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30/03/2013

hoplites

fracas

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 Il se passe quelque chose: dimanche plus d'un million de personnes (peut-être beaucoup plus, loin des comiques "300 000" de la préfecture de police) ont défilé dans le calme contre une des mesures phares de la gauche libérale, le mariage gay.

A ma connaissance, aucun grand parti politique, aucune organisation politique significative, aucun média conséquent de ce pays n'ont appelé à la mobilisation de masse qui plus est cornaquée par la personnalité lamentable qu'est Frijide Barjot ( sorte de demi-pute hystérique, à croire que cette pouffiasse ait pu être mise en avant par le camp adverse tellement sa présence et sa jactance sont contre-productives). Or la mobilisation a été massive, pour la seconde fois en quelques semaines. On se prend à imaginer ce qu'aurait pu être le même cortège mené par des hommes comme Hélie de Saint-Marc et pas des demi-fiottes.

Je crois qu'une partie conséquente du peuple de France a compris qu'au delà des combats de façades opposant libéraux de gauche (lisant Télérama et pestant contre le capitalisme en défilant pour des clandestins) et libéraux de droite (lisant les pages saumon du Figaro et pestant contre l'immigration de masse en applaudissant chaque délocalisation et chaque point du CAC 40) dans une parodie d'alternance unique (1), se joue un peu plus chaque jour la simple survie de notre culture, de notre civilisation européenne, des peuples européens.

Je crois que ces nouvelle lois ineptes sur cette parodie de mariage homosexuel (avec les droits à l'adoption et à la PMA qui ne manqueront pas d'advenir dés que la chose sera validée par les grabataires du Sénat) illustrent à merveille l'hubris d'une classe politique libérale/progressiste totalement -et ontologiquement- déconnectée du réel et incapable, comme l'explique jours après jours Michéa, d'imaginer des sociétés régies par autre chose que le droit procédural et le marché illimité et sans entraves, aux antipodes du brave et lucide Aristote qui savait bien qu'une vie en communauté ne peut être apaisée que si elle est fondée sur des valeurs civilisationnelles communes, c'est-à-dire sur des structures de sens morales, philosophiques, religieuses, des traditions, des usages, des coutumes, des lois qui n'ont strictement rien à voir avec le relativisme moral débridé et la démonie de l'économie de nos modernes. Il n'y a que Con-Bandit ou Sarkosy pour penser un seconde que "jouir sans entraves" ou "consommer sans modération" puissent créer un sentiment communautaire ou une appartenance commune, encore moins un destin commun.

Je crois que s'il y avait tant de monde dans la rue dimanche c'est parce que des millions de gens qui n'appartiennent pas à cette hyperclasse nationale et apatride profitant à plein de cette véritable révolution anthropologique qu'est la globalisation du capital et l'hégémonie sans partage planétaire de la démocratie libérale (qui n'a évidement rien à voir avec la démocratie véritable mais tout à voir avec la tyrannie du tittytainment et avec une lutte des classes sans merci) sont de plus en plus hostiles au projet libéral célébré par la totalité du barnum politico-médiatico-culturo-mondain, parce qu'ils en ont compris ou pressenti l'essence -la guerre de tous contre tous sous couvert d'émancipation illimitée-, et parce que cette oligarchie planétaire arrogante et punitive n'arrive plus à donner une représentation du monde convaincante donc à même d'entrainer l'adhésion des peuples. Je crois que des millions de gens sont en train de comprendre en France et en Europe (et ailleurs) que le véritable clivage n'est plus entre "droite" et "gauche", entre "forces de progrès" et "forces réactionnaires" ou entre "démocrates" et "fascistes" mais bien entre ceux qui valident la mondialisation libérale et sa course à l'abyme et à la guerre de tous contre tous (la quasi-totalité du personnel politique, médiatique, culturel, la totalité de la sociologie officielle) et ceux qui refusent cette véritable révolution anthropologique (qui n'est pas née en 1989 ni en 1968 mais au XVIIeme et au XVIIIèeme siècle en Europe) dont nous commençons seulement à ressentir les effets ravageurs.

Voici ce qu'écrit julien Dray, ci-devant repris de justice, progressiste de gauche et ordure notoire:

UN DIMANCHE DONT ON SE SERAIT BIEN PASSE...

Sur fond de crise chypriote, le dimanche que nous avons connu est sans doute l’un des plus inquiétants depuis une décennie. La « Manifestation pour tous » a fait l’objet d’échauffourées de la part de manifestants tentant d’envahir les Champs Elysées. On peut évidemment pointer l’activisme de quelques groupuscules de la droite radicale mais la vérité est beaucoup plus inquiétante. Des gens propres sur eux, plutôt bourgeois, armés de poussettes, s’en sont pris aux forces de l’ordre pour envahir les Champs Elysées afin de « parler à François Hollande »… Depuis, on a appris que les  mêmes entendaient manifester devant la télévision publique… Tout porte à penser que des secteurs entiers de l’opposition se radicalisent et contestent désormais ouvertement la légitimité du gouvernement. C’est grave. Tout cela rappelle, toutes proportions gardées, les manifestations de la bourgeoisie chilienne en 1972. Mus par une volonté farouche de se débarrasser du pouvoir actuel, ils sont aussi portés à transgresser les règles communes de notre démocratie. C’est aussi la conséquence d’une hystérisation de la confrontation politique que le sarkozysme a produit.

(...)Désormais, le temps nous est compté.

Dray, sans doute plus à l'aise dans la joaillerie et les fausses factures fait une erreur d'analyse colossale: ce n'était pas seulement la bourgeoisie qui était dans la rue en 1972 au Chili comme à Paris dimanche mais les peuples chilien et français, des gens simples et ordinaires venus des classes populaires et moyennes (sacrifiées sur l'autel de la "compétitivité"), révulsés par la violence du monde moderne, le déclassement brutal pour beaucoup (et l'enrichissement sans limites pour une petite minorité), la corruption insensée d'élites politiques et culturelles, leur cynisme irresponsable...Ce n'était pas la "réaction cléricale et militaire" qui fut arrosée de gaz lacrymogène mais le peuple, simplement. Chose bien incompréhensible pour le notable embourgeoisé qu'est ce pitre à tocantes.

Dray, qui n'a rien d'un socialiste (et le seul fait de mettre en parallèle ce pauvre juif séfarade et obèse et des hommes comme Sorel, Leroux ou Orwell donne la mesure de l'imposture sordide du mot même "socialiste" à l'heure ou un "socialiste" Lamy dirige l'OMC et ou un autre "socialiste" Strauss-Kahn fut leader du FMI), a raison de dire que le temps est compté. Dray sait sans doute qu'il est désormais dans le camp de l'oppression et des kapos encravatés, de Goldman-Sachs et de Warren Buffett, des bonus et des golden-parachutes, des putes de Sofitel et des soirées VIP au Dandy's... Dray sait parfaitement qu'il est passé du mauvais côté et que cette foule énorme et tranquille, c'est le peuple en marche, celui-là même qu'il a trahi, c'est la statue du commandeur qui vient, la démocratie volée qui resurgit là ou on ne l'attendait pas. Plus. Dray le minable escroc pseudo-trotskyste passé à l'Ouest qui a compris que la formidable botte souveraine de la réalité (2), celle dont parlait Trotski, est en train de réduire en miette le "contreplaqué des mensonges" et le "glapissement des follicullaires"...Dray a peur et ça commence à se sentir. Dray sait que lorsque les cols bleus martyrisés commencent à défiler avec les cols blancs déclassés, les jours du pouvoir en place sont comptés.

Vilfredo Pareto qui avait expliqué que derrière tout pouvoir, quelles que soient les justifications qu’il se donne, il y a une minorité dominante qui en tient les rênes, une oligarchie. Tant que cette oligarchie donne une image du monde compatible à la réalité visible et tant que cette élite est prête à la défendre, le pouvoir connaît une période de stabilité. Dés l’instant où ces conditions font défaut, on est en situation prérévolutionnaire. La réalité visible aujourd’hui, pour beaucoup de nos compatriotes (pas ceux qui passent au Grand Journal d'Anal Plus) ne correspond plus du tout à aux mots prostitués de nos élites... la réalité c’est :

-la paupérisation et la disparition des classes moyennes dans une mise en concurrence globale faussée et imposée à l'occasion d'une crise planétaire gravissime ("L'Occident, c'est ENRON", dit Drac, excellent++)

-un remplacement démographique massif sur un temps très court des européens de souche par des peuples entiers allogènes dont l’acculturation est impossible et qui manifestent même souvent une hostilité franche aux codes civilisationnels européens (horresco referens pour nos modernes!) avec la constitution partout en Europe d’enclaves étrangères en sécession des peuples autochtones,

-une dissolution des social-démocraties européennes au profit de sociétés polarisées parfaitement décrites par Christopher Lasch dans sa Révolte des élites, marquées par la violence, la sécession, la prédation de quelques-uns au détriment du plus grand nombre, le multiculturalisme et le relativisme général, la discrimination positive et la communautarisation, la décivilisation générale, l’anomie, le chaos,

-la dissolution de la démocratie dans un pseudo-bipartisme organisé pour verrouiller l’accès à toute doxa hérétique et pour dépouiller les peuples de toute souveraineté politique

-enfin la soumission des politiques diplomatiques et militaires européennes aux lobbys atlantistes et leur bras armé, l’OTAN (création en vingt ans, manu militari, de deux états musulmans en Europe, le Kosovo et la Bosnie-Herzégovine),

La question est donc de savoir jusqu’à quel point cette oligarchie, cette hyperclasse libérale, est prête à défendre sa vision du monde.

(1) les libéraux culturels/"de gauche" s'assurant de liquider jours après jours par ces formidables mesures sociétales (mariage gay, salles de shoot, vote des étrangers non-communautaires, légalisation des drogues douces, dépénalisation de l'assistance aux clandestins, etc.) les fondements anthropologiques d'une vie décente -solidarité communautaire, famille hétérosexuelle, autorité et éducation parentale,  instruction publique, traditions culturelles, religions, communautés enracinées, sécurité publique, probité, honneur, bref toutes les structures de sens qui font qu'une civilisation tient debout, charge aux libéraux économiques/"de droite" de dissoudre ce fragile équilibre (propre aux sociales-démocraties européennes et issu de l'aprés-guerre et du consensus gaullo-communiste) entre capital et travail via l'abolition des frontières, l'immigration de masse (cette armée de réserve du capital dont parlaient Marx et Engels), via l'érection d'un marché euro-atlantique, via la mise à mort des protection syndicales, des lois du travail, via la délocalisation de toute activité non rentable au regard du standard bengali, etc. toutes mesures à même de balkaniser un peu plus des nations historiquement résilientes parce qu'encore ethniquement, culturellement et socialement relativement homogènes et de détruire chaque jour un peu plus toute cohérence de classe ou seulement identitaire.

(2) "La botte souveraine de la réalité, disait le vieux Léon. Les censeurs, les idéologues, les inquisiteurs de la pensée libre travestissent la réalité, la badigeonnent de leurs mensonges, traînent en justice ceux qui osent égratigner les façades peinturlurées. Et puis un jour, on entend un bruit de plus en plus proche, un fracas puissant qu'on ne parvient plus à étouffer, géante, irrésistible, « la botte souveraine de la réalité » vient, s'impose. Le contreplaqué de mensonges s'écroule, le glapissement des folliculaires stipendiés s'étrangle, les mots prostitués retrouvent leur sens. La réalité se dresse devant nous, irréfutable. Bien vu, camarade Trotski !" Andrei Makine, Cette France qu'on oublie d'aimer, 2006.

NB: en me relisant, je pense que je n'insiste pas assez sur les manipulations constantes dont sont vitimes les peuples, dont nous sommes victimes dans une logique constante de balkanisation et de depossession, c'est même la seule clef d'interprétation des politiques systémiques: par exemple, l'immigration n'est une chance pour personne, c'est même une catastrophe pour les peuples européens. bien, mais il faut absolument comprendre que les mêmes ordures (la sainte alliance libérale-trostkyste) qui pendant 40 ans ont prôné l'accueil inconditionnel de millions de barbares sur notre sol (au nom de l'antiracisme à petite main jaune ou au nom de la raison économique) sont les mêmes qui, aujourdhui, dénoncent la présence sur notre sol de "réseaux islamiques" et prônent une "guerre de civilisation" contre l'islam et les muslmans. Non pas que les millions de musulmans en Europe ne constituent pas un danger de balkanisation (c'est le cas) mais, encore une fois, les premiers coupables, l'ennemi principal RESTE celui qui a fait venir ces masses allogènes et qui pousse aujourdhui tous les "desouches" qu'ils soient français, belges ou britanniques au pogrom anti-muzz (sous la bannière de Tsahal)!

Une constante: la manipulation des uns et des autres par les mêmes (de Con-Bandit à Hollande en passant par Sarkosy ou Gaillot). Réfléchir et Agir, c'est bien, réflechir avant d'agir comme un petit soldat de l'empire, c'est mieux...

Se rappeler l'avertissement de Dun:

« Prenez garde, ouvriers européens : les mêmes qui vous ont submergés de dizaines de millions de musulmans pour écraser vos revendications peuvent vous exciter demain à vous battre contre ces mêmes musulmans devenus combattants. On vous dira qu'on s'est trompé (qui est "on" ?), que ces hommes n'ont pas su profiter de l'évolution qu'on leur proposait. Ne tombez pas dans le piège. J'ai dénoncé plus clairement que quiconque les bases pathologiques des religions du désert, marxisme inclus. Je suis bien loin de me laisser gagner par les mirages infantiles de l'islam. Mais si la crapulocratie s'en prend à l'islam, ce n'est pas à cause de ses dogmes infantiles, ni à cause des tchadors d'écolières manipulées. C'est parce que l'islam reste la seule force anticapitaliste, la seule capable de faire échouer le chancre mondial de la société de consommation. La guerre civile mondiale, à la fois raciale, culturelle et sociale ne sera pas évitée. Mais les hommes libres n'y ont aucune place. Ne vous laissez pas entraîner dans le tourbillon de folie et ne vous battez qu'en cas d'absolue nécessité, si vous êtes personnellement attaqués. » Robert Dun, « Camarade, ne te trompe pas d'ennemi ! », L'Homme libre, fils de la terre, juin 1995.


podcast

27/03/2013

bankpride

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"Désormais vous devez savoir que les banques peuvent faire faillite. Non, soyons plus clair. Vous savez que des banques vont faire faillite. Vous savez que les états ne sont plus en mesure d’intervenir pour sauver des systèmes bancaires devenus obèses. Vous voyez que le problème chypriote trouve une résolution essentiellement chypriote ce qui veut dire que l’Espagne ou l’Italie deux pays beaucoup trop gros pour être sauvés par les autres pays européens, devront se débrouiller seuls.

Alors regardez bien ce qu’il se passe à Chypre car cela aura bientôt lieu en Espagne, en Italie en Belgique ou en France. La bonne question est donc que faire de son argent ? La réponse est assez simple. En avoir le moins possible à la banque et pour cela l’or comme l’argent restent des alternatives extraordinaires au système bancaire traditionnel.

C’est également le cas pour les actifs tangibles qui eux ne s’envolent pas en fumée lorsque les banques s’effondrent. Terres agricoles, forêts, ou même bouteilles de vin qui au moins pourront vous réconforter lors d’un bon repas (si vous pouvez encore acheter à manger).

Pour ceux qui considèrent qu’ils n’ont pas assez d’argent pour faire tout cela… dépensez, dépensez tout, partez en voyage, faites-vous plaisir… au moins vous aurez passé un bon moment, changez votre canapé ou votre voiture (vous ferez tourner l’économie et vous serez de bons citoyens).

Sinon vous pouvez toujours croire que tout va bien… mais ce n’est pas le cas !

Débancarisez… voilà le mot d’ordre de l’année 2013… pour préparer 2014.

Au fait vous savez ce que c’est qu’un dépôt bancaire ?

Evidemment ! Pfff ! C’est les sous qui m’appartiennent et que je dépose à la banque.

Et bien non, pas du tout. Enfin pas tout à fait. Disons que vous, vous croyez que ce sont vos sous. Mais la réalité c’est qu’une fois que vous venez de les déposer ce n’est plus du tout vos sous… et en plus c’est la loi.

Car un dépôt bancaire c’est en réalité une créance sur la banque. Comptablement et juridiquement la banque vous doit cet argent. A ce titre cela devient une créance. Lorsque le créancier n’est plus solvable, il ne peut pas y avoir de recouvrement de la créance.

Pour ceux qui n’auraient pas compris, cela veut dire que la banque dans ce cas ne vous redonne pas votre dépôt. Votre argent est parti en fumée et vous êtes ruiné. Contrairement à ce que l’on croit, un compte bancaire n’est pas un lieu de stockage de valeur. Ne l’oubliez jamais."

Charles SANNAT/http://www.lecontrarien.com/

26/03/2013

NO PASARÀN!


Manif pour Tous du 24 mars 2013 par ERTV

25/03/2013

Potemkine mon amour

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LICENCIEMENTS DE LA SEMAINE: LA FOLIE FURIEUSE CONTINUE !
du 25 au 28 mars 2013 : Celle-ci (la semaine) s'est destinguée en faisant un magistral bras d'honneur au Président de la République pour qui "la crise est toujours derrière nous". Clairement il est myope et devrait aller chez Afflelou pour se refaire de nouvelles lunettes car s'il ne voit pas que la situation du pays est en train de devenir instable, que les Français ont découvert (via Chypre) que leurs comptes pourraient aussi être braqués au nom de la dette des sales banquiers, qu'il n'y a presque plus un commerce qui n'a pas été braqué avec ou sans violence, que le crime est en train d'exploser dans toutes les régions (même les livreurs de pizza se font braquer leurs 30 euros de recette à Nice cliquer ici, merci à Mr Faure) (les écoles, les mairies et même les hôpitaux se font braquer, comme la semaine passée à Marseille, lire ici merci à Aetos) alors il est temps pour lui de quitter son poste.

Le simple fait d'entendre le mot "socialiste" me donne maintenant envie de vomir. La France va sombrer dans l'anarchie parce qu'on un autiste à l'Elysée. Il ne doit même pas lire les rapports des ex-RG... Dingue! C'est un remake de Louis XVI à Versailles (et je ne parle même pas de ce qui s'est passé ce dimanche place de l'Etoile qui montre que la colère des gens normaux est maintenant perceptible). JE RAPPELLE AUX LECTEURS QUI PRENNENT CETTE PAGE EN COURS DE ROUTE QUE LES MEGA-LICENCIEMENTS SONT SANS INTERRUPTION DEPUIS MAI 2012.

PS: les suicides dans le Métro + RER A + RER B sur 2012 sont en hausse de 23%, merci à Sylvain.

PS2: La petite ville de Pecquencourt a vu ses 23 plaques d'égoûts volées dans la nuit, lire ici, merci à Nathalie. Est-ce le même gang que celui-ci? merci à Mr Ledu, ou encore que celui-ci.. "vol de 15 plaques en aluminium et en acier inoxydable dans une station d'épuration proche de Lapalisse (Allier)"??, merci à Francis.

PS3: Cette fois, c'est un Taureau qui a été dépecé! Ils n'ont pas peur les mecs... Merci à James, lire ici.

PS4: Après les taureau, les oies, "Oies égorgées dans un parc d'Anderlecht: "On les chasse pour les manger" Il ne fait pas bon être une oie domestique au parc Jean Vives d'Anderlecht" merci à Lucy, lire ici RTL

PS5: Mr Harnist nous dit: "Et voilà, ce coup là un journal ose en parler...Nos "amis" de l'E, qui, rappelons-le ne sont ni des voyous, ni des délinquants, volent absolument tout y compris des crucifix et autres objets auxquels personne ne devrait toucher", lire ici La Depêche pour le croire.

- Environ 80 sous-préfectures seront supprimées. Les Français devront faire entre 50 et 150 km de plus, lire ici Sud Ouest, merci aux lecteurs.

- Avoir les licenciements, DreamWorks baisse les salaires merci à Mr Laussel, lire ici 3dvf

- AstraZeneca supprime 5.050 emplois au total entre demain et 2016 lire ici FT

- Bosch sort du solaire et 3.000 postes vont passer à la trappe lire ici, merci aux lecteurs

- Veolia licencie 1.500 personnes lire ici Europe1 , merci aux lecteurs

- ST Ericsson disparaît et 1.600 postes passent à la trappe lire ici , merci à Mr Pont

- Boeing vire 2.300 personnes de plus lire ici Romandie, merci aux lecteurs

- Alerte: BlackRock va virer 300 personnes. Même eux lire ici Reuters

- Macopharma veut supprimer 67 emplois sur 3 de ses sites, sur un total de 1 370 emplois lire ici Lutte Ouvrière , merci à Mr Page

- Veolia Eau prévoit la suppression de 1.500 postes en France lire ici , merci à Mr LePage

- Coca-Cola va supprimer 750 postes aux Etats-Unis lire ici Reuters dans le Figaro

- "Siemens is preparing to eliminate 1.200 to 1.400 jobs at three sites of its energy and infrastructure businesses"lire ici Bloomberg

* J'en ai déjà parlé, mais là le pire est arrivé: Scooter Store a décidé de virer 1800 personnes d'un coup, plutôt que de les mettre au chômage technique lire ici Kwtx

- L'Anglais HomeServe vire 300 british lire ici la BBC

- Les vraies pertes via PSA, lettre de Mr Harnist: " Je viens de parler à un ami qui travaille pour un sous-traitant (qui fait des sièges des voitures) sur le site de Peugeot Sochaux Il circule que d'après le plan social, fin juillet de cette année, donc juste pour les vacances, ce sont 23.000 personnes qui auront perdues leur emploi. Eh oui, les intérimaires ne sont pas comptés dans le plan social Peugeot... Ils ne sont pas licenciés, pour le moment ils ont du travail! Ils ne seront juste pas renouvelés après les congés=>Une équipe sur deux va être supprimée rien que sur le site de Sochaux! Donc résumé de la situation, Peugeot aura détruit, à lui seul, 23000 emplois en France avant début septembre. La rentrée s'annonce musclée, parce que les intérimaires concernés ne seront apparemment pas averti (du moins officiellement) avant leur fin de mission (donc fin juillet!)"

- L'Insee prévoit 74.000 destructions d'emplois au premier semestre. Pour une fois, l'Insee de bidouille pas les chiffres lire ici 20min , merci à Olivier

- Le journal Equipe supprime 40 postes lire ici Challenges , merci à mon lecteur

- American Express Voyages d'Affaires va virer 250 personnes,18% de son effectif. Les cadres ne voyagent plus. lire ici L'Echo Touristique , merci à mr Lepage

- Avec la fermeture en série de 30% des écoles aux US, ce sont 50% des chauffeurs qui sont virés dans les entreprises de remassage scolaire, soit environ 3000 personnes depuis le début de l'année

- Apicil va virer 40 personnes lire ici, merci à Mr Pont

- La Liechtensteinische Landesbank, connue comme LLB, vire 250 banquiers, lire ici 20 min , merci à Mr Pont

- La déstruction des PME: 15 en liquidation dans le Morbihan lire ici Le Telegramme ou encore ici la Dépêche sur Fumel , merci à Pont

- EDF Luminus 100 emplois menacés lire ici Dhnet , merci à Mr Pont

- Les US ferment 150 tours de contrôle pour cause d'absence de budget lire ici Reuters , merci aux lecteurs

* J'en ai déjà parlé mais cette fois Transcom est bien mort et 400 personnes au chômage lire ici, merci à

* J'en ai déjà parlé, Condat Papeteries vire 154 personnes au total lire ici Sud Ouest , merci à Mr Lepage

- Terra Lacta (lait) va supprimer 100 à 150 emplois lire ici Sud Ouest , merci à Mr Rousseau

- Et maintenant les journalistes régionaux français!!! Mr Martinet: "On connaissait les délocalisations de construction de voitures, d'usines de chaussures dans des pays où la main-d'oeuvre est à moindre coût. A l'heure d'internet, c'est maintenant l'info qui se délocalise. Plusieurs sites d'informations locales en France sont en réalité écrits depuis la... Tunisie. Lorsqu'il fait une recherche sur le nouveau pont ouvert Chaban-Delmas inauguré le week-end dernier à Bordeaux, ou sur Airbus à Toulouse, le lecteur toulousain ou bordelais est loin de s'imaginer que ces deux articles sont écrits...depuis Tunis. C'est pourtant le cas. Une agence basée à Tunis travaille en réalité pour plusieurs médias d'information locale en France : Bordeaux.actu.fr, Lyon.actu.fr, et Toulouse.actu.fr. En lisant les mentions légales de ces sites, tout en bas, on découvre en effet l'adresse de leur rédaction : "Hi-Content SARL 2 rue Mahrajène 1082, cité Mahrajène, Tunis"" lire ici Arrêt sur Image.

- Socoval vire 50 personnes lire ici Ouest France , merci à Mr Lazzari

- RDM Sparcraft en sursis lire ici Sud Ouest , merci à mr Rousseau

- Nouveau plan social en vue chez Goss, 160 personnes risquent de perdre leur emploi lire le Courrier Picard, merci à Philippe.

Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.jovanovic.com 2008-2013

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Peut-être certains des lecteurs d'Hoplite ne connaissent-ils pas encore le blog indispensable de Jovanovic...Quant au Cuirassé Potemkine, c'est le moment de le revoir:-)


podcast

23/03/2013

was passiert?


Vidéo du mois : conseils de lecture, février 2013. par ERTV!

JÖ, à ne pas manquer! notamment à la fin, la tronche de BHV et yvan ATTAL quand Ray Charles dit son mépris du rap..ha ha mdr (avec la trés jolie Noémie Lenoir en prime, may be next bella della sem...on verra)

19/03/2013

ça a déjà commencé

source

J'adore le commentaire du pitre voix off "Ils sont décidés à en découdre!" oui connard.

Je me dis aussi que dans n'importe quel état de droit digne de ce nom, un flic gazé puis menacé par un mec hostile armé d'une batte de baseball serait déjà à terre, refroidi pour de bon, le quartier bouclé, ces branleurs lattés en bonne et due forme (à la Bérurier), les apparts fouillés, le gros bordel avec la peur du bon côté... En France, non, les flics se replient au péril de leur vie, et rien. Ces sous-merdes de kapos (que kiffe tant la sociologie officielle des Iacub et des Borrillo) continueront à défiler devant des juges et à pourrir la vie de gens ordinaires. Une bonne façon d'apréhender l'évolution rapide de la criminalité et la décomposition violente de notre société est de se mettre au vert quelques jours et de constater le décalage entre une France rurale encore largement sûre (la France des années 70, sans la mythifier) et le chaos urbain contemporain. Tout ça n'a pas pris 10 générations, ni cinq mais deux! Si rien ne change, l'avenir c'est ça (moins les shorts et les bombasses):

 

Vous n'aurez pas d'excuses, vous saviez.

Ce lumpen africain -à expulser d'urgence- ne doit pas cacher la forêt des enculés qui ont permis son existence sur notre territoire:

"En attisant les antagonismes et la défiance mutuelle, elle [immigration de masse] paralyse les réactions et défenses de la population. Pour une classe dirigeante corrompue, une société balkanisée est plus facile à contrôler qu’une société homogène. L’insécurité née de l’immigration devient même une arme formidable de gouvernement. En laissant les délinquants agir à sa place, le pouvoir fait d’une pierre deux coups. L’ordre se défait, mais le désarroi même qui en résulte débouche paradoxalement dans une relégitimisation du pouvoir, car le pouvoir apparaît comme l’ultime rempart contre le désordre triomphant . Le pouvoir tire ainsi argument de l’insécurité pour que les citoyens se résignent à l’abandon de leurs droits, comme la légitime défense." Eric Werner, NRH.

L'ennemi principal reste cette classe dirigeante qui organise méthodiquement les conditions du chaos économique, social, politique, sécuritaire, civilisationnel.

En fait, ça a déjà commencé.

18/03/2013

sortie de crise

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"S'agissant de la Grèce, les medias européens ont des consignes trés strictes: éviter le sujet. Pourquoi? Depuis le 1er janvier 2013, manifestations et grèves se succèdent quasi-quotidiennement à Athènes. Dans une interview au New Statesman, Leonidas Chrysantopoulos, un ancien responsable du ministère grec des Affaires étrangères et ambassadeur, a mis en garde contre une "explosion des troubles sociaux". Selon lui, quand les nouvelles taxes rétroactives et impayables arriveront à échéance dans les prochains mois, "il y aura un accroissement d'actions armées. Il y aura des manifestations sanglantes. Ces actions sont répréhensibles, bien sûr, mais je sens que ce type d'activité armée ira croissant aussi longtemps que le gouvernement continuera d'imposer des mesures d'oppression à l'encontre du peuple grec".

Le plus important est l'aveu qu'a fait Chrysanthopoulos: le gouvernement a embauché des entreprises de sécurit professionnelle comme Blackwater pour se protéger! Cela s'est fait dans la plus grande discrétion. Les mercenaires américains que le gouvernement grec vient d'embaucher doivent assurer la protection des politiciens travaillant pour le cartel bancaire, car les autorités ne font plus confiance aux policiers. En effet, ces derniers voient leurs salaires sans cesse réduits. Dans le même temps, le gouvernement recherche des garanties auprès de l'armée: qu'elle n'intervienne pas lors des prochaines explosions sociales.

Selon The Guardian, les médicaments d'importance vitale ont presque disparu des rayons des pharmacies et des hôpitaux. Les compagnies pharmaceutiques multinationales comme Pfizer, Roche, Sanofi, GlaxoSmithKline et AstraZeneca, ont arrêté leurs livraisons du fait de non paiement. Les fonds d'assurance sociale et les hôpitaux doivent à ces compagnies 1.9 milliards d'euros, tandis que le gouvernement, de son côté, doit aux hôpitaux et aux fonds d'assurance 3 milliards d'euros. Sous la pression de la Troïka, le budget pharmaceutique st passé de 3.7 milliards d'euros en 2011 à 2.44 milliards en 2012, et l'on s'attend à un niveau de seulement 2 milliards en 2013. Dimitris Karageorgiou, de l'association pharmaceutique panhéllenique, estime que l'approvisionnement de médicaments vitaux a diminué de 90%."

LIESI, n°274, 15/03/2013.

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LETTRE D'UN POLICIER + SUICIDES DANS LES COMMISSARIATS
du 11 au 15 mars 2013 : "Souvent , lors de vos interventions à la radio ou lors de vos interviews (cf la dernière du 08 mars par exemple), vous stipulez que les policiers ne font pas de Maintien de l'Ordre et ne sont pas formés pour cela....). Il faut que vous sachiez que les CRS sont un corps issu de la Police Nationale et spécialisé dans le Maintien de l'Ordre ... Les gendarmes aussi disposent de Gendarmes Mobiles spécialisés dans le Maintien de l'Ordre....C'est ainsi que vous pouvez voir des "Robocop" Policiers ou Gendarmes lors de manifestations... Aucune différence entre la manière d'agir de ces deux groupes...

Je ne sais pas combien de temps les collègues (CRS) tiendront d'un point de vue "psychologique" (cf Goodyear récemment) car parmi ces gens qui manifestent leur désarroi, il y a des membres de la famille de ces mêmes policiers et gendarmes. Une chose est sûre , lorsque nous avons manifesté notre mécontentement et envahi ( nous Policiers) Saint-Michel en mai dernier suite au mécontentement des collègues concernant la mise en examen pour homicide volontaire d'un collègue par les magistrats de Bobigny, ce sont les gendarmes qui nous ont empêché d'accéder à La Préfecture de Police...

Cet "antagonisme" Police/Gendarmerie" sert le gouvernement pour le moment car quand les uns manifestent leur mécontentement, les autres s'interposent et vis et versa... Jusqu'à quand? Une chose est sûre, pour avoir moi-même fait du "Maintien de l'ordre", je peux vous dire que les collègues ne tiendront pas longtemps lors de futures manifestations sociales virulentes, car les policiers dans leur ensemble n'en peuvent tout simplement plus (sous-effectifs, pression hiérarchique, mauvaise ambiance généralisée, population hostile à notre égard, et très peu de possibilité de mutations offertes aux collègues afin de rejoindre leur famille le plus souvent restée en Province...)

Les suicides sont en constante augmentation, (jusqu'à 2 par semaine parfois, voire 4 en 8 jours en décembre dernier par exemple) et les actes de violence le plus souvent perpétrés par une "même partie" de la population envers les forces de l'ordre ne cessent d'augmenter en France... Sans que les collègues ne puissent agir (ordres répétés de ne pas intervenir notamment dans les cités). Moi-même comme des centaines de collègues, je ne compte pas rester au sein de cette administration et il faut que vous sachiez que le nombre de demandes de "mises en disponibilité" explosent et se transforment parfois en démission pure et simple... J'étais rentré dans l'institution par conviction, j'en ressortirai dégoûté et triste pour mon Pays..." Jovanovic


17/03/2013

Stauffenberg

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« Après 1945, les Européens ont cessé d’être eux-mêmes et sont comme entrés en dormition. Les horreurs des guerres passées, dont ils n’étaient pas seuls responsables, furent ressenties comme une condamnation de leur civilisation, d’autant que les vainqueurs s’ingénièrent à les en convaincre. Sans en avoir toujours conscience, les Européens ont vécu longtemps sous l’ombre portée des puissances victorieuses, se partageant entre soviétophiles et américanophiles.

Peu avant de mettre en œuvre son projet et d’en mourir, le colonel Claus von Stauffenberg, organisateur de l’attentat contre Hitler du 20 juillet 1944, avait consigné par écrit les espérances des conjurés :

« Nous voulons un ordre nouveau qui garantisse le droit et la justice, dans lequel l’état s’appuie sur chacun ; mais nous rejetons la mensongère notion d’égalité et nous nous inclinons devant la hiérarchie naturelle. Nous voulons un peuple qui, enraciné dans la terre de sa patrie, , demeure proche des forces de la nature, un peuple qui, libre et fier, dominant les bas instincts de l’envie et de la jalousie, trouve son bonheur et sa satisfaction dans le cadre établi de son activité. Nous voulons des dirigeants qui, provenant de toutes les couches de la société, et liés aux forces divines, s’imposent par leur sens moral, leur discipline, et leur esprit de sacrifice. »

La philosophie nationale conservatrice de ce programme de la résistance Allemande était aux antipodes de ce que les vainqueurs imposeront à l’Europe déboussolée de l’après guerre : l’anti fascisme et le matérialisme bureaucratique pour les uns, la religion du marché et la version Américaine des droits de l’homme pour les autres. »

Dominique Venner, Le siècle de 1914.

16/03/2013

"It's a class warfare, my class is winning, but they shouldn't be"

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"Beaucoup de Chypriotes étaient sous le choc, samedi, après l'annonce d'un accord avec l'Union européenne sur un plan de sauvetage de 10 milliards d'euros comprenant une taxe exceptionnelle sur les dépôts bancaires. L'accord a été conclu dans la nuit de vendredi à samedi, et les résidents de l'île méditerranéenne l'ont découvert à leur réveil. Des queues étaient visibles devant les banques, les particuliers tentant de retirer le plus d'argent possible.

Les bailleurs de fonds de Chypre - UE et FMI - ont en effet demandé l'instauration d'une taxe exceptionnelle de 6,75 % sur tous les dépôts bancaires de moins de 100 000 euros et de 9,9 % au-delà de ce seuil, ainsi qu'une retenue à la source sur les intérêts de ces dépôts.

"C'est une catastrophe", a dit un Chypriote de 45 ans venu retirer de l'argent. "Cela va nous donner envie de sortir de l'euro, dit un autre, un retraité. "Je croyais qu'en dessous de 100 000 euros, on n'y toucherait pas", regrette Andri Menelaou, 25 ans. Je n'ai pas grand chose mais je ne vois pas pourquoi je devrais payer pour les erreurs des banques."

"J'aimerais savoir où elle est, cette solidarité européenne. Qu'avons-nous obtenu? Rien", juge Yiannis Pavlou, un mécanicien de 28 ans. Une allusion à la Grèce, l'Irlande, le Portugal ou l'Espagne, qui n'ont pas eu à accepter cette taxe exceptionnelle. 

"On essaie tous de retirer un maximum d'argent -- mais cela ne marche pas très bien, on ne sait pas si les comptes sont bloqués ou les distributeurs vides, a dit à l'AFP Joseph, employé de banque chypriote. Personne ne s'attendait à cela -- et les banques n'étaient au courant de rien". Les agences bancaires étaient fermées pour le week-end, et jusqu'à mardi matin, lundi étant férié sur l'île. Ces retraits ne vont toutefois pas empêcher la ponction sur les comptes de toute personne résidant sur l'île. Les montants correspondant à la taxe "sont déjà bloqués et ne peuvent plus être transférés", assure Marios Skandalis, vide-président de l'Institut des comptables publics de Chypre. Cette mesure est censée rapporter 5,8 milliards d'euros au gouvernement.

 Le président Nicos Anastasiades a justifié ce plan, qualifié de "douloureux", par le risque "d'effondrement" du système bancaire qui précipiterait une faillite et une éventuelle "sortie de l'euro". "Nous avions le choix entre le scénario catastrophe d'une défaillance non contrôlée, et une gestion douloureuse mais contrôlée de la crise", a-t-il résumé dans un communiqué. M. Anastasiades s'adressera à la nation, dimanche, alors que le Parlement chypriote se prononcera sur le plan.

"La situation est grave mais pas tragique, il n'y a pas de raison de paniquer", a également tenté de rassurer le porte-parole du gouvernement Christos Stylianides, alors que le ministre des finances Michalis Sarris assurait que "Chypre a choisi la moins douloureuse des solutions". Mais Nicolas Papadopoulos, député du parti Diko (centre-droit) dont la direction a soutenu l'élection récente du président Anastasiades, Nicolas Papadopoulos, s'est élevé contre l'accord en le qualifiant de "désastre" pour le système bancaire. "Je veux qu'un représentant du gouvernement m'explique pourquoi cet accord était la meilleure solution". "Cette décision est bien pire que ce à quoi nous nous attendions et contraire à ce que nous affirmait le gouvernement encore pas plus tard que la nuit dernière", a ajouté le président de la commission des finances au Parlement, Nicholas Papadopoulos."

Le Monde

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pendant ce temps, Jaimie Diamond* crache le morceau:

«Nous bénéficions effectivement du ralentissement de l’économie.» En vantant les bénéfices de sa banque devant un parterre d’investisseurs, 21,3 milliards d’euros en 2012, Jamie Dimon, le patron de JP Morgan, n’a sans doute pas bien mesuré la portée de ses déclarations. Elles ont tout du vendeur de canons contemplant ses caisses remplies par la boucherie d’une guerre des tranchées. Certes, ce ne sont plus les armes, mais la crise qui en Europe comme aux Etats-Unis, emporte les populations. Sur elles pèsent l’explosion du chômage, la baisse de la croissance, et, pire, le transfert de la dette des banques vers les Etats. Quant aux banques, à l’instar de JP Morgan, la vie est belle, elles prospèrent même grâce à la crise dont elles sont elles-mêmes à l’origine." source

(voir le blog de carine)

mais Warren Buffet l'avait déjà souligné: "Le 25 mai 2005, Warren Buffett déclare sur la chaîne de télévision CNN : « Il y a une guerre des classes, où ma classe gagne de plus en plus, alors qu'elle ne le devrait pas » (It's a class warfare, my class is winning, but they shouldn't be)."

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* « On vient juste de heurter l'iceberg. Il n'y a pas assez de canots pour tout le monde...la musique va continuer à jouer...alors autant que vous repreniez du caviar et du champagne. » Confession de Jaime Dimon, président de la JP Morgan lors d'un dîner, le 13 septembre 2008 à New-York, la veille de la faillite officielle de Lehman Brothers. (Cité par Jovanovic, Blythe Masters, 2010)

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13/03/2013

les mystères de la gauche

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Marianne : Vous estimez urgent d'abandonner le nom de «gauche», de changer de signifiant pour désigner les forces politiques qui prendraient à nouveau en compte les intérêts de la classe ouvrière... Un nom ne peut-il pourtant ressusciter par-delà ses blessures historiques, ses échecs, ses encombrements passés ? Le problème est d'ailleurs exactement le même pour le mot «socialisme», qui après avoir qualifié l'entraide ouvrière chez un Pierre Leroux s'est mis, tout à fait a contrario, à désigner dans les années 80 les turlupinades d'un Jack Lang. Ne pourrait-on voir dans ce désir d'abolir un nom de l'histoire comme un écho déplaisant de cet esprit de la table rase que vous dénoncez sans relâche par ailleurs ?

Jean-Claude Michéa : Si j'en suis venu - à la suite, entre autres, de Cornelius Castoriadis et de Christopher Lasch - à remettre en question le fonctionnement, devenu aujourd'hui mystificateur, du vieux clivage gauche-droite, c'est simplement dans la mesure où le compromis historique forgé, au lendemain de l'affaire Dreyfus, entre le mouvement ouvrier socialiste et la gauche libérale et républicaine (ce «parti du mouvement» dont le parti radical et la franc-maçonnerie voltairienne constituaient, à l'époque, l'aile marchante) me semble désormais avoir épuisé toutes ses vertus positives. A l'origine, en effet, il s'agissait seulement de nouer une alliance défensive contre cet ennemi commun qu'incarnait alors la toute-puissante «réaction». Autrement dit, un ensemble hétéroclite de forces essentiellement précapitalistes qui espéraient encore pouvoir restaurer tout ou partie de l'Ancien Régime et, notamment, la domination sans partage de l'Eglise catholique sur les institutions et les âmes. Or cette droite réactionnaire, cléricale et monarchiste a été définitivement balayée en 1945 et ses derniers vestiges en Mai 68 (ce qu'on appelle de nos jours la «droite» ne désigne généralement plus, en effet, que les partisans du libéralisme économique de Friedrich Hayek et de Milton Friedman). Privé de son ennemi constitutif et des cibles précises qu'il incarnait (comme, la famille patriarcale ou l'«alliance du trône et de l'autel») le «parti du mouvement» se trouvait dès lors condamné, s'il voulait conserver son identité initiale, à prolonger indéfiniment son travail de «modernisation» intégrale du monde d'avant (ce qui explique que, de nos jours, «être de gauche» ne signifie plus que la seule aptitude à devancer fièrement tous les mouvements qui travaillent la société capitaliste moderne, qu'ils soient ou non conformes à l'intérêt du peuple, ou même au simple bon sens). Or, si les premiers socialistes partageaient bien avec cette gauche libérale et républicaine le refus de toutes les institutions oppressives et inégalitaires de l'Ancien Régime, ils n'entendaient nullement abolir l'ensemble des solidarités populaires traditionnelles ni donc s'attaquer aux fondements mêmes du «lien social» (car c'est bien ce qui doit inéluctablement arriver lorsqu'on prétend fonder une «société» moderne - dans l'ignorance de toutes les données de l'anthropologie et de la psychologie - sur la seule base de l'accord privé entre des individus supposés «indépendants par nature»). La critique socialiste des effets atomisants et humainement destructeurs de la croyance libérale selon laquelle le marché et le droit ab-strait pourraient constituer, selon les mots de Jean-Baptiste Say, un «ciment social» suffisant (Engels écrivait, dès 1843, que la conséquence ultime de cette logique serait, un jour, de «dissoudre la famille») devenait dès lors clairement incompatible avec ce culte du «mouvement» comme fin en soi, dont Eduard Bernstein avait formulé le principe dès la fin du XIXe siècle en proclamant que «le but final n'est rien» et que «le mouvement est tout». Pour liquider cette alliance désormais privée d'objet avec les partisans du socialisme et récupérer ainsi son indépendance originelle, il ne manquait donc plus à la «nouvelle» gauche que d'imposer médiatiquement l'idée que toute critique de l'économie de marché ou de l'idéologie des droits de l'homme (ce «pompeux catalogue des droits de l'homme» que Marx opposait, dans le Capital, à l'idée d'une modeste «Magna Carta» susceptible de protéger réellement les seules libertés individuelles et collectives fondamentales) devait nécessairement conduire au «goulag» et au «totalitarisme». Mission accomplie dès la fin des années 70 par cette «nouvelle philosophie» devenue, à présent, la théologie officielle de la société du spectacle. Dans ces conditions, je persiste à penser qu'il est devenu aujourd'hui politiquement inefficace, voire dangereux, de continuer à placer un programme de sortie progressive du capitalisme sous le signe exclusif d'un mouvement idéologique dont la mission émancipatrice a pris fin, pour l'essentiel, le jour où la droite réactionnaire, monarchiste et cléricale a définitivement disparu du paysage politique. Le socialisme est, par définition, incompatible avec l'exploitation capitaliste. La gauche, hélas, non. Et si tant de travailleurs - indépendants ou salariés - votent désormais à droite, ou surtout ne votent plus, c'est bien souvent parce qu'ils ont perçu intuitivement cette triste vérité.

Vous rappelez très bien dans les Mystères de la gauche les nombreux crimes commis par la gauche libérale contre le peuple, et notamment le fait que les deux répressions ouvrières les plus sanglantes du XIXe siècle sont à mettre à son compte. Mais aujourd'hui, tout de même, depuis que l'inventaire critique de la gauche culturelle mitterrandienne s'est banalisé, ne peut-on admettre que les socialistes ont changé ? Un certain nombre de prises de conscience importantes ont eu lieu. Celle, par exemple, du long abandon de la classe ouvrière est récente, mais elle est réelle. Sur les questions de sécurité également, on ne peut pas davantage dire qu'un Manuel Valls incarne une gauche permissive et angéliste. Or on a parfois l'impression à vous lire que la gauche, par principe, ne pourra jamais se réformer... Est-ce votre sentiment définitif ?

J.-C.M. : Ce qui me frappe plutôt, c'est que les choses se passent exactement comme je l'avais prévu. Dès lors, en effet, que la gauche et la droite s'accordent pour considérer l'économie capitaliste comme l'horizon indépassable de notre temps (ce n'est pas un hasard si Christine Lagarde a été nommée à la tête du FMI pour y poursuivre la même politique que DSK), il était inévitable que la gauche - une fois revenue au pouvoir dans le cadre soigneusement verrouillé de l'«alternative unique» - cherche à masquer électoralement cette complicité idéologique sous le rideau fumigène des seules questions «sociétales». De là le désolant spectacle actuel. Alors que le système capitaliste mondial se dirige tranquillement vers l'iceberg, nous assistons à une foire d'empoigne surréaliste entre ceux qui ont pour unique mission de défendre toutes les implications anthropologiques et culturelles de ce système et ceux qui doivent faire semblant de s'y opposer (le postulat philosophique commun à tous ces libéraux étant, bien entendu, le droit absolu pour chacun de faire ce qu'il veut de son corps et de son argent). Mais je n'ai là aucun mérite. C'est Guy Debord qui annonçait, il y a vingt ans déjà, que les développements à venir du capitalisme moderne trouveraient nécessairement leur alibi idéologique majeur dans la lutte contre «le racisme, l'antimodernisme et l'homophobie» (d'où, ajoutait-il, ce «néomoralisme indigné que simulent les actuels moutons de l'intelligentsia»). Quant aux postures martiales d'un Manuel Valls, elles ne constituent qu'un effet de communication. La véritable position de gauche sur ces questions reste bien évidemment celle de cette ancienne groupie de Bernard Tapie et d'Edouard Balladur qu'est Christiane Taubira.

Contrairement à d'autres, ce qui vous tient aujourd'hui encore éloigné de la «gauche de la gauche», des altermondialistes et autres mouvements d'indignés, ce n'est pas l'invocation d'un passé totalitaire dont ces lointains petits cousins des communistes seraient encore comptables... C'est au contraire le fond libéral de ces mouvements : l'individu isolé manifestant pour le droit à rester un individu isolé, c'est ainsi que vous les décrivez. N'y a-t-il cependant aucune de ces luttes, aucun de ces mouvements avec lequel vous vous soyez senti en affinité ces dernières années ?

J.-C.M. : Si l'on admet que le capitalisme est devenu un fait social total - inséparable, à ce titre, d'une culture et d'un mode de vie spécifiques -, il est clair que les critiques les plus lucides et les plus radicales de cette nouvelle civilisation sont à chercher du côté des partisans de la «décroissance». En entendant par là, naturellement, non pas une «croissance négative» ou une austérité généralisée (comme voudraient le faire croire, par exemple, Laurence Parisot ou Najat Vallaud-Belkacem), mais la nécessaire remise en question d'un mode de vie quotidien aliénant, fondé - disait Marx - sur l'unique nécessité de «produire pour produire et d'accumuler pour accumuler». Mode de vie forcément privé de tout sens humain réel, inégalitaire (puisque la logique de l'accumulation du capital conduit inévitablement à concentrer la richesse à un pôle de la société mondiale et l'austérité, voire la misère, à l'autre pôle) et, de toute façon, impossible à universaliser sans contradiction dans un monde dont les ressources naturelles sont, par définition, limitées (on sait, en effet, qu'il faudrait déjà plusieurs planètes pour étendre à l'humanité tout entière le niveau de vie actuel de l'Américain moyen). J'observe avec intérêt que ces idées de bon sens - bien que toujours présentées de façon mensongère et caricaturale par la propagande médiatique et ses économistes à gages - commencent à être comprises par un public toujours plus large. Souhaitons seulement qu'il ne soit pas déjà trop tard. Rien ne garantit, en effet, que l'effondrement, à terme inéluctable, du nouvel Empire romain mondialisé donnera naissance à une société décente plutôt qu'à un monde barbare, policier et mafieux.

Vous réaffirmez dans ce livre votre foi en l'idée que le peuple serait dépositaire d'une common decency [«décence ordinaire», l'expression est de George Orwell] avec lesquelles les «élites» libérales auraient toujours davantage rompu. Mais croyez-vous sincèrement que ce soit aujourd'hui l'attachement aux valeurs morales qui définisse «le petit peuple de droite», ainsi que vous l'écrivez ici ? Le désossage des structures sociales traditionnelles, ajouté à la déchristianisation et à l'impact des flux médiatiques dont vous décrivez ici les effets culturellement catastrophiques, a également touché de plein fouet ces classes-là. N'y a-t-il donc pas là quelque illusion - tout à fait noble, mais bel et bien inopérante - à les envisager ainsi comme le seul vivier possible d'un réarmement moral et politique ?

J.-C.M. : S'il n'y avait pas, parmi les classes populaires qui votent pour les partis de droite, un attachement encore massif à l'idée orwellienne qu'il y a «des choses qui ne se font pas», on ne comprendrait pas pourquoi les dirigeants de ces partis sont en permanence contraints de simuler, voire de surjouer de façon grotesque, leur propre adhésion sans faille aux valeurs de la décence ordinaire. Alors même qu'ils sont intimement convaincus, pour reprendre les propos récents de l'idéologue libéral Philippe Manière, que seul l'«appât du gain» peut soutenir «moralement» la dynamique du capital (sous ce rapport, il est certainement plus dur d'être un politicien de droite qu'un politicien de gauche). C'est d'ailleurs ce qui explique que le petit peuple de droite soit structurellement condamné au désespoir politique (d'où son penchant logique, à partir d'un certain seuil de désillusion, pour le vote d'«extrême droite»). Comme l'écrivait le critique radical américain Thomas Franck, ce petit peuple vote pour le candidat de droite en croyant que lui seul pourra remettre un peu d'ordre et de décence dans cette société sans âme et, au final, il se retrouve toujours avec la seule privatisation de l'électricité ! Cela dit, vous avez raison. La logique de l'individualisme libéral, en sapant continuellement toutes les formes de solidarité populaire encore existantes, détruit forcément du même coup l'ensemble des conditions morales qui rendent possible la révolte anticapitaliste. C'est ce qui explique que le temps joue de plus en plus, à présent, contre la liberté et le bonheur réels des individus et des peuples. Le contraire exact, en somme, de la thèse défendue par les fanatiques de la religion du progrès.

source/Marianne


podcast

11/03/2013

divers

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Progressisme

"Comme au Parti Républicain aux Etats-Unis (qui pousse désormais en avant noirs et hispaniques), changement de stratégie en vue au Parti conservateur britannique. Andrew Cooper, conseil en stratégie du premier ministre David Cameron et fondateur de l'institut de sondage Populus a recommandé aux responsables Tories d'infléchir leur politique quant à l'immigration et à la "question raciale". Si 37% des blancs (les statistiques raciales sont légales outre-manche) ont voté conservateur en 2010, ils n'ont été que 16% des non-blancs (surtout des Hindous et des Sikhs, les musulmans asiatiques et noirs votant pratiquement tous à gauche, comme en France). En revanche, les non-Blancs ont voté aux 2/3 pour les travaillistes. Selon Cooper, le vote ethnique risque de faire pencher la balance en 2015 dans au moins 80 circonscriptions où le score serra serré (rappelons que les élections législatives se jouent à un seul tour, le candidat arrivant en tête l'emportant). Il recommande donc de choisir des candidats non-Blancs, nombre de membres des minorités ethniques étant de plus en plus en phase avec la politique morale et sociale des conservateurs, y compris en matière d'immigration, mais interprétant comme raciste la rhétorique du parti conservateur." (Faits et documents1-15/03/2013)

Pour mémoire, du côté travailliste

 "Andrew Neather, qui rédigeait les discours de Tony Blair, Jack Straw et David Blunkett, a fait une révélation de taille, dans l’émission Question Time de la BBC. Il a en effet dévoilé que l’énorme augmentation de l’immigration durant la dernière décennie était une politique délibérée et organisée par les Travaillistes afin de modifier la constitution ethnique de la Grande Bretagne : « Outre les besoins du marché du travail, il y avait également une motivation « politique » derrière la politique d’immigration. [Les ministres entendaient] mettre le nez des conservateurs dans la diversité ». Cet apparatchik de premier rang a précisé que les dirigeants travaillistes avaient opéré secrètement, craignant que cette politique ne perturbe « la classe ouvrière qui est son vivier électoral ». Les vraies raisons, qui figuraient dans les premières versions du rapport Performance and Innovation Unit, rédigé par Downing street, ont été supprimées dans la version finale du document afin de ne pas révéler cette politique délibérée et organisée. Selon lui, « l’immigration de masse était pour le gouvernement le moyen de rendre le Royaume Uni totalement multiculturel. Cette politique délibérée a duré de 2000 au moins jusqu’au mois de mai 2008, date à laquelle on a mis en place le nouveau système de points.» Ce qui a entraîné l’arrivée, selon le think tank Migration Watch, de plus de trois millions de nouveaux immigrés. " (Faits et documents 15-30/11/09)

Suicide

"La Suède (9 millions d'habitants) ayant décidé en juin 2012 de leur accorder systématiquement l'asile, le ministère suédois des migrations s'inquiète de l'afflux de réfugiés syriens, avec 44 000 demandes d'asile en 2012, soit deux fois plus qu'en 2011. Le nombre explose littéralement: +450% sur les 6 derniers mois de 2012. La Suède est le troisième pays européen le plus couru des supposés réfugiés politiques syriens après l'Allemagne (64500) et la France (61200)." (ibid)

Chutzpah

"A peine propulsée au Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA), la journaliste Memona Hintermann-Affejee, qui s'est notamment vue confier la présidence du groupe "diversité" (sic!), a annoncé que cette "diversité" était trés largement insuffisante aussi bien dans le milieu journalistique que dans les émissions et fictions télévisuelles." (Ibid)

"Les noirs qui « encrassaient » leurs rues seront bientôt tous en prison ou dans l’avion. "Nous avons dit aux clandestins du Soudan du Sud de se présenter volontairement ; quiconque ne le fait pas, avec l’aide de Dieu nous les aurons tous (...) ils seront mis dans un avion". Cette déclaration du ministre israélien de l’intérieur faîte sur une chaine indépendante signe le début de la campagne de déportation de masse des immigrés présent sur le territoire des sionistes.

Ainsi, trois jours après qu’un tribunal israélien ait autorisé l’expulsion d’environ 1 500 Sud-Soudanais en situation irrégulière, Yishai sur Channel 2 se félicite : "L’opération d’expulsion est en cours. Nous commençons le travail". Selon le Jerusalem Post qui cite l’autorité de l’Immigration, 22 personnes ont déjà été arrêtées dimanche : huit Sud-Soudanais, trois Nigerians, trois Ghanéens, deux Ivoiriens, trois Srilankais et trois Roumains. Plusieurs centaines de migrants africains sont aussitôt descendus dans la rue dans le sud de Tel-Aviv pour protester, certains appelant l’ONU à intervenir, a indiqué la Chaîne 2. "Un Africain est un être humain", ont ils scandé selon des images de la manifestation.

Pour l’heure, seule l’organisation Human Rights Watch a dénoncé cette situation au combien xénophobe. Concernant cette loi votée en début d’année, qui autorise à détenir 3 ans durant sans qu’ils soient jugés, les immigrants clandestins en Israël, l’organisation Human Rights Watch a appelé dimanche l’entité sioniste à l’amender. Cette loi "punit ceux qui recherchent l’asile en pénétrant illégalement en Israël, en contravention avec les droits fondamentaux" de l’Homme, affirme l’organisation basée à New York dans un communiqué. La loi, qui permet "l’arrestation d’immigrants clandestins et leur détention sans jugement ni la possibilité d’être représentés par un avocat pour une période indéfinie", doit "être immédiatement amendée", insiste HRW." source/ E et R

http://www.prorussia.tv/Voix-de-la-Russie_r7.html

une idée du chaos?

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04/03/2013

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03/03/2013

rip

Il y a eu beaucoup d'autres beaux combats comme celui-ci. Vraiment un grand boxeur cet homme. Et dire que BHL est toujours en vie. Ce monde est mal fait, assurément.

01/03/2013

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Add: je vous laisse quelques jours en compagnie de Kate U. Soyez sages.