée à la menace d’exodes et d’expulsions, constitue un phénomène ancien et récurrent qui ne date nullement de la fin de la guerre froide. L’originalité de Kelly Greenhill est d’affirmer que le procédé se révèle plus efficace que les sanctions économiques, en particulier lorsqu’il vise des régimes démocratiques et donc plus sensibles à des pressions et des normes humanitaires. Depuis la signature de la Convention de Genève en 1951, l’auteur recense ainsi plus de cinquante cas de la sorte, dont plus de la moitié ont réussi à faire plier leur cible.

Deux enseignements majeurs ressortent d’une telle analyse. Le premier est que l’instrumentalisation des crises migratoires ne se restreint pas aux pays en développement et ne date pas de la fin de la guerre froide. En cela, l’ouvrage de Kelly Greenhill se distingue de la vulgate des théoriciens des nouvelles guerres qui se focalisent sur l’Afrique et redécouvrent avec effroi que les civils sont les premières victimes des conflits armés. Pour être juste, d’autres auteurs avaient déjà étudié de pareils phénomènes dans la première moitié du XXe siècle. Anita Prazmowska, par exemple, a montré comment, à partir de 1939, le gouvernement polonais en exil à Londres a essayé d’attirer ses ressortissants fuyant l’occupation nazie afin de les recruter dans les troupes alliées1. Mais Kelly Greenhill est le premier à rassembler un grand nombre de cas d’études de manière aussi cohérente et démonstrative.

Or il ressort de son livre un autre point saillant, presque systématique, à savoir le rôle structurant de l’aide internationale dans l’instrumentalisation et la gestion des crises migratoires. Au-delà de ses aspects économiques ou humanitaires, la demande d’assistance est parfois de nature militaire, à l’instar du président en exil Jean-Bertrand Aristide qui, en 1992-1994, avait évoqué la menace d’un exode de boat people haïtiens vers les côtes de Floride pour inciter les États-Unis à renverser la junte au pouvoir à Port-au-Prince. Kelly Greenhill nous invite ainsi à reconsidérer l’expulsion des Indiens d’Ouganda en 1972. À l’époque, il paraissait évident qu’Idi Amin Dada voulait mettre la main sur les propriétés d’une communauté réputée pour son aisance matérielle. Mais une bonne partie des Indiens visés disposaient aussi de la nationalité britannique et leur renvoi visait également à convaincre la Grande-Bretagne de reprendre son aide militaire, qu’elle venait de réduire du fait des errements de la dictature au pouvoir à Kampala.

Bien entendu, le chantage à l’aide par le moyen de la pression migratoire ne s’est pas limité à une négociation entre le Nord et le Sud. En 1984, par exemple, le président de l’Allemagne de l’Est, Erich Honecker, a menacé l’Ouest de laisser passer les demandeurs d’asile en provenance d’Asie ou du Moyen-Orient. Il a alors obtenu du gouvernement de Bonn une aide économique en échange de sa « bonne » volonté, qui consistait en fait à maintenir l’étanchéité du Mur de Berlin ! L’initiative, il est vrai, a également pu venir des puissances occidentales dans une logique qui relevait moins du chantage que d’une inquiétude soigneusement entretenue par les pays potentiellement bénéficiaires. En 1990 puis 1997, c’est ainsi l’Italie qui a décidé d’augmenter son aide à l’Albanie pour essayer de contenir l’arrivée desboat people qui traversaient l’Adriatique sur des embarcations de fortune. Aujourd’hui, les pays du Sud sont tout aussi concernés, à l’instar de la Chine qui, depuis le milieu des années 1990, maintient la Corée du Nord sous perfusion afin d’éviter un afflux de réfugiés et de miséreux sur son territoire.

De là à imaginer que les migrants ou les candidats au départ soient toujours les otages d’un vaste jeu diplomatique qui les dépasse, il y a certes un pas qu’on ne saurait franchir. De ce point de vue, Kelly Greenhill aurait sûrement gagné à intégrer davantage dans son analyse le rôle politique des migrants eux-mêmes. Il n’en reste pas moins que son ouvrage est hautement recommandable."

source

13/08/2016

passer à l'ennemi

 

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« Il va sans dire que la vieille droite qui, dans son ensemble n’a lu ni Marx ni Lénine, n’est pas prés de lire Gramsci. On se demande d’ailleurs ce qu’elle peut lire en dehors de journaux satyriques et des magazines littéraires quand on s’aperçoit qu’au cours de ces dernières années, aucuns des ouvrages fondamentaux dont elle aurait pu tirer argument, dans un sens ou dans l’autre, ne semble avoir retenu son attention.

La paresse intellectuelle de la vieille droite ne s’explique pas seulement par sa méfiance instinctive vis-à-vis des idées pures. Pendant longtemps, les Saintes Ecritures lui ont servi de doctrine. Tout étant censé avoir été dit, il apparaissait inutile de vouloir constituer une autreSumma autre que celle de Thomas d’Aquin. Cette conviction prévaut encore aujourd’hui dans un certain nombre de cénacles. Mais pour combien de temps ? Après avoir été, nolens volens, la religion de l’Occident, après avoir été portée par un esprit, une culture, un dynamisme européens, qui l’avaient précédé de quelques millénaires, le christianisme, opérant un retour aux sources, redécouvre aujourd’hui ses origines. Pour assumer sa vocation universaliste et devenir la religion du monde entier, il entend se « désoccidentaliser ».

Dans l’immédiat, il développe une stratégie qui revient à se demander si elle ne revient pas à lâcher la proie pour l’ombre. Le christianisme sociologique est entrain de disparaître, laissant la place au militantisme évangélico-politique. L’impulsion vient de la tête. La hiérarchie accélère le mouvement. Les traditionalistes, attachés dans leur Eglise à tout ce dont celle-ci ne veut plus entendre parler, auront du mal à faire croire que le meilleur moyen d’endiguer la « subversion » est de batailler dans une croyance qui les a déjà abandonnés pour passer à l’ennemi. »

Alain de Benoist, Droite, l’ancienne et la nouvelle, 1979.

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"Le pape François a surpris son auditoire hier en prenant la défense d’Israël. Généralement bienveillant à l’égard du peuple juif le pape a cette fois ouvertement qualifié d’antisémitisme, les attaques dirigées contre Israël.

« Attaquer les Juifs ou Israël relève de l’antisémitisme. Il peut y avoir des désaccords politiques entre gouvernements et sur les questions politiques, mais l’État d’Israël a parfaitement le droit d’exister dans la sécurité et la prospérité », a déclaré le souverain pontife au cours d’une audience  accordée à une délégation du Congrès juif mondial.

Le pape a même invité les fidèles à redécouvrir les racines juives du christianisme : « Avec les Juifs, indifférence et opposition se sont muées en collaboration et bienveillance ; d’ennemis et étrangers, nous sommes devenus amis et frères ». Des propos qui interviennent en marge  du Congrès international, organisé du 26 au 28 octobre à l’université pontificale Grégorienne, à Rome célébrant le  50° anniversaire de « Nostra Aetate », la déclaration conciliaire sur les relations de l’Église catholique avec les religions non-chrétiennes.

« Pour les chrétiens, a relevé le cardinal Kurt Koch, président du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens, le judaïsme est beaucoup plus que l’une des religions non-chrétiennes. Entre le judaïsme et le christianisme, il y a un rapport unique. Le judaïsme est la religion dont les chrétiens sont issus ; les juifs sont nos frères aînés. »"source

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Donc, les clandestins africains sont nos frères et Netanyahou et ses colons israéliens sont nos frères... 

Quelle différence avec le discours de la domination, que ce soit Benetton (discours de la marchandise), le CRIF (secte sioniste) ou les Loges (universalisme abstrait), finalement? Et qui sont nos ennemis?

 

11/08/2016

chaos européen

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Si l'on admet que:

- la tentative de coup d'Etat récente en Turquie soit le fait ou ait été instrumentalisée par l'état-profond US,

- Erdogan ait senti le vent du boulet et compris qu'il aurait pu finir au bout d'une corde ou sodomisé au fond d'un égout,

- le ralliement du même Erdogan au parrain Russe constitue un retournement stratégique d'importance et durable,

- l'Union européenne soit, depuis le début, un projet américain de vassalisation de l'Europe occidentale* dans une guerre contre les ennemis de l'Empire US (tantôt les allemands puis les communistes, aujourd'hui la Russie et la Chine sous couvert de "lutte contre le terrorisme" et avec l'appui d'un radicalisme sunnite mythifié et instrumentalisé) et non pas un contre-pouvoir à l'hegemon US, 

- le chaos migratoire européen actuel (secondaire à la destruction de pays du Machrek, du Proche et du Moyen Orient par la même puissance anglo-saxonne et largement organisé par le clan mafieu Erdogan aidé de 50 généraux irakiens baasistes recyclés dans le même radicalisme sunnite d'opérette nommé EI, cette légion arabe de la CIA) constitue un outil de destruction de cette entité européenne, 

- la disparition de ce bras commercial et armé (OTAN) US que constitue l’Europe de Bruxelles soit un moyen pour la Russie (ou l'OCS) de contrer l'impérialisme US en Europe,

- l'éclatement organisé et violent du "bric-à-brac multiculturel" (Sunic) que fut la Yougoslavie puisse constituer un modèle a minima de l'Union européenne actuelle, 

alors il y a de bonnes raisons d'anticiper encore plus de chaos ethnique, économique, social, politique à court terme.

Et ce quel que soit le résultat des élections US de novembre: si avec Trump, le pire est possible, avec Clinton, il est certain.

"Nous tous, qu’on s’appelle identitaires, nationalistes, terriens, tous épris de la glèbe ancestrale, cessons donc avec nos querelles tribales. Les frontières européennes se trouvaient jadis à Troie en Asie donc, chez les Phrygiens, chez Hector, Priam, et la belle Cassandre. Mes ancêtres croates ont dû passer par l’Hindou-Kouch et par le Caucase, il y a quelques millénaires, avant de s’installer sur la belle côte adriatique. Aujourd’hui, on trouve davantage de bons Européens à Buenos Aires ou à Sidney qu’à Paris ou à Londres. Avec nos guerres claniques, que ce soit les Russes contre les Ukrainiens ou les Serbes contre les Croates, on ne fait qu’une belle offrande aux ennemis de l’Europe." Tomislav Sunic, 2014.

 * les élites politiques, médiatiques, économiques "européennes" n'étant donc que des figurants corrompus ou des idiots utiles.
podcast

10/08/2016

suicide squad

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"L’Union européenne est donc entrée, en profondeur, dans un processus qui, à l’issue de ce siècle, aura abouti au remplacement de sa population d’origine par des populations non européennes, africaines et asiatiques. L’Europe ne sera plus européenne à la fin du XXI e siècle. Mais ce que connaît notre civilisation européenne, héritière de Rome et des cathédrales du Moyen-âge, est à différencier de la situation nord-américaine, des Etats-Unis en particulier. Le dernier livre de l’universitaire américaine Samuel Huntington montre en effet que si l’Amérique tend à perdre sa dominante « blanche » et anglo-saxonne, elle reste néanmoins culturellement chrétienne; plus que cela, les guerres dans lesquelles elle est entrée contribuent, au-delà des fractures communautaristes, à refonder la nation américaine autour d’une religiosité commune. Les Etats-Unis continuent donc, à partir de plusieurs races, à fabriquer des Américains. Au contraire, il y a peu d’espoir que l’Union européenne, à partir de populations ethniquement extra-européennes, ne parvienne à fabriquer des Européens de culture. D’abord parce qu’à la différence des Etats-Unis (qui absorbe une majorité de chrétiens et parvient encore à convertir une proportion significative de ceux qui ne l’étaient pas), l’immense majorité des migrants vers l’Europe n’est pas de religion chrétienne; ensuite, parce que la volonté de « convertir » ces migrants, si ce n’est à la religion des Européens, du moins aux valeurs qui en découlent, a disparu. Non seulement la construction européenne telle qu’elle est envisagée aujourd’hui contribue à éradiquer les identités nationales, mais aucune identité européenne de substitution n’est proposée en lieu et place de celles-ci. En conséquence, l’immigré extra-européen est accueilli par un ensemble économique progressivement vidé de ses contenus identitaires et dans lequel il n’a aucune chance de s’assimiler puisqu’il n’a plus rien à assimiler. Plus les années passeront, moins les écoles européennes seront en mesure d’assimiler les petits enfants d’origine extra-européenne. Regardons à ce propos les chiffres en France et notamment celui des effectifs des enfants d’immigrés d’origine extra-européennes (âgés de moins de 15 ans) : ils constituent déjà 13 % des enfants dans les classes. En 2030, ce chiffre sera passé à 25 % mais dans les grands centres urbains (Paris, Marseille, Strasbourg...) cette proportion pourra être de 50 voire 75 %. On voit bien que l’idée même d’assimilation n’a déjà plus de sens.

Ma conclusion est donc radicale ou sombre. Ou bien l’Union européenne lance dans les prochaines années à venir une sorte de « Plan Marshall » de relance de la natalité et de réduction de l’immigration extra-européenne (politique d’immigration sélective, abolition du regroupement familial, encouragement au retour par limitation drastique des prestations sociales...) ou bien la civilisation européenne aura disparu à la sortie de ce siècle." Chauprade, 2004.

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Si rien ne change dans les politiques européennes dans les années à venir, Chauprade a certainement raison. Constat.

Photos: en haut, Noël 1964, en bas, Noël 2014...

#nous sommes tous des migrants

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Suède: les autorités incitent les jeunes suédois à passer du temps avec les migrants et les demandeurs d’asile, pour tisser du lien social et montrer que l’intégration et le multiculturalisme peuvent fonctionner.

(Voir la vidéo en cliquant ici)

Environ 50 jeunes Suédois (originaires de Suède ou d’ailleurs), âgés de 14 à 15 ans, sont ainsi payés 50 couronnes suédoises (environ 5,50 euro) de l’heure afin de se mêler aux nouveaux arrivants, principalement musulmans, pour créer des relations sociales. Après trois semaines, un premier groupe a appris à mieux connaître la démocratie, l’égalité et la prospérité. Ceux qui sont encore demandeurs d’asile ne peuvent pas obtenir de salaire, parce qu’il n’a pas été possible de mettre en place un permis de travail.

« Ces jeunes gens font un travail très important dans l’enseignement de leurs cultures pour que chacun puisse acquérir une meilleure compréhension de l’autre », a déclaré Kristina Sunebrand, la responsable de ce projet. « La rémunération est toujours une bonne motivation, » a t-elle ajouté.

SVT

09/08/2016

Faye

" (...) Recueillement, bougies, fleurs, poèmes, ours en peluche, décorations posthumes pour les victimes, toujours les mêmes scènes, les mêmes larmoiements dévirilisés face aux tueurs arabo-musulmans racistes et aux masses qui les soutiennent et les encouragent, partout en France. Avec Emmanuel Valls aux commandes, la figure même du faux dur, (comme son subordonné, l’incapable Cazeneuve) et son patron Hollande, le politicien ramollo, qui parlent de ”guerre” sans oser riposter ni agir, les agresseurs jubilent.

Le terroriste arabe de Nice était un repris de justice, auteur de violences et agressions, jamais incarcéré, toujours condamné avec sursis. Impuni. La suppression de la ”double peine” (expulsion d’un étranger condamné) par Sarkozy, le politicien imposteur qui change d’avis comme de chemise, sous influence de son épouse bobo–gaucho,  et le laxisme judiciaire, organisé par la gauche (Taubira, égérie protectrice des délinquants allogènes) sont directement responsables de ces attentats. Car cet assassin tunisien n’aurait, normalement, jamais dû résider en France. Les deux égorgeurs arabes du prêtre le 26 juillet, parfaitement connus des ”services” comme des islamo–voyous dangereux, avaient été libérés de prison. C’est donc toutes les règles hors du bon sens de notre droit pénal laxiste qu’il faut revoir.  

Beaucoup se rallient à des positions de plus en plus dures, même parmi d’anciens bien pensants. L’idée de guerre civile ethnique inéluctable fait son chemin. L’idéologie dominante – mais minoritaire dans la population– ne pourra pas  empêcher une explosion. Car la force des faits dépasse celle de persuasion des dogmes.  

 Depuis deux ans, nos dirigeants ont laissé entrer près de deux millions de ”migrants” ( !) en Europe, à 90% musulmans, sous l’influence de la catastrophique Mme Merkel et d’une oligarchie allemande perverse. C’est l’accélération vertigineuse d’une immigration de peuplement, et non plus provisoire de travail initiée dans les années 70. Et cette invasion massive est proportionnelle, depuis deux décennies, à la hausse de la criminalité, de l’insécurité et du terrorisme. Quelle coïncidence bizarre… 

Plutôt que de mener des opérations militaires contre–productives au Moyen–Orient ou en Afrique contre l’ ”islamisme”, il faudrait mieux se défendre contre l’invasion en France et en Europe. Le vrai front est ici.  L’idée s’impose, par la lucidité et la douleur de l’expérience, que la cohabitation interethnique est impossible – partout dans le monde et depuis toujours – et qu’il va falloir  faire le ménage.

 La solution ne réside pas uniquement dans la lutte contre le ”communautarisme”, pour la ”laïcité”, la défense des ”valeurs de la République” (qui ne sont que des conséquences) mais dans la prise en compte des causes : c’est–à–dire l’immigration de peuplement. Il faut traiter les causes et pas les symptômes. Et la cause principale, et même unique, c’est la présence massive et croissante sur notre sol, en France et en Europe, de populations de plus en plus inassimilables, ingérables et surtout hostiles. Avec la complicité de l’État. Ce qui rend toute politique d’intégration ou d’assimilation totalement impossible. Utopie infantile d’intellectuels. La seule thérapie comprend donc deux volets, en plus de la lutte contre le terrorisme musulman et raciste et l’islamisation : 1) immigration zéro, arrêt des flux invasifs ; 2) démigration, expulsions et retours massifs. Là où il y a une volonté, il y a un chemin. Marion Maréchal–Le Pen est la seule, dans la classe politique, à avoir eu la bonne formule : «  Ils tuent nos enfants, assassinent nos policiers et égorgent nos prêtres. Réveillez–vous ! » Exact, mais le problème est démographique et ethnique. Il faut réduire drastiquement le nombre de ces ”ils”. Et les désigner pour les combattre, les empêcher d’entrer et les expulser. Qu’ils rentrent chez eux et continuent –entre eux – leur jeu de massacre atavique. Ça ne nous concerne pas.

(1) Une partie de l’ ”extrême droite” risque très peu de la part de la répression l’État parce qu’elle flirte avec l’islamophilie  .Des revues comme Réfléchir et Agir ou Éléments, des auteurs comme Alain Soral ou Alain de Benoist et toute leur mouvance sont les héritiers d’une tradition de soumission et de collaboration, dont la peur de l’ennemi est la règle. La lâcheté  – la trouille –est leur loi.

G Faye

08/08/2016

business as usual




07/08/2016

esprit Coubertin

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Dépenser 11 milliards de dollars pour applaudir une équipe de réfugiés, c'est cher payé.

Surtout pour ces millions de brésiliens qui vivent dans une misère noire ou même qui ont été expulsés de leurs favellas pour construire les chiottes des sportifs:)

Après on peut pas vraiment leur en vouloir de cracher sur la flamme ou d'essayer de l'éteindre à grands coups de seaux d'eau sur la gueule...On distribue 450 000 préservatifs mais pas de fric pour le salaire des fonctionnaires brésiliens...lol!

Encore que ce soit assez logique qu' Obama ou Hollande applaudissent cette équipe de réfugiés vu que sans eux, ils seraient peut être encore chez eux et pas sur les routes de pays en guerre.

Reymond écrivait récemment un post sur ces installations olympiques géantes payées par le contribuables à quelques copains du BTP local et qui mettront peut-être mille ans pour être remboursées! ah ah! ce grand n'importe quoi planétaire, c'est presque aussi beau que le nouveau siège du conseil européen à Brussels.

Comme disait la connasse Lebranchu lors du match France-Algérie, "Ne gâchez pas la joie!". Connasse. Meurs vite.

Les hommes ne sont pas sérieux.

"Ils s'accoudèrent dans l'ombre au bastingage" Archiloque de Paros, Fragments.

S'accouder dans l'ombre et regarder la folie du monde..Finalement, c'est peut-être le plus sage. Je comprends qu'un Jünger ait versé dans l'entomologie et la contemplation au soir de sa vie et aprés avoir posé son glaive.

Mais après avoir posé les armes.

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Photo: La piste de bobsleigh des Jeux olympiques d’hiver 1984, au mont Trebevic, près de Sarajevo, en septembre 2013.

Frusciante encore

et Cash..

04/08/2016

whatsap?

02/08/2016

de la guerre

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"François Hollande a admis publiquement que des armes françaises étaient fournies aux «rebelles » syriens depuis 2012, en violation d’un embargo de l’Union européenne sur la Syrie. Les rapports des médias occidentaux ont également, occasionnellement et pudiquement, reconnu que les armes étrangères ont fini dans les mains de réseaux terroristes officiellement proscrits. La notion d’une distinction entre les modérés et les extrémistes est une mascarade cynique afin d’absoudre les gouvernements occidentaux de l’accusation légitime qu’ils sont les complices des terroristes.

La vidéo de la décapitation d’un garçon palestinien de dix ans, près de la ville d’Alep au nord de la Syrie, la semaine dernière, par des « rebelles » de la brigade Nour al-Din al-Zenki, soutenus par les États-Unis, est la preuve de cette mascarade. Le département d’État américain a reconnu son lien avec le groupe, en disant que le meurtre horrible du garçon entraînerait une « pause » dans la poursuite du soutien à la brigade." Sakerfrench

«La meilleure manière d’aider Israël à gérer la capacité nucléaire grandissante de l’Iran est d’aider le peuple syrien à renverser le régime de Bachar el-Assad», annonce d’emblée Hillary Clinton dans le document, révélé par l’ONG de Julian Assange, WikiLeaks, sur son site internet. RT (oui, je sais..)

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Pierre Verluise : Comment définissez-vous la finance et la guerre financière ? Quelles sont les représentations fausses à ce propos ?

Jean-François Gayraud : Depuis les années 1980, la finance occupe une place centrale dans le fonctionnement des sociétés contemporaines. Sa position de surplomb par rapport aux échanges économiques et aux classes politiques font que cette matière ne peut plus être analysée simplement avec la focale de la « science économique », surtout orthodoxe. Derrière la technicité se dissimulent des enjeux politiques et des luttes de pouvoir majeurs. Le diagnostic demeure incomplet et biaisé tant que la perspective « économiste », positiviste et néoclassique, est privilégiée. Car ce qui se trame, au sens de la dramaturgie, relève de la Politique. Ainsi, fondamentalement, il n’y a jamais de crises financières, mais des choix politiques ayant des conséquences financières. Rechercher les seules explications techniques et ignorer les racines politiques, consiste à privilégier des causes immédiates et à s’aveugler sur les causes premières. Depuis la mise en œuvre des politiques de dérégulation, d’abord aux États-Unis puis en Europe, la finance est devenue un phénomène de pouvoir, avec de véritables puissances, en partie autonomes poursuivant des objectifs propres. La dérégulation a sorti le génie de la lampe : depuis, la haute finance s’est émancipée au détriment des États et des peuples. De là, le concept de guerre ne relève pas de la métaphore facile mais d’une claire prise en compte des véritables enjeux imposés par la domination inédite de la finance depuis les années 1980. Comprenons bien ce qui se joue : des puissances financières développent des formes d’hostilité en direction des États et des peuples ; telle est la signification exacte du concept de guerre. Il faut avoir une conception réductrice de la guerre, donc de l’hostilité, pour ne l’envisager que sous le seul angle des affrontements militaires. Ce serait oublier que l’hostilité a toujours revêtu dans l’histoire des formes diverses : certes militaire mais aussi politique, culturelle, économique ou finalement financière. Par ailleurs, cette hostilité est en partie criminelle quand on prend en compte deux dimensions. D’abord, les fraudes gigantesques, souvent systématiques et parfois à effet systémique, dont la finance se rend coupable. Ensuite les conséquences destructrices sur les populations de ses actions.

L’idéologie néolibérale est évidement rétive à toute analyse en termes d’hostilité puisque son projet tente de faire accroire que le « doux commerce » cher à Montesquieu (1689-1755) est le pacificateur ultime. Les libéraux veulent imposer l’idée que la concurrence, et non l’hostilité, est la solution ultime. Ainsi que le montrent Julien Freund et auparavant Carl Schmitt, la doxa libérale tente de dépolitiser les rapports sociaux et internationaux afin de conférer au dieu Marché la fonction d’arbitre suprême. Ce point acquis, la question de l’hostilité conduit ensuite vers le véritable questionnement, sous-jacent : qui est l’ennemi ? Car les vraies guerres – et non ces guerres métaphysiques telles « la guerre à la drogue, à la pauvreté ou au terrorisme », toutes celles déclenchées à partir d’une idée vague –, impliquent des ennemis réels, donc situés géographiquement et historiquement. La désignation de l’ennemi relève d’un choix politique permettant de discerner ce qui est dangereux voire mortel. Ce nominalisme n’est pas neutre, bien au contraire : c’est fondamentalement un acte de souveraineté. E et R

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"On voit qu’Erdogan en ce moment se rapproche de Poutine, se rendant compte sans doute que sa soumission à l’empire otanesque risque de lui valoir les mêmes désillusions et la même fin que Saddam Hussein. On voit aussi que Trump émerge aux États-Unis, alors qu’il n’était pas le candidat républicain souhaité, car c’est un isolationniste dans la tradition de Lindbergh. Gageons d’ailleurs qu’il sera bientôt traité d’antisémite comme le fut le célèbre aviateur américain. On vit également le rebond de la crise financière et bancaire de 2008 dont on n’est jamais sorti, un effondrement du système monétaire et financier piloté et causé par Wall Street.

Face à cela, mon analyse a toujours été la même : l’oligarchie mondialiste a tout intérêt à ethniciser une crise économique et sociale, à s’appuyer sur des phénomènes qui existent certes : des civilisations qui ont été longtemps en concurrence voire en conflit par le passé, mais dont l’affrontement actuel n’est en rien une fatalité quand on regarde l’histoire. L’histoire de la décolonisation notamment procédait plutôt d’un processus laïc, voire marxisant : panarabisme, nationalisme arabe... Il n’était pas fatal que l’islam radical émerge, pas plus que le Hamas ne prenne le dessus sur l’OLP. C’était même contre le sens de l’histoire si la volonté impériale américano-sioniste ne s’en était pas mêlé après l’effondrement de l’URSS et la disparition de l’utile ennemi communiste. Tout ça est artificiel, instrumentalisé, voulu. Mais face à cette volonté oligarchique impériale et ses moyens, il va être très difficile d’éviter le piège. Le piège de la guerre totale : civile et mondiale.

Par les media, tout est fait en effet pour attiser les haines et les antagonismes entre communautés : quand on montre les poupées des petits enfants morts sur la Promenade des Anglais avec tout un pathos compassionnel, sans aucune analyse de fond, le Français de base, qui subit déjà 30 ans de régression économique, auquel on a imposé une immigration dont il ne voulait pas et qui ne lui a rien apporté, hormis une perte de repères culturels, le dumping social et de la délinquance (il suffit de voir de quoi sont remplies les prisons), le Français, dis-je, arrive au bout de son acceptation de l’antiracisme et du politiquement correct. Et quand on lui parle aujourd’hui d’islam radical, il ne pense pas aux manipulations impériales de Daech, maintes fois démontrées depuis Al Qaida, mais aux jeunes des banlieues issus du Maghreb – dont l’islam n’est pas plus une pratique que le catholicisme chez nous – et sa colère légitime lui fait oublier le travailleur immigré prolétaire, le bon père de famille pieux élevé dans la droite des valeurs avec qui nous pourrions être en convergence, pour ne plus souhaiter que casser du bougnoule comme à Gaza.

Or, le Système et ceux qui le contrôlent en France ont totalement fabriqué ces voyous de banlieue par l’idéologie libérale-libertaire et l’antiracisme institutionnel. Leur modèle identitaire, c’est le ghetto américain. On a incité ces jeunes paumés à partir se battre en Syrie, on les a formés à la violence guerrière, on les a armés. Tout cela est vérifiable. On a même fait en sorte de les faire revenir alors qu’on aurait pu laisser l’armée d’Assad se charger de nous en débarrasser. Ce qui nous arrive était donc plus que prévisible, je dirais même que c’était prévu. Et il est temps d’avoir le courage de le dire : il y a des gens qui ont intérêt à ce chaos en France, et ces gens ne sont ni le peuple de souche ni les musulmans du quotidien. Un chaos qui n’est non plus ni dans l’intérêt des minorités chrétiennes d’Orient, ni dans celui des pays arabo-musulmans aujourd’hui à feu et à sang. Qui a intérêt à cela ? L’oligarchie financière qui cache une crise économique derrière la violence ethnique, afin de détourner la colère populaire et Israël dont le projet est le Grand Israël, ces deux acteurs étant d’ailleurs très imbriqués." Alain Soral