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30/09/2012

ami-ennemi

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« Jean-François Copé se met à parler de racisme anti-blanc alors qu'il a toujours - en tant

qu'homme de la droite dite "républicaine" - condamné le Front National de la manière la plus solennelle précisément parce qu'il parlait de racisme anti-blanc. Jean-François Copé est d'une obscénité et d'un cynisme sans fond, c'est une affaire sur laquelle on ne devrait plus revenir.

J'ai vu la comédie française "Case Départ" sur la traite négrière. Les méchants y sont tous blancs et leurs victimes sont noires et juives. Ce qui m'a frappé, au-delà de la déformation historique, c'est la façon dont les esclavagistes sont représentés. Tous horribles physiquement, pas simplement désagréables non, particulièrement hideux, un peu comme les caricatures de Juifs à l'époque de la propagande nazie.

Christiane Taubira, ministre de la Justice, a affirmé "Il ne faut pas trop évoquer la traite négrière arabo-musulmane pour que les «jeunes Arabes» «ne portent pas sur leur dos tout le poids de l'héritage des méfaits des Arabes».". Dans le même temps elle est une militante de la mémoire de l'esclavage occidental imposée aux jeunes Français de souche.

Rokhaya Diallo, une jeune femme animatrice d'une émission sur La Chaîne Parlementaire - chaîne publique - a affirmé sur twitter que Mme. Taubira avait raison car comme nous sommes en France, nous devons parler de l'esclavage en rapport avec la France. Seulement Rokhaya Diallo milite aussi pour "adapter" les programmes scolaires à la nouvelle réalité française, aux Français d'origines africaines, en oubliant un peu nos Rois pour parler de leurs ancêtres. Mais pas de leurs ancêtres esclavagistes. Remplacer l'histoire des Français de souche par celle des Arabes, sauf quand cette dernière n'est pas glorieuse, donc. Pile je gagne, face tu perds.

Ségolène Royal a dit que Najat Vallaud-Belkacem "ne serait peut-être pas là où elle est si elle s'appelait Claudine Dupont". Jean-Luc Mélenchon écrit sur son blog "la couleur de peau : partout dominait en profondeur ce superbe marron que montrent les plus beaux êtres humains". Pour Yves Jégo, député UMP, le racisme anti-blanc est "une réalité que ne constate aucun Français de bonne foi". Pour Dominique Sopo, ex-président d'SOS-racisme, "le racisme anti-blanc est une notion forgée par le FN". Omar Djellil, ancien membre d'SOS-Racisme, affirme lui que le bureau national de l'association demande à ses membres de ne pas traiter les affaires dont les victimes sont blanches.

Le Figaro écrit "Il est difficile de savoir si un racisme antiblanc progresse parce qu’il n’existe aucun chiffre le mesurant", sans se demander pourquoi le FN progresse sans cesse. Le Monde titre "Comment l’extrême droite a fait du «racisme anti-blanc» une arme politique", j'ai cherché et ils n'ont en revanche jamais écrit d'article qui s'appellerait "Comment la gauche a fait du «racisme» une arme politique", de Julien Dray à Harlem Désir. Beaucoup disent que parler de racisme anti-blanc c'est en appeler au vote racial, c'est faire un grand signe communautariste. Personne ne dit que parler de racisme blanc contre les immigrés depuis 30 ans c'est appeler au vote racial, c'est faire un grand signe communautariste. On dit que parler de racisme anti-blanc est grave car le racisme ne se divise pas, mais on dissocie volontiers "racisme et antisémitisme".(…) Xyr

Xyr parle d’or, comme souvent.

Je trouve intéressant de constater que, ce faisant, il se place lui aussi dans une logique communautaire. Je veux dire par la que Xyr est l'héritier qu’il le veuille ou non d’une évolution philosophique longue –et propre à l’Occident et à l’Europe en particulier- du communautarisme vers l’individualisme, c’est-à-dire l’atomisation du corps social et l’anomie. Nous, européens, engagés depuis plus de mille ans dans cette transformation métapolitique profonde sous l’effet du Christianisme d’abord, puis du nominalisme (Occam), du Cartésianisme, des Lumières et de la révolution française, nous retrouvons en porte-à-faux devant ce fait communautaire archaïque qui resurgit à cause de mouvements migratoires de grande ampleur et en un temps trés court sur notre sol. En porte-à-faux car c’est au moment ou l’anomie et l’atomisation du corps social a gagné l'essentiel de nos sociétés (c’est-à-dire en fait la disparition du fait communautaire européen de souche) que nous nous trouvons confrontés à une immigration de masse et de remplacement dont le trait principal est la nature traditionnelle (ie communautaire) des populations concernées, donc profondément étrangères sinon hostiles à la modernité occidentale faite d’autonomie et de désintégration sociale.

Il ne fait aucun doute pour moi que si les européens avaient gardé un minimum de conscience communautaire (c’est-à-dire culturelle et ethnique), jamais ils n’auraient accepté cette submersion migratoire aussi tranquillement. Jamais ils n’auraient accepté de voir mourir leur culture, leur langue, leurs traditions, leur cosmogonie, leur monde sans réagir, sans se battre. Plus encore, jamais l’on a vu des hommes et des femmes participant consciemment et activement à la dissolution de leur propre culture, de leur propre peuple, sorte d’ethno-masochisme unique dans l’histoire de l’humanité (Faye). Ce qui est fait est fait, on ne revient pas sur mille ans d’évolution historique et philosophique comme ça. Autant demander aux néo-européens d’origine musulmane (au sens civilisationnel du terme) de faire un chemin aussi long en une ou deux générations : impossible (si tant est qu’il soit possible, l’islam n’étant pas le christianisme).

Les européens de souche sont donc placés dans une situation impossible : confrontés d’un côté (comme le souligne Xyr) à la violence d’un communautarisme étranger sur leur sol (à l’irruption du fait identitaire allogène) et sommés de l’autre, par leur culture propre de moderne et par leurs "élites" –nous y reviendrons- à abandonner toute référence identitaire propre, à dissoudre tout sentiment communautaire (les « français de souche n’existent pas »). Tout leur ADN libéral (au sens philosophique du terme –cf supra) les poussant à répudier le moindre attachement culturel sinon familial ou communautaire, la moindre affiliation verticale (ascendants, descendants) ou horizontale (communauté, famille, corps sociaux) alors que leur environnement quotidien (géographique, humain, politique, culturel) est jour après jour envahi par le fait communautaire étranger particulièrement résilient.

Quid de nos « élites » ?

Dans le post précédent, j’évoquais le jeu pervers de ces ploutocrates de « gauche » comme de « droite » qui célèbrent la République-qui-ne connaît-que-des-citoyens chère à Clermont-Tonnerre un jour, et le lendemain intriguent pour rentrer dans une quelconque loge maçonnique, s’aplatissent devant le communautarisme gay ou juif (repas annuel du CRIF). Le jeu pervers de ces bons apôtres pseudo-républicains du MRAP, de SOS-MACHIN ou de la LICRA prompts à encourager le moindre communautarisme pourvu qu’il ne soit pas européen, pourvu qu’il ne soit pas blanc, pourvu qu’il ne soit pas catholique. Doublement traîtres : traîtres aux peuples qu’ils sont censés représenter car oeuvrant jour après jour à leur disparition culturelle, spirituelle et même physique, et traîtres à l’idéal qu’il affectent de porter par leur travail méthodique de destruction des fondements et de la démocratie et de la république.

« Andrew Neather, qui rédigeait les discours de Tony Blair, Jack Straw et David Blunkett, a fait une révélation de taille, dans l’émission Question Time de la BBC. Il a en effet dévoilé que l’énorme augmentation de l’immigration durant la dernière décennie était une politique délibérée et organisée par les Travaillistes afin de modifier la constitution ethnique de la Grande Bretagne : « Outre les besoins du marché du travail, il y avait également une motivation « politique » derrière la politique d’immigration. [Les ministres entendaient] mettre le nez des conservateurs dans la diversité ». Cet apparatchik de premier rang a précisé que les dirigeants travaillistes avaient opéré secrètement, craignant que cette politique ne perturbe « la classe ouvrière qui est son vivier électoral ». Les vraies raisons, qui figuraient dans les premières versions du rapport Performance and Innovation Unit, rédigé par Downing street, ont été supprimées dans la version finale du document afin de ne pas révéler cette politique délibérée et organisée. Selon lui, « l’immigration de masse était pour le gouvernement le moyen de rendre le Royaume Uni totalement multiculturel. Cette politique délibérée a duré de 2000 au moins jusqu’au mois de mai 2008, date à laquelle on a mis en place le nouveau système de points.» Ce qui a entraîné l’arrivée, selon le think tank Migration Watch, de plus de trois millions de nouveaux immigrés. » (Faits et documents 15-30/11/09)

Les habitués d’Hoplite connaissent ce court extrait de la lettre d’E Ratier, mais il est tellement explicite quant à la mentalité des ces « élites » qu’il faut y revenir : la France traditionnellement assimilationniste n’est pas le Royaume-Uni, multiculturel, certes, mais ce passage révèle clairement la volonté non seulement de satisfaire aux oukases du capitalisme globalisé (en l’occurrence, le site UK) d’une main d’œuvre bon marché et autrement corvéable que les britanniques de souche (ayant le tort d’être encore syndiqués et exigeants…) , mais encore la volonté délirante de transformer ethniquement un peuple pour le rendre conforme aux dogmes multiculturels du moment et sans le moindre mandat…on croit rêver ! hé bien non, c’est vrai. Et aucun doute à mon avis que le pauvre Neather dispose de clones dans notre beau pays et partout ailleurs, prêts eux aussi, à trahir la volonté populaire et à jouer les apprentis sorciers aux petits pieds.

On en revient donc à la conclusion du post précédent : compte-tenu de l’évolution propre de nos systèmes politiques désormais en pilotage automatique (loin de tout audit populaire) ou soumis aux mêmes politiques suicidaires (de notre point de vue) quant à la survie des peuples européens, il est urgent de penser notre avenir et nos vies en marge de ce système c’est-à-dire penser en termes d’autonomie et de communauté. J’y reviendrai.

noël

29/09/2012

sopranos

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"Après que les USA et l’Union européenne aient révoqué l’embargo en 2004, des dizaines de banques et sociétés financières étasuniennes et européennes affluèrent en Libye. Parmi lesquelles Goldman Sachs, une des plus grandes banques d’investissement du monde, dont le siège principal est à New York. Dans la première moitié de l’année 2008, l’Autorité libyenne d’investissement lui confia 1 milliard et 300 millions de fonds souverains (capitaux de l’État investis à l’étranger). La banque Goldman Sachs les investit dans un panier de valeurs et en actions de six sociétés : l’étasunienne Citigroup Inc., la banque italienne Unicredit et l’espagnole Santander, la compagnie allemande d’assurances Allianz, la compagnie énergétique française Électricité de France et l’italienne Eni. 

Un an après, Goldman Sachs communiqua à l’Autorité libyenne qu’à cause de la crise financière, le fonds libyen avait perdu 98 % de sa valeur, les 1 milliard et 300 millions se réduisant à 25 millions de dollars. Les responsables de l’Autorité libyenne, furieux, convoquèrent à Tripoli le responsable de Goldman Sachs pour l’Afrique du Nord. 
La rencontre fut turbulente, si bien que Goldman Sachs évacua précipitamment ses employés de Tripoli, craignant qu’ils ne fussent arrêtés. Comme la Libye menaçait d’intenter un procès qui aurait compromis la réputation de la banque aux yeux d’autres investisseurs institutionnels, Goldman Sachs lui offrit en dédommagement des actions privilégiées de la banque elle-même. Mais les Libyens étant à juste titre soupçonneux, l’accord ne fut pas signé. 
Restait ainsi ouverte la possibilité, redoutée par Goldman Sachs, que l’Autorité libyenne n’entreprit un procès international. 
Des cas analogues de « mauvaise administration de l’argent libyen » sont rapportés par une enquête publiée par le New York Times . Par exemple, la société Permal —unité de Legg Mason, une des principales sociétés de gestion d’investissements, dont le siège est à Baltimore— a administré 300 millions de dollars de fonds souverains libyens, qui ont perdu 40 % de leur valeur entre janvier 2009 et septembre 2010. En compensation, Permal a perçu 27 millions de dollars pour ses prestations. 
Même chose pour d’autres banques et sociétés financières, comme la hollandaise Palladyne, la française BNP Paribas, la britannique HSBCet le Crédit Suisse. 

L’Autorité libyenne menaçait d’entreprendre contre elles des actions judiciaires internationales, qui auraient endommagé l’image de ces « prestigieux » organismes financiers. Le tout s’est résolu de façon heureuse quand, en février dernier, États-Unis et Union européenne ont « gelé » les fonds souverains libyens. Leur « surveillance » a été confiée à ces mêmes banques et sociétés financières qui les avaient si bien gérés.
Et du vol on est passé à la rapine à main armée quand la guerre a commencé, en mars. À l’abri des chasseurs-bombardiers de l’OTAN, HSBC et d’autres banques d’investissement ont débarqué à Benghazi pour créer une nouvelle « Central Bank of Libya », qui leur permettra de gérer les fonds souverains libyens « gelés » et les nouveaux qu’ils tireront de l’exportation des hydrocarbures. Cette fois, sans aucun doute, en obtenant de forts rendements." (source/Wall Street Journal via LIESI)

alors Jennifer?

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 « Les sociétés occidentales sont au prise avec une élite qui leur est hostile.

Ce site a pour mission de créer des débats et d’éveiller les consciences à propos de l’avenir des peuples occidentaux et d’héritage européenne.

Le système idéologique dans lequel nous vivons repose sur des politiques qui remettent en question notre avenir. Cette élite hostile globalisée encourage la dissolution des nations occidentales. Notre manque de cohésion ethnique constitue notre talon d’achille : un groupe désorganisé et apathique, même majoritaire, est moins puissant qu’une minorité hautement organisée, cohésive et poursuivant ses intérêts.

  • L’immigration sert à nous remplacer biologiquement.
  • La promotion du multiculturalisme, de la diversité  et du métissage servent à accélérer le processus qui fera de nous une minorité parmi tant d’autres.
  • Les médias de masse participent à l’instauration d’une idéologie où la cohésion nationale est diabolisée ou ridiculisée.
  • L’art et la culture font l’éloge du laid.
  • L’anti-racisme neutralise toute forme de contestation envers notre dépossession.
  • Le sentiment de culpabilisation permanent instaure l’idée d’une faillite morale de l’Occident, nous faisant croire que nous méritons notre dépossession.
  • En somme, les peuples occidentaux sont atteints d’une sorte de sida mental qui a neutralisé leur mécanisme de défense."

(...) Le multiculturalisme contient une négation en sa propre essence. Il protège le droit de groupe des populations non-occidentales tout en refusant la nation hôte occidentale l’exercice de ces droits de groupe à sa propre population. La culture de la population hôte est perçue comme étant un site neutre caractérisée par la disposition des droits individuels, qui s’appliquent à tous, et des droits des groupes, qui ne s’appliquent qu’aux populations non-blanches.

Les peuples fondateurs Anglais et Français sont mandatés d’être neutres au point de vue ethnique et d’être désintéressé au niveau historique; ce déracinement permet la défense de certaines valeurs rattachées à « l’humanité » toute entière.

Alors que les idéologues multiculturalistes reconnaissent implicitement que les minorités ont un fort sentiment d’attachement envers leurs origines ethniques, et que ceci démontre que les humains ont en effet un amour naturel envers leur héritage leur origine ethnique, ils appellent néanmoins aux groupes des populations blanches à devoir pratiquer une amnésie historique et prétendre qu’ils ne sont pas les créateurs des institutions canadiennes, des traditions parlementaires et de la Common Law. Le fait historique que le Canada ait été construit en tant qu’État-nation autour d’un noyau ethnique doit être mis de côté et caché aux étudiants.

Le manque de cohésion d’une culture nationale au Canada est démontrée comme un trait positif. L’héritage des Anglais et des Français n’équivaut à rien de plus qu’un ensemble de règles de procédures et de modèles institutionnels : l’économie de marché, l’égalité devant la loi, et une représentation démocratique qui appartient à tout le monde. Les minorités ethniques, quant à elles, défendent les traditions authentiques célébrées pour leurs couleurs et leurs vibrances.

Nos honorables élites travaillent fort à « exposer » les activités coloniales des premiers arrivants, la pratique de leur idéologie prônant la « suprématie blanche » pour construire l’État-nation, l’imposition de la taxe d’entrée pour les Chinois (Chinese Head Tax), leurs lois anti-migratoires en provenance d’Asie, et l’existence continuelle d’une « majorité historique dominante ». Nos élites se dépeignent en tant que libérateurs qui font ressortir des histoires oubliées et supprimés des minorités ethniques tout en apportant des corrections à « la mythologie » qui laisserait croire que ce sont les blancs qui ont construit le Canada.

La haine pour les Blancs qui poursuivaient leurs intérêts ethniques en construisant un Canada traditionnel est palpable. L’idéologue multiculturaliste, Prof.Henry Yu, reçoit d’importantes bourses afin d’entretenir sa haine (« Le Canada est ‘systématiquement raciste’ et doit assumer des réparations historiques par l’acceptation d’une immigration massive du monde non-occidental »). Évidemment, Yu ne mentionne jamais qu’il est lui-même en train de poursuivre des intérêts ethniques en faisant la promotion de son ethnie afin de remplacer le Canada « blanc ».

(...) Pourquoi les blancs sont-ils le seul peuple de la planète duquel on s’attend à ce que la diversité et l’immigration massive soient acceptées? Pourquoi tout le monde suppose que la fierté, la loyauté et le sentiment d’affection avec l’héritage européen du Canada sont incompatibles avec les valeurs des démocraties libérales que les Européens ont développées? »  source/blog Identitas

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A mon avis, un blog et une réflexion sur l'essence du "multiculturalisme", c'est-à-dire de la promotion de sociétés fondées sur l'hypothèse d'une coexistence pacifique sur le même territoire de communautés étrangères les unes aux autres, bien intéressants.

J'ai toujours pensé que le modèle français assimilationniste (largement issu du centralisme étatique de la monarchie capétienne alliée à la bourgeoisie montante sur les ruines du système féodal et consolidé -notamment- sous Louis XIV et Colbert puis sous le premier Empire) devait rester la règle dans ce pays.

Force est de constater que les forces qui s'opposent à ce modèle et promeuvent la dissolution de l’Etat-Nation en tant que communauté ethniquement et culturellement homogène sont désormais incomparablement plus puissantes que celles qui luttent pour préserver ce modèle traditionnel et éprouvé. Cela ne signifie bien sûr pas que les jeux sont faits (l’histoire n’est pas écrite, redisons-le) mais qu’il faut absolument intégrer à notre réflexion cette perspective (bien décrite implacablement par quelques démographes honnêtes et aussi par Aymeric Chauprade) qu’à court ou moyen terme, les européens de souche porteurs d’une identité singulière et millénaire (irréductible à la world culture totalisante promue par l’essentiel du barnum parasitaire politique,culturel et médiatique globalisé) puissent n’être bientôt qu’une communauté parmi d’autres sur leur propre sol.

Dans cette perspective de combat, il est crucial de comprendre le jeu pervers de l’hyperclasse mondialisée mais surtout européenne et occidentale. Pervers car constamment hostile aux intérêts premiers des autochtones européens sur leur sol. Et constamment favorable -dans une logique ethno-masochiste délirante- à la prise de contrôle des pouvoirs politiques, culturels, universitaires, médiatiques, etc. par des individus qui sont majoritairement hostiles à la survie de notre culture européenne et même des peuples européens indigènes.

photo: chacun sait bien que c'est Jennifer, une femme européenne, blanche et blonde, qui est responsable de la faillite des régimes sociaux français. Un exemple parmi d'autres.

addendum: illustration complémentaire (qui se cache derrière le financement de politiques sociales dans les ghettos afro-maghrébins français?)


podcast

25/09/2012

cohérence normale

 

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« Hollande exhorte l'ONU à «agir vite» »

 

« La France accepte les 50 millions du Qatar pour aider les banlieues »

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« Les conflits menés par les USA depuis 2001 225.000 morts, 3.700 milliards de dollars

01.07.2011

Les conflits dans lesquels les Etats-Unis se sont engagés depuis le 11-Septembre ont provoqué la mort d'au moins 225.000 personnes et entraîné un coût d'au moins 3.700 milliards de dollars, selon une étude américaine publiée cette semaine par l'université Brown.Les chercheurs, dirigés par les Pr Neta Crawford et Catherine Lutz, se sont penchés sur les guerres en Irak, en Afghanistan ainsi que sur la campagne antiterroriste menée au Pakistan.Selon eux, "une estimation extrêmement prudente du bilan des victimes directes de ces guerres s'élève à ce stade à 225.000 morts et environ 365.000 blessés".Le nombre de soldats tués est ainsi de 31.741 selon ce rapport, dont environ 6.000 Américains, 1.200 soldats alliés, 9.900 Irakiens, 8.800 Afghans, 3.500 soldats pakistanais ainsi que 2.300 membres de sociétés militaires privées.Les civils paient le plus lourd tribut: 172.000 morts (125.000 Irakiens, 35.000 Pakistanais et 12.000 Afghans).Les chercheurs n'évaluent en revanche qu'entre 20.000 et 51.000 le nombre total d'insurgés éliminés.Quelque 168 journalistes et 266 travailleurs humanitaires ont par ailleurs été tués depuis que les Etats-Unis se sont engagés dans ces pays dans la "guerre contre le terrorisme".Ces conflits ont engendré un flot massif de réfugiés et de personnes déplacées de plus de 7,8 millions de personnes, surtout en Irak et en Afghanistan.Le coût cumulé de ces guerres est faramineux si l'on en croit cette étude: au minimum 3.700 milliards de dollars, ce qui représente le quart de la dette américaine.Ces coûts représentent aussi bien les budgets consacrés aux opérations par le Pentagone, que les dépenses supplémentaires pour le département de la Sécurité intérieure occasionnées par la lutte antiterroriste et la protection du territoire américain.Ils comprennent également les prévisions de dépenses fédérales jusqu'en 2051 pour les anciens combattants américains rendus invalides au cours de ces guerres et les budgets du département d'Etat et de l'Agence américaine d'aide au développement (USAID) liés à ces conflits. » source

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Mais l'urgence, c'est de faire tomber Assad, on le comprend bien. Ou de serrer la main au parti de l'étranger-qui-finance-nos-banlieues...

vivre ensemble

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photo: le.22LR, 9mm, .38SPL, .357MAG, .223 et le .308 sont des calibres répandus dans le monde.

"Pour le survivaliste, les munitions sont souvent la base de l'organisation "arme a feu".

Le choix d'une arme, et que celle-ci soit pour la protection personnelle ou la chasse, devrait dans un cadre survivalistique se baser sur des critères qui anticipes une autonomie des plus radicale quand a la possibilité d'utiliser nos armes. Les critères d'une arme axés sur la survie et l'indépendance, sont alors d'une arme qui devrait exhibée certains attributs piliers tels que robustesse et fiabilité par exemple, mais aussi et surtout, un calibre et une munition adaptée a un monde difficile pouvant faire pression sur la disponibilité d'un matériel particulier. Pénurie, confiscation, interdiction, inflation, arrêt totale de la fabrication…sont autant de pressions sur la sphère des munitions, qui a court, moyen ou long terme selon les cas pourraient faire que nos armes soient inutilisables. Les lois prohibitives concernant certains calibres, sont un exemple pertinent d'une manière indirecte utilisée par nos gouvernements pour limiter nos libertés et donc notre indépendance, et le survivaliste devrait se pencher sérieusement sur l'organisation de ses munitions avant qu'il ne soit trop tard.

1- Nature et attributs : la nature, et les attributs d'une munition survivalistique, se base essentiellement sur deux critères.

a) Disponibilité : la disponibilité est sans aucun doute ici le critère le plus important, et le survivaliste devrait choisir des calibres répandus et reconnus dans le monde entier. Non seulement cette disponibilité garantie une fabrication continue et un cout plutôt stable quand tout va bien, mais elle suppose aussi de pouvoir plus facilement trouver, troquer ou vendre cette munition quand tout va mal. Les calibres les plus utilisés et répandus dans le monde sont généralement d'un terrain militaire, et la liste ci-dessous me semble être une base propice au survivalisme, même si il me parait évident que d'autres calibres peuvent être extrêmement pertinent dans certains pays.

 Armes de poing;

- .22LR.

- 9mm

- .357MAG / .38SPL

- .45ACP

Fusil de chasse;

- Calibre 12, 16 et 20.

Canon long;

- .22LR.

- .223 REMINGTON / 5.56 x 45mm NATO

- 7.62 x 39mm

- .308 WINCHESTER / 7.62 x 51mm NATO

- .30-06 SPRINGFIELD / 7.62 x 63mm

Limiter notre armement a ces calibres, nous permet de concentrer notre budget sur l'acquisition de systèmes pertinents, adaptés et complets. Je préférerai n'avoir q'une seule arme de poing dans un calibre répandu tel que le 9mm par exemple, mais avoir 200 heures d'un entrainement professionnel poussé et ciblé avec un stock de munition solide et prévoyant, plutôt que d'avoir 5 armes de poing de calibres différents, aucun entrainement, et un stock réduit de munitions.

b) Caractéristiques :  une munition adaptée a la survie, est avant tout une munition qui offre le plus d'avantages, et ceci dans le maximum de catégories possibles. Prix, construction, fiabilité et efficacité, sont des caractéristiques importantes tant pour nos armes a feu que pour les munitions qui les rendent opérationnelles…et ceci est encore plus pertinent au sein d'une situation dramatique, ou un fonctionnement défectueux ou un manque d'efficacité au niveau de l'arme et/ou des munitions est inacceptable. Chaque arme a feu étant d'une "personnalité" différente (surtout les pistolets semi-auto et les armes de calibres .22LR), il est impératif de tester les munitions choisies. Mon Ruger MKIII par exemple, déteste les munitions de chez Remington, mais excel avec les CCI mini-mag. Avant de casser la tirelire et d'acheter 1000 munitions d'une marque spécifique, assurez-vous de pouvoir tester environs 50 cartouches. Un fonctionnement défectueux sur 50 est peut être passable pour vous, mais pour moi ce taux est tout simplement dangereux…et pour être sur qu'il n'était pas question d'une défaillance d'un chargeur ou de l'arme, il me faut alors re-tester 50 cartouches. Je témoigne malheureusement trop souvent d'une organisation de la protection personnelle qui se base sur l'achat d'une arme a feu et de 2 ou 3 boites d'une munition bon marché, sans jamais tester le système.

Personnellement, si je n'ai aucune autre solution que d'engager un individu avec mon arme pour sauver ma vie ou celle de mon épouse par exemple, il me parait logique d'avoir au préalable prit le temps de tester mon système, et de m'être assuré d'un fonctionnement optimal de l'arme, mais aussi des munitions. Des lors, nous pouvons voir apparaître 2 catégories grossières de munitions. L'une tend a des caractéristiques répondants a un besoin d'entrainement régulier et des possibilités de stockage importantes avec un cout réduit, et l'autre tend a des caractéristiques répondants a un besoin d'efficacité et de fiabilité qui reflète une situation ou la défense personnelle est une priorité. Chaque calibre, chaque munition est alors de deux sphères. Une sphère que nous pourrions designer "d'entrainement", et une sphère dite "spécialisée". Les munitions d'entrainement sont tout simplement d'une fabrication honnête selon les marques, et d'un prix peu élevé. "Ball" ou "Full Metal Jacket" sont principalement de cette catégorie, et cette munition permet un stockage important et un entrainement continu sans pour autant avoir a vendre le chien aux enchères. Les munitions spécialisées sont elles de caractéristiques qui les rendent extrêmement efficaces et fiables, mais qui sont d'un prix beaucoup plus élevé, rendant le stockage difficile car couteux. Stocker 10 000 munitions spécialisées pour une arme comme le .357MAG, a environs $1.20 de l'unité me semble pour la plupart d'entre nous d'un budget exotique…et il est a mon humble avis hors de question de poursuivre un entrainement soutenu avec ce genre de munition.

2- Quantité : la question de la quantité de nos stocks de munitions est souvent de discussions longues et récurantes…et pour cause, car cette organisation est couteuse, et d'un point de vue prioritaire, souvent discutable.

Même si l'eau, la conservation de l'énergie, la nourriture et l'hygiène sont par exemple indéniablement des priorités physiologiques que nous ne pouvons remettre en question, un stock de munition solide est lui beaucoup plus difficile a justifier dans ce contexte. Pour faire simple, il me semble que si l'arme est présente au sein de nos organisations, elle mérite alors d'être d'une logistique sérieuse. Si l'arme n'est pas présente, il me faudrait quand même chuchoter la pertinence d'investir (les munitions sont un investissement pertinent!) au moins dans des munitions de .22LR. Puisque nous sommes a parler du .22LR, a environs $0.05 de l'unité, ce calibre répandu dans le monde entier offre un rapport qualité/efficacité/disponibilité/cout imbattable. Nos stocks de .22LR devraient être d'un minimum de 10 000 munitions variées.Pour les armes de poing, une autre "règle de 3" permet une balance entre utilisation et inventaire intéressante.

1 munition d'entrainement pour l'entrainement.

1 munition d'entrainement pour le stockage.

1 munition spécialisée "coupée" en 3, avec 1/3 pour l'entrainement, et 2/3 pour le stockage.

Cette formule est intéressante, car elle repose sur une logistique qui prend en compte un entrainement discipliné et varié, mais aussi un stockage adapté. Pour chaque boite de 50 munitions d'entrainement que nous achetons, nous achetons une deuxième boite (stockage), et une boite de 50 munitions spécialisées. Pour ce qui est de la quantité du stock des munitions pour nos armes de poings, il n'y a aucune limite! Certains diront 1000 pour chaque calibre, d'autres 500 et d'autres encore 20 000…pour nous, ce stock est un investissement qui ces dernières années aura rapporté autant que notre Argent metal…et si il y a besoin, nous pouvons vendre une partie du stock, puisque les munitions d'un calibre répandu seront toujours, et ceci quoi qu'il arrive, d'une valeur des plus sure. Un minimum confortable serait cependant de 500 munitions par calibre, et ceci d'une formule 2/3 entrainements, 1/3 spécialisées.

Pour les munitions de chasse, un stock de 500 munitions variées me semble suffisant. Ces munitions prennent de la place, et a dire vrai, nous avons chassé pendant des milliers d'années avec un grand succès sans cet outil, et le piégeage devrait en cas de crise sur le long terme reprendre sa place…cette méthode étant tellement efficace qu'elle est aujourd'hui plus ou moins interdite dans la plupart de nos pays. 500 munitions devraient suffire a cette transition.

Les munitions d'armes longues, pour ne pas dire "de guerre" puisque cette appellation est politiquement et socialement douteuse et mène invariablement a une confiscation ou une interdiction de la part de nos gouvernements, sont elles un peu plus difficiles a juger. Personnellement, un stock de 1000 munitions par arme reste un minimum, et il ne fait aucun doute que le rôle de cet outil au sein de nos foyers est bien plus important qu'un simple moyen de défendre notre famille.

3- Stockage et conservation : les munitions, si elles sont stockées dans un endroit sec, et qu'elles ne sont pas manipulées avec nos mains (graisse et huiles) trop souvent, se gardent des années…et seront encore utilisables bien après notre propre expiration. Inutile ici de faire compliquer et d'utiliser des moyens de conservations tels que le sous-vide ou la protection par la graisse. Une simple "boite militaire" en plastique ou en metal hermétique avec quelques sachets de dessicants a l'intérieur pour absorber l'humidité est suffisant pour assurer la longévité des munitions a l'intérieur de nos domiciles. Pour ce qui est du stockage a proprement parler, un effort de décentralisation me semble comme d'habitude être une bonne idée, ainsi que la mise en place de coffres forts pour sécuriser notre investissement, et limiter l'accès aux enfants, aux invités, ou a ceux la qui persévères a manger sur notre dos.

4- La fabrication : pour ceux la qui sont au stand de tir 2 fois par semaine par exemple, fabriquer ses propres munitions devient tôt ou tard une organisation financière qui a du sens. Quand bien même (salut Canis) le cout d'une telle installation est assez élevé, et que certaines régulations doivent être prises en compte (quantité de poudre pouvant être stockée par exemple), a la longue, nous économisons énormément d'argent. Pour le survivaliste, la mise en place d'un moyen autonome de fabrication des munitions est sans aucun doute intéressant, même si ce système implique certaines contraintes telles qu'une impossibilité de transporter et donc d'évacuer ce matériel en cas de menace direct du domicile par un risque quelconque.

Au final, les munitions devraient être d'une compréhension qui va bien au delà d'un simple matériel spécialisé. Les munitions sont aussi un investissement a part entière, pouvant être utilisées comme méthode d'échange comme il est toujours le cas durant une situation difficile, ou comme nous utilisons certains métaux, pour limiter l'impact de l'inflation sur notre pouvoir d'achat par exemple. Les munitions devraient aussi être un paramètre primordiale quand a nos choix d'armes. Les munitions les plus vendues et les plus polyvalentes au monde, restent les plus pragmatiques dans un univers survivalistique.

Au passage, le calibre de chasse le plus vendu au monde dans la catégorie "gros gibier" est le 30-06 Springfield. La compagnie Federal, offre a elle seule plus de 20 charges différentes dans ce calibre." source/le survivaliste

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Rien à dire, toujours complet l'ami Volwest. Hormis le fait qu'en Europe, la munition de chasse "canon long"/ tir longue distance la plus répandue (donc intéressante dans cette réflexion survivaliste) est le calibre 7*64. A privilégier donc, en complément des calibres types comme le 22LR, le 9mm et le cal 12. Les néophytes trouveront peut-être cela un peu compliqué, en fait non, les calibres usuels sont peu nombreux (cf ci-dessus), et l'idéal pour se familiariser avec la pratique des armes à feu et le choix de ses munitions reste l'inscription dans un club de tir qui permet aprés une séance de tir contrôlé la délivrance d'une licence ouvrant droit à l'achat d'armes de 5eme catégorie (cal 12, 22LR et 7*64 par exemple), largement suffisant en cas de gros temps. Si on veut plus (autres calibres, armes de poings), il faut plus de temps (au moins 6 mois pour avoir un carnet de tir rempli) et se plier à un cursus administratif plus complexe mais trés faisable en moins d'un an). Passer le permis, c'est bien (on y apprend beaucoup de choses sur les armes, le gibier, l'environement et la réglementation), mais plus long et débouche sur la même autorisation d'achat et de détention d'armes de 5ème catégorie. 

La première fois que j'ai mis les pieds dans un club de tir (aprés avoir chassé des années et appris le maniement d'un cal 12 sur le terrain), je m'attendais à rencontrer Clint Eastwood...en fait, non, que des gens tranquilles, passionnés et cools, rien à voir avec l'image toute faite du cow-boy qui défouraille à tout va...Des pépés qui débarquent avec un Mauser ou une Mosin, des filles qui sortent un Glock 19 et qui s'en servent bien, des indécrottables de la 22lr (pour de bonnes raisons, souvent), bref un petit monde tranquille et bien sérieux. A mon avis indispensable vu le cours des choses.

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sans commentaire. Ou plutôt, on comprend désormais que le redressement productif de ce pays passera pas le Qatar ou les saoudiens...avec la bénédiction de nos élites républicaines. N'importe quoi, doit y avoir le feu comme il faut.

"LES ETATS-UNIS VONT ACHETER L'EUROPE AVEC LA PLANCHE A BILLETS...
du 24 au 28 sept 2012 : Et c'est même à la une du New York Times: "American Real Estate Investors Seek Opportunities in European Debt Crisis". C'est bien la planche à billets: vous pouvez acheter tout Paris avec... Pendant ce temps, nos politiques nous expliquent qu'il y a l'austérité à cause de la crise... "Private equity firms have been vying to buy portfolios of European bank debt on commercial real estate at deep discounts, and hope eventually to earn generous returns". Lire ici pour le croire... Nos politiques sont vraiment des couards." source/Jovanovic

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« Dans la plus parfaite indifférence des autorités françaises, les Etats-Unis continuent leur politique de manipulation des minorités « visibles » immigrées dans les banlieues de non droit, dépensant en ce sens plus de 2.2 millions de $ par an en France. Charles Rivkin [ambassadeur US en France] s’est donc rendu le 26 juin, en compagnie du chanteur Will.i.am des Black eyed peas dans le XXième arrondissement de Paris. La complicité officielle à ces interventions étrangères sur le sol national parait désormais soutenue par le gouvernement, puisque la secrétaire d’Etat à la jeunesse et à la Vie associative 5 [au « vivre ensemble », quoi…] Jeannette Bougrab était présente. » (Faits et Documents 15/07-15/09-2011)

« A remarquer le profil très particulier de l’ambassadeur Charles Rivkin. Figurant parmi les plus gros donateurs de la campagne de Barack Obama, ce fils de diplomate a été analyste chez Salomon Brothers avant de devenir l’un des principaux responsables du milieu de l’ « entertainment » [Zbigniew Brzezinski parlerait de « tittytainment] (industrie du loisir américain. Il a notamment dirigé les sociétés de production Wildbrain et The Him Henson Company (maison de production du célébrissime Muppet Show) du groupe Disney. Son objectif est de redorer le blason des Etats-Unis en faisant vibrer les banlieues par le biais des pires séries et des films les plus médiocres d’Hollywood, en transposant la complexe situation raciale américaine aux banlieues françaises. Lors d’une conférence en banlieue, il déclarait notamment (ce qui est à plier de rire quand on connaît son cursus et ses origines familiales) : « Lorsque j’étais enfant, il y avait la ségrégation. J’ai toujours pensé que j’étais un citoyen de seconde zone. Je ne pensais pas que je deviendrai un jour la personne que je suis aujourd’hui. Mais mes parents ont cru très fort en moi et m’ont donné une bonne éducation. » Bref, du rêve n’ayant aucun rapport avec la réalité. (Faits et Documents, 15-31/01/2011)

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"Les Saoudiens financent le printemps arabe avec 18 milliards de dollars

L'Arabie Saoudite a déboursé 3,7 milliards de dollars d'aide aux pays de la région touchés par le printemps arabe, sur les 17,9 milliards que le Royaume s'est au total engagé à leur verser depuis début 2011. Certains pays de la région étaient en revanche au 1er juin en attente des versements promis par Riyadh. Bahreïn et le sultanat d'Oman espèrent conjointement 5 milliards de dollars d'aide, le Maroc 1,2 milliard et la Tunisie 750 millions.
Dans le sillage du printemps arabe, le G8 avait, en mai 2011, annoncé un plan d'aide de 40 milliards de dollars pour les pays de la région, dont une dizaine de milliards devaient être à la charge des monarchies du Golfe." source

23/09/2012

9/11


"9/11 Press For Truth" (11 Septembre 2001) par ReOpen911

ça change du travail des "journalistes" du Monde ou de Libé..

Comme je le dis en commentaire plus loin, le 11/09 a tout d'un mythe, une croyance assez éloignée de la vérité sans doute, mais porteuse de sens, utile à la compréhension du temps présent. Faisant référence à des éléments volontiers archaïques (la lutte contre le "Mal", par exemple) mais toujours valides dans le monde contemporain car permettant de de légitimer la cause de l'adversaire en en faisant une figure du mal avec laquelle il n'y a pas de discussion ou de guerre juste (jus in bello) mais une seule volonté de destruction.

La façon dont les apologètes de la version officielle du 11/09 avalent en bloc cette histoire et rejettent voire démonisent toute mise en cause du dogme pourrait paraître puérile, elle n'est que l'expression de cette croyance en une vérité immuable, délivrée une fois pour toutes et inattaquable sauf par le parti du Mal, parti rapidement assimilé, via la reductio ad hitlerum (Leo Strauss), au fameux révisionnisme (autre aberration) puis au "négationnisme", à l'anti-américanisme, l'anti-sionisme, l'antisémitisme, etc.

Il y a encore peu de temps, la version officielle du 11/09 aurait fait l'objet d'un questionnement tranquille, de colloques d'historiens, de thèses universitaires, de travaux universitaires, de contre-enquêtes authentiques, bref d'un questionnement institutionnel bien légitime comme ce fut toujours le cas pour des évènements historiques aussi dramatiques et lourds de conséquences. Qui pourrait aujourd’hui dire qu'il connait la vérité historique exacte sur la guerre du Péloponnèse, Rorke's Drift ou Midway? Personne évidemment malgré un recul historique beaucoup plus long. L'Histoire n'est QUE réinterprétation et révision, toujours. Penser un seul instant qu'un évènement aussi complexe que le 11/09 puisse être expliqué correctement par une version échafaudée à la hâte par une administration aussi suspecte que celle-ci, sans le moindre recul et en écartant délibérément (cf. par exemple les articles de P D Scott sur la commission sur le 11/09) les éléments invalidants la thèse officielle, n'a rien à voir avec une démarche honnête, non seulement d'historien mais aussi de simple citoyen.

En ce sens, et avec un peu de recul, on peut facilement considérer sans trop polémiquer que la version la moins vraisemblable, 11 ans après les faits, reste celle de l'administration US, incohérente du début jusqu'à la fin, écartant des points clefs et des témoins inopportuns, accumulant une quantité invraisemblable de faits erronés ou dissimulés au milieu de demi vérités et de versions changeantes.

Le consentement général des média à avaler ce nouveau mythe fondateur des politiques impériales US au travers du globe est sans doute un excellent marqueur de la soumission des élites occidentales, européennes (ne pas confondre), et des pays soumis à l'impérium US, à l'autorité et à la violence de la puissance dominante en ce début de XXIème siècle. Au détriment de la vérité historique et du simple courage. Au train ou vont les choses (je pense par exemple à ces "armes de destruction massives" dont l'inexistence fut la pierre angulaire de la destruction de l'Irak baassiste par une coalition occidentale et dont le caractère fantaisiste est aujourd’hui unanimement reconnu sans que cela change grand chose pour le pauvre Colin Powell et sa comique fiole d'anthrax à la tribune des Nations-Unies, le mensonge planétaire  porté par un nègre comme avec la pauvre Condie Rice) il n’y a pas grand risque à prophétiser l’effondrement rapide de cette histoire Potemkine du 11/09, il suffit probablement d’attendre un peu.

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Washington (awp/afp) – La banque centrale des Etats-Unis (Fed), n’a absolument aucune idée de ce qu’il convient de faire pour sortir l’économie américaine de l’ornière, a déclaré mercredi un de ses dirigeants, Richard Fisher.

“La vérité, cependant, est que personne au sein du Comité [de politique monétaire de la Fed (FOMC) ou de la banque centrale] ne sait réellement ce qui entrave l’économie”, a déclaré M. Fisher dans un discours à New York, selon le texte de son allocution distribué à la presse.

“Personne ne sait ce qui marchera pour remettre l’économie sur la bonne voie”, a ajouté M. Fisher, président de l’antenne de la Fed à Dallas, au Texas (sud des Etats-Unis).

M. Fisher a indiqué qu’il s’était opposé au nouvel assouplissement monétaire décidé le 13 septembre par le FOMC.

Prenant acte du ralentissement qui frappe la croissance économique américaine depuis le début de l’année, le FOMC a lancé la Fed dans de nouveaux rachats de titres adossés à des créances immobilières à raison de 40 milliards de dollars par mois, et annoncé qu’elle continuerait de la sorte tant que “la perspective du marché du travail ne [s'améliorerait] pas nettement”.

Faisant valoir que des milliers de milliards de dollars prodigués abondamment par la Réserve fédérale dorment dans les coffres des banques, des entreprises, ou de fonds monétaires, M. Fisher estime que continuer à inonder le marché de liquidités ne mènera à rien.

Néanmoins, “je prie pour que” cela marche, a-t-il dit, exhortant une nouvelle fois le Congrès américain à agir pour compléter l’action de la Fed au lieu de faire selon lui “tout pour décourager le création d’emplois” en refusant de régler la question de la dette publique américaine, et en contribuant ainsi à alimenter un climat d’incertitude défavorable à l’investissement.

“Je suis tenté de recourir à ce rapprochement éculé comparant notre Congrès dévoyé à un équipage de marins ivres”, a lancé cet ancien élève officier de l’école navale américaine à son auditoire, “mais ceux d’entre vous qui sont patriotes pourraient en prendre ombrage et faire valoir qu’une telle comparaison pourrait être perçu comme une insulte aux marins ivres”.

jq (AWP / 20.09.2012 06h22)

21/09/2012

how long do u need?

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« Quand Fillmore revint avec sa négresse, elle avait les yeux de braise. Je compris à la façon dont Fillmore la regardait qu'elle avait dû en mettre un sacré coup, et je commençais à me sentir en appétit moi aussi. Fillmore dût se rendre compte de mes sentiments, et quelle épreuve ce devait être pour un homme de rester la, rien qu'à regarder tout le temps, car brusquement il tira un billet de cent francs de sa poche et, le faisant claquer sur la table, il dit :

« Ecoute, vieux, tu as probablement plus besoin de tirer un coup que nous tous. Prends ça et choisis celle que tu veux ! »

Je ne sais pourquoi ce geste me le rendit plus cher que tout ce qu'il avait jamais pu faire pour moi, et il avait fait beaucoup ! J'acceptais l'argent dans l'esprit ou il m'était donné, et je fis promptement signe à la négresse de se préparer pour une autre passe. Cela mit la princesse encore plus en rage que n'importe quoi, sembla-t-il. Elle voulait savoir s'il n'y avait personne dans ce bordel d'assez bon pour nous, hormis la négresse ! Je lui répondis brutalement : « Non » Et c'était vrai -la négresse était la reine du harem. Il suffisait de la regarder pour se mettre à bander. Ses yeux semblaient nager dans le sperme. Elle était saoule de toutes les demandes qu'on lui faisait. Elle ne pouvait plus se tenir droite, du moins me le semblait-il. En montant l'étroit petit escalier tournant derrière elle, je ne pus résister à la tentation de lui glisser ma main entre les jambes : et ainsi, nous continuâmes à monter, elle se retournant pour me regarder avec un sourire joyeux, et tortillant un peu le cul lorsque cela la chatouillait trop fort. »

H Miller, Tropique du cancer, 1934.


podcast

19/09/2012

salafistfucking

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photos: à gauche, permis, à droite, pas bien!

"La   liberté   d'expression   est   certes   une   belle   chose.   Toute   liberté   implique cependant  une  responsabilité.  « Effrayante est  une  liberté que ne guide pas un devoir»,   disait   l'écrivain   André   Gide. Il   va   de   soi   néanmoins   que   la   liberté d.expression ne se partage pas, et il est également bien connu que le droit à liberté d'expression n'a jamais été fait pour bénéficier avant tout aux opinions convenables et consensuelles, mais au contraire à celles qui  sont les plus dérangeantes ou les plus choquantes. En d'autres termes, si l'on admet le « droit au blasphème », alors on doit aussi admettre que ce droit ne se partage pas.

Or, en Europe, la liberté d'expression n'a jamais été totale. Encore aujourd'hui, certaines propos ou opinions sont, à tort ou à raison, proscrits par  la  loi  et leurs auteurs peuvent être déférés devant les tribunaux. L'Allemagne possède elle-même un   « index ».   Les  mêmes   qui   trouvent   tout-à-fait   normal   que   des   caricatures antimusulmanes  paraissent  dans  un  « pays   libre »  accepteraient-ils  de   la même façon  la publication de caricatures antijuives ? Ceux qui  rient  de voir représenté Mahomet   dans  des  postures   équivoques   ou  grotesques   admettraient-ils   avec   la même   facilité   la   diffusion  mondiale   d'images   pornographiques   d'Anne   Frank ? Diraient-ils qu.il  ne s'agit après tout que de caricatures, en laissant entendre que ceux qui s'en offusquent sont exagérément « susceptibles » ? On sait bien que non. Il y a dans les pays européens des lois qui sanctionnent l'antisémitisme, mais il n'y en a aucune qui  sanctionne  l'islamophobie.  Pour nombre de musulmans, il y a là deux poids et deux mesures.

Enfin, si le blasphème apparaît si peu important aux yeux des Occidentaux, n.est- ce pas d.abord parce qu.ils ont eux-mêmes perdu le sens du sacré ? Qu.ils ne croient eux-mêmes bien souvent plus à rien ? Il n.y a pas si longtemps, le blasphème était encore   lourdement   sanctionné  dans  bien des  pays  d.Europe.  Dans   le passé,   les Européens considéraient eux aussi  que certaines choses étaient  insupportables et que   certains   propos   ne   pouvaient   pas   être   tenus. Aujourd.hui,   ils   parlent   de « fanatisme » pour   stigmatiser  des  attitudes  qui,  dans   le passé,   furent  aussi   les leurs.   Le   sociologue   Zygmunt  Bauman   soulignait   récemment « la   rapidité   avec laquelle la volonté de sacrifier sa vie pour une cause s.est vue condamnée et classée comme symptôme de fanatisme religieux, retard culturel ou barbarie, par des pays qui,  de nombreux siècles durant,  présentèrent   le martyre-pour-une-cause comme étant  preuve de sainteté ». 

La  liberté d'expression peut être aussi le masque de l'indifférence. La liberté d'expression, les pays occidentaux l'ont conquise de haute lutte (le plus souvent contre  l'Eglise) au terme d'un combat qui  a pris des siècles.  Ils n'y sont parvenus qu'une fois leur société totalement « désenchantée » (Max Weber). Pour en arriver à ce stade, les musulmans ont encore du chemin à faire. La conclusion qui s'impose est qu'il y a là comme un décalage, non pas tant dans l'espace que dans le temps : les différents peuples du monde ne vivent pas aujourd'hui à la même heure de l'histoire."

Alain de BENOIST, 2006.

Trés bien, comme toujours, la lecture d'Alain de Benoist est salutaire.

Et illustre parfaitement la tartuferie de nos modernes, prompts à pardonner l'insulte faire aux chrétiens ou aux musulmans mais féroces quand les totems de notre époque sont pris à partie, à savoir l'"antisémitisme", l'"homophobie" et le "racisme"...Ici, point d'indulgence ou d'appel à la liberté d'expression, point de ligues progressistes pour appeler à dépasser les archaismes ou à dépoussierer des vieilles croyances ou les superstitions, point de tribune dans la grosse presse pour condamner les curés de ces nouvelles églises, non. Malgré les propos fleuris du pauvre Valls, la liberté d'expression dans ce pays n'est pas et le délit de blasphème existe encore bel et bien.

Qui peut croire que ces quelques dizaines de barbus fanatiques, de taqfiristes en babouches -mêmes financés et manipulés par la racaille quatari ou le pauvre Rivkin- constitueraient une menace pour ce pays? Les millions de maghrébins (la forêt verte que cache le salafiste) inassimilables ni intégrables qui font irruption sur notre sol depuis 40 ans avec la complicité du système (églises, politiques, , journalistes et clercs, patronat, progressistes de tous poils, etc.), oui, car ils sont un promesse de secession culturelle sinon ethnique, déjà à l'oeuvre dans bon nombres de villes françaises, mais qui en parle et qui s'en soucie depuis des décennies hormis la mouvance nationaliste? Les mêmes pitres, à Charlie hebdo ou ailleurs se posent en rebelles et en libre-penseur alors qu'ils sont les premiers à cautionner immigration de masse et multiculturalisme et viennent chouiner aprés parce que ces populations allogènes sommées par le système de garder leur culture et de ne point s'assimiler aux céfrans sont logiquement en rupture avec les codes autochtones et manifestent leur haine de notre modernité à roulettes et strings en cuir...un peu de cohérence serait la bienvenue chez les cafards.

Par ailleurs, dans notre république désormais multicultuelle et officiellement communautaire, qui s'interroge sur le poids d'autres lobbys, bien plus puissants mais plus discrets? Qui s'interroge sur la participation de la quasi-totalité de la classe politique et médiatique au dîner annuel du CRIF, ambassade officieuse (voulue comme telle) d'Israel en France et relais sur notre sol du conflit sémitique? Qui s'interroge sur l'appartenance générale de nos ministres, sous-ministres, secrétaires d'état et autres hauts fonctionnaires à différentes loges maçonniques (cette église de substitution)? Etc, etc.

Comme toujours, il faut essayer de voir l'ennemi principal, celui le plus à même de nous imposer des choix qui nous sont étrangers. Quel est-il?

L'ennemi principal, au delà des barbus, des sayanims et autres agents de l'empire, c'est nous-mêmes, c'est cette anomie générale; nous autres modernes, atomisés, aliénés, seuls et désenchantés, ne croyant plus en rien, sommes prisonniers d'une vision juridico-marchande du monde horizontale et vaine, arraisonnant toute chose, à la fois comblés et malheureux, prisonniers d'une d'une anthropologie individualiste et utilitariste consubstantielle d'un capitalisme globalisé destructeur car jusque boutiste et aveugle à toutes limites. Rien d'étonnant à ce que nous ne comprenions plus la colère de croyants (quels qu'ils soient). A cet égard, je trouve la critique marxienne du monde moderne toujours aussi valide (bien que celui se plaçait sur le même horizon matérialiste que son ennemi, la bourgeoisie libérale):

"La bourgeoisie a joué dans l'histoire un rôle éminemment révolutionnaire. Partout où elle a conquis le pouvoir, elle a foulé aux pieds les relations féodales, patriarcales et idylliques. Tous les liens complexes et variés qui unissent l'homme féodal à ses "supérieurs naturels", elle les a brisés sans pitié pour ne laisser subsister d'autre lien, entre l'homme et l'homme, que le froid intérêt, les dures exigences du "paiement au comptant". Elle a noyé les frissons sacrés de l'extase religieuse, de l'enthousiasme chevaleresque, de la sentimentalité petite-bourgeoise dans les eaux glacées du calcul égoïste. Elle a fait de la dignité personnelle une simple valeur d'échange; elle a substitué aux nombreuses libertés, si chèrement conquises, l'unique et impitoyable liberté du commerce. En un mot, à la place de l'exploitation que masquaient les illusions religieuses et politiques, elle a mis une exploitation ouverte, éhontée, directe, brutale. La bourgeoisie a dépouillé de leur auréole toutes les activités qui passaient jusque-là pour vénérables et qu'on considérait avec un saint respect. Le médecin, le juriste, le prêtre, le poète, le savant, elle en a fait des salariés à ses gages. La bourgeoisie a déchiré le voile de sentimentalité qui recouvrait les relations de famille et les a réduites à n'être que de simples rapports d'argent.

La bourgeoisie ne peut exister sans révolutionner constamment les instruments de production, ce qui veut dire les rapports de production, c'est-à-dire l'ensemble des rapports sociaux. Le maintien sans changement de l'ancien mode de production était, au contraire, pour toutes les classes industrielles antérieures, la condition première de leur existence. Ce bouleversement continuel de la production, ce constant ébranlement de tout le système social, cette agitation et cette insécurité perpétuelles distinguent l'époque bourgeoise de toutes les précédentes. Tous les rapports sociaux, figés et couverts de rouille, avec leur cortège de conceptions et d'idées antiques et vénérables, se dissolvent; ceux qui les remplacent vieillissent avant d'avoir pu s'ossifier. Tout ce qui avait solidité et permanence s'en va en fumée, tout ce qui était sacré est profané, et les hommes sont forcés enfin d'envisager leurs conditions d'existence et leurs rapports réciproques avec des yeux désabusés." Marx, Manifeste du parti communiste." (pour vous, Robert)

Le cauchemar climatisé de nos modernes n'est pas une fatalité. Les européens ne sont pas des américains, ils ont une histoire, des modèles, des mythes, des héros, des repères de sens, partout autour d'eux et en eux. Il n'y a qu'a se baisser ou ouvrir les yeux. Et cette altérité à babouches peut s'avérer finalement une excellente chose pour se retrouver. Dés lors, savoir ce que l'on accepte ou pas va de soi. Relire l'Iliade, peut-être.

Enfin, il y a toutes ces "élites" politiques, culturelles, cultuelles, médiatiques, illégitimes car tirant leur seule légitimité de leur capacité à réciter le discours dominant (dans un système pré-codé pour ne laisser monter que ceux qui ont cette capacité), largement responsables du chaos actuel, féroces avec les faibles (les peuples, les communautés autochtones) et accomodantes avec les forts (lobbys en cours, officines pseudo-anti-racistes, organisations mondialistes, allogénat, etc.), promptes à délégitimer et démoniser tout discours hétérodoxe (au choix: "raciste", "fasciste", "anti-sémite", "homophobe", "nazie" pour les discours les plus virulents, "fermé", "chafouin", "frileux", "rétrograde" ou "archaique" pour les moins dangereux...Faire une liste pour l'épuration.

Et vue la trés grande difficulté -l'impossibilité?- d'infléchir par le haut le cours des choses, la tentation est grande de trouver une solution par le bas, c'est-à-dire de penser en dehors du système, dans une perspective d'autonomie et de résilience aux catastrophes annoncées: autonomie financière, en termes de logement, d'alimentation, de sécurité, de transport, d'énergie...Rien de plus difficile pour nous autres modernes, si seuls et si dépendants de multitudes de supports fragiles bien introuvables dans les générations précédentes...Le recours aux forêts, cher à Jünger et à d'autres: trouver en soi et avec d'autres (pas de salut en dehors de la communauté familiale, de voisinage, de village, de réseaux, etc.) les moyens de construire en marge les conditions d'une vie plus décente, d'une renaissance. Ou simplement de survivre.

http://lesurvivaliste.blogspot.fr/

http://www.le-recifs.com/

 NB: j'emprunte le titre du post à Soral, toujours caustique.

17/09/2012

chaos on line

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Ha! ha! lire ici/Jovanovic+++

« Ca bouge un peu partout en ce moment. Après la méga-panne nationale qui a affecté tous les distrubuteurs de billets et système de paiement carte, les Portugais (comme les Espagnols) ont manifesté massivement ce week-end et ont caillaissé les établissements bancaires comme nous le signale le journal Publico ici avec photos (merci à Emilia). Les réactions aux mesures d'austérités n'ont pas été prévues par les anglo-saxons et c'est justement ce qui va les perdre. L'Espagne, le Portugal et l'Italie seront bientôt les centres de manifestations violentes du peuple qui refuse de se sacrifier pour sauver leurs escrocs de banquiers. »

« La lettre de cadrage budgétaire envoyée le 31 juillet dernier aux ministres par le chef du gouvernement Jean-Marc Ayrault contenait une bombe à retardement. Les états-majors planchent depuis début septembre sur les annexes non publiées de ce document. Une mesure imposée par Bercy risque de provoquer un séisme parmi l'ensemble du personnel : dans l'annexe de sa lettre de cadrage, Matignon annonce une suppression de 30 % des avancements au choix prévus en 2013, au risque de jeter cul par-dessus tête le fragile édifice des carrières militaires. C'est-à-dire que le tiers des promotions au grade supérieur - à tout le moins celles qui ne dépendent pas mécaniquement de l'ancienneté - ne se produiront pas. Une explication s'impose : on sait que les années Sarkozy avaient été marquées pour les armées par un plan considérable de suppression de postes, s'élevant au total à 54.000 emplois entre 2009 et 2015. Poursuivant sur sa lancée, la défense perdra effectivement dans ce cadre 7 234 postes en 2013 (ce chiffre tient compte de la création de 95 postes à la DGSE et de 69 dans la cyberdéfense, essentiellement à l'Anssi, Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information. En 2014, 7.880 suppressions sont prévues, malgré 45 créations de postes pour la DGSE et 99 dans la cyberdéfense). »

« Les Russes, les Chinois, les Indiens et les Iraniens raflent tout ce qu'ils peuvent en or... Et en cas de guerre avec l'Iran, il va de soi que le cours va s'envoler encore plus, sans compter sur les planches à billets de la Fed et de l'endettement infini de la BCE... Rappel: ce n'est pas l'or qui monte, mais la valeur du papier qui baisse. Et le Gata a révélé que même la Turquie s'y est mise... Dans quelques mois, ce sera le sauve qui peut. Et depuis 5 ans, les politiques ont laissé les Français vendre leur or à des sociétés dans la majorité étrangères... Un lecteur m'a signalé cet été cet article du Indian Vision et nous a donné son analyse très intéressante: "La Chine refond ses grosses barres d'or en lingot unitaire de 1 kg (et non plus en onces) dans le but d'un retour à l'étalon or. Elle fait un véritable volte-face au systeme. On y voit une volonté de se détacher du systeme anglo-saxon et de se raccorder au systeme international des poids et mesures (BIPM). Les raisons:

- Perte de confiance envers les lingots alloués dont les clients se retrouvent avec des lingots dont les no de séries ne sont plus ceux d'origine (GATA)
- Perte de confiance envers les bon du tresor US
- Perte de confiance envers le systeme bancaire pourri par la dette dont la Chine s'attend a un effondrement
- Perte de confiance envers les lingots en tungstene provenant de Fort-Nox

Du coup la chine rapatrie ses réserves d'or de Londres, New-York et Suisse, et va se positionner prochainement sur les mines". De son côté, le patron de Pimco a affirmé que désormais seul une maison et de l'or sont sûrs: "Bill Gross - Buy Gold, Not Bonds". Ca rejoint, avec 4 ans de retard, ma "maison dans la prairie avec le potager et la source" : - ) Et c'est Pimco!!! »

« Les retraités grecs viennent de prendre d'assaut le ministère de la santé (le ministre s'est enfui). La cause: les médicaments ne sont plus remboursés, les pharmacies et les médecins demandent à être payés en liquide, car la sécu ne les paye plus. Rien dans les médias français, par contre les Allemands en parlent, lire ici le Spiegel »

« Dans la série des "grands" licenciements dont BFM-TV ne vous parle pas, cette fois c'est Sanofi qui va virer 1500 personnes, Kodak qui se débarasse de 1000 salariés (Daily Finance), suivi de Hewlett Packard qui va dégraisser ses effectifs de... presque 30.000 personnes, rien que ça, ici dans USA Today... C'est une méga-récession dont vos médias ne vous parlent pas... Et même la Banque de France va se séparer de 2.100 personnes... C'est vrai, elles ne servent à rien maintenant qu'on a la BCE... On se demande même pourquoi on les a gardés aussi longtemps. Lire ici Challenges. Mickael nous dit: "le plan prévoit d'ici à fin 2015 la fermeture de 15 caisses (chargées notamment d'alimenter les banques en billets dont elles assurent en partie l'entretien). Déjà que les banques sont en manque critique de liquidités (DAB, Guichet) ce plan risque donc d'envenimer encore plus la situation actuelle qui est déjà catastrophique?"... Merci aux lecteurs...

PS: Pendant ce temps, l'immigration est ouverte, 200.000 personnes en France chaque année, soit 1 million de personnes (légales, ha ha ha) tous les 5 ans... Pensez-vous que notre tissu économique va réussir à créer autant d'emplois pour compenser? Nous sommes vraiment dans une situation explosive.

PS2: Abdelhakim nous dit: "après PSA à Aulnay, Renault qui va faire des coupe sur ses filiales coréennes, voici qui Ford va mettre plus de 4.000 personnes à la rue (sans compter les sous traitants !!!). Dur! Dur! Mais bon quand on sait que depuis ces 15 dernières années les constructeurs investissent dans des usines, en Asie, en Afrique, en Amérique du sud et dans l'Europe de l'Est... en partie en utilisant des fonds publics français!!! (eh oui main-d'oeuvre moins chère!!) fallait s'attendre à ce retour de bâton. Merci les actionnaires !!!". Lire ici 20Minutes sur Ford. »

et ici/GEAB:

« L’été 2012 aura marqué une accélération majeure de la dislocation géopolitique mondiale avec un conflit syrien qui devient chaque jour plus dangereux pour le Moyen-Orient et le monde (3), une tension israélo-iranienne prête à exploser à tout moment et un test généralisé de la puissance US déclinante - de la Mer de Chine à l'Amérique latine en passant par l'ensemble du monde musulman. Le monde stratégico-militaire est chauffé à blanc comme l'illustre d'ailleurs la reprise massive des ventes d'armes au niveau mondial, avec les Etats-Unis fournissant 85% du total (4).

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Evolution des ventes d'armes dans le monde et de la part des principaux exportateurs (2010-2011) - Source : New York Times, 08/2012

Pour ces raisons, LEAP/E2020 maintient son Alerte Rouge de Juin 2012 et estime que, d'ici la fin Octobre 2012, l'économie globale va être aspirée dans un trou noir sur fond de géopolitique mondiale chauffée à blanc. Autant dire que les semaines à venir vont, selon notre équipe, emporter la planète dans un ouragan de crises et de conflits sans précédent. »

 etc., etc...

15/09/2012

radicalité?

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(...) Dans l’espace politique laissé libre par le PS et le PC, une nouvelle radicalité « de gauche » cherche à s’installer, mais elle vaut rarement mieux que les réformistes auxquels elle prétend s’opposer. Au lieu de défendre le peuple, l’extrême gauche s’oriente en effet vers des luttes marginales, de l’aide aux clandestins et aux sans-papiers au mariage homosexuel, en passant par le néoféminisme égalitaire, l’extension du droit à l’avortement, la légalisation des drogues douces, la dénonciation du harcèlement sexuel, le soutien aux « révoltes des banlieues » (les « quartiers difficiles ») ou la défense de l’« art contemporain », toutes causes dont le peuple se contrefiche complètement et auxquelles il est parfois même tout à fait allergique. Ce faisant, elle se situe dans la filiation d’un Mai 68 dont on ne rappellera jamais assez qu’à côté d’un aspect véritablement contestataire (critique de la société du spectacle, rejet des valeurs marchandes, désir de servir le peuple, la plus grande grève ouvrière de l’histoire de France, etc.), il comprenait une composante purement infantile, hédoniste et permissive, et donc profondément libérale, qui est aussi celle qui l’a emporté. Ceux qui voulaient il y a quarante ans « jouir sans entraves » n’ont pas tardé à comprendre que c’est le capitalisme libéral et la société de marché qui leur permettraient le mieux de réaliser cet idéal. Ils disaient : « Sous les pavés, la plage », ils ont eu Paris-plage. Cette extrême gauche rejoint ainsi une gauche sociale-démocrate ou « bobo », désormais aussi libérale sur le plan des moeurs que sur le plan économique, et pour laquelle les « problèmes de société », les questions « sociétales » et « citoyennes », importent visiblement plus que les principes et les exigences politiques.

Le grand mérite de Jean-Claude Michéa est d’avoir montré la congruence entre les différentes formes de libéralisme, et l’incohérence de l’attitude consistant à s’affirmer libéral sur le plan des moeurs tout en ne l’étant pas sur le plan économique. Les deux finissent toujours par se rejoindre. Le libéralisme économique et le libéralisme politico-culturel, écrit Michéa, constituent « les deux versions parallèles et (ce qui est le plus important) complémentaires d’une même logique intellectuelle et historique », ce qui explique pourquoi la plupart des tenants, pseudo-libertaires, du libéralisme des moeurs ont « fini par voir dans l’économie de marché le complément naturel de leurs axiomes idéologiques initiaux »12. Les héritiers de Mai 68 ont voulu faire croire que la « libération des moeurs » était le principal acquis du mouvement, et encore aujourd’hui ils se refusent à comprendre que cette « libération », loin de s’inscrire en faux contre le monde bourgeois, était en réalité parfaitement conforme à l’esprit même du libéralisme, et correspondait très exactement à ce que l’on a pu décrire comme « le simple stade suprême de l’impérialisme de l’avoir et du faux, l’étape supérieur de la colonisation du sexe par la libre circulation fétichiste de l’échange et du vide ». Ils ont cru saper l’ordre en place en multipliant des « transgressions » de toutes sortes, sans voir que ces transgressions qui les fascinent ne faisaient que laisser le champ libre à la logique de la consommation, que les défis à l’« ordre moral » ouvraient la voie à la pensée unique et qu’elles ne permettaient de s’émanciper de la tradition que pour mieux se soumettre aux diktats publicitaires et aux modes. Rien d’étonnant à ce qu’ils défendent aujourd’hui la cause de ces « jeunes de banlieues » dont le seul regret – et le vrai motif de colère, lorsqu’ils deviennent « casseurs » et brûleurs des voitures de leurs voisins – est de ne pas pouvoir profiter aussi vite et aussi massivement qu’ils le voudraient des objets de la production marchande.

A la recherche d’un substitut de prolétariat, l’extrême gauche s’est fixé pour but de trouver un sujet historique qui ne soit surtout pas le peuple. Difficile ici de ne pas évoquer le problème de l’immigration. Comme hier le chômage conjoncturel, l’immigration représente en effet d’abord une armée industrielle de réserve du capital, exerçant une pression à la baisse sur les salaires et accroissant d’autant le taux de profit, la prédication « antiraciste » interdisant, parallèlement, que l’on critique les substitutions de population auxquelles procède le capital pour éteindre les traditions révolutionnaires des peuples européens, en exilant le prolétariat indigène de sa propre histoire. Il ne fait aucun doute que l’« antiracisme » contemporain, formulé à partir des années 1980 par des organisations comme SOS-Racisme, a été formulé avant tout pour remplacer l’anticapitalisme et dissimuler l’abandon par la gauche de ses anciens idéaux. Le danger, désormais, c’était « Le Pen », et non plus le capital. Mieux encore, en « combattant Le Pen », on faisait le jeu d’un capitalisme trop content de trouver dans l’immigration un nouveau gisement de main-d’oeuvre à bon marché, malléable, corvéable à merci et ignorant tout des traditions révolutionnaires du prolétariat français. Tout cela n’avait évidemment rien à voir avec la nécessaire lutte contre le racisme. Ceux qui, aujourd’hui, se consacrent à la défense inconditionnelle des clandestins et du « sans-papiérisme » continuent en réalité à « offrir à la classe capitaliste l’armée de réserve soumise à bon marché dont celle-ci a besoin à mesure qu’elle entend se débarrasser des vieilles contestations ouvrières européennes »13. Les Besancenot et autres gauchistes, adeptes du néopopulisme incantatoire, qui ne parlent au nom du peuple que pour mieux le faire taire, ne constituent aujourd’hui rien d’autre que l’aile gauche de l’appareil politique du capital.(...)"

Alain de Benoist, 2009.


podcast

14/09/2012

près de chez vous

13/09/2012

called to God

12/09/2012

têtes de cons et nihilisme en bermuda

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« Le socialisme a longtemps représenté une grande chose. Il a d’ailleurs été une chose avant d’être un mot, car le mouvement ouvrier, à l’origine, ne se définit pas toujours comme socialiste et moins encore comme de gauche. Lointain héritier des guildes et des corporations, né au XIXe siècle de la prise de conscience d’une solidarité d’intérêts entre les membres de la classe laborieuse, il rassemble des déracinés, fils et petits-fils de paysans brusquement jetés dans les grandes villes par la révolution industrielle et qui, menacés par le paupérisme, tentent à leur mesure de recréer des solidarités disparues et de contrôler les conditions de leur existence. Le socialisme naissant est d’abord cela : l’affirmation, face à l’aliénation du salariat et aux exigences du capitalisme bourgeois, des prérogatives du lien social, du vivre-ensemble grâce à des valeurs partagées. On aurait alors beaucoup étonné la classe ouvrière en lui disant que la gauche, c’était le refus des racines et la « chienlit ». Le socialisme, pour la classe ouvrière, c’était la solidarité et le sens du bien commun, la lutte contre le désordre établi, la revendication de plus de justice et de dignité. Les premiers socialistes se réclamaient de cette « common decency » dont George Orwell a fait l’éloge, de cette honnêteté ordinaire qui impliquait à la fois le refus de l’exploitation du travail, de l’égoïsme prédateur et du nihilisme jouisseur, en même temps qu’un certain conservatisme moral, le sens de l’honneur et de la parole donnée, le goût de la loyauté, de l’entraide et de la solidarité. Si elle était restée fidèle à ses valeurs d’origine, la droite de l’époque aurait dû se solidariser de cette protestation populaire contre le système de l’argent. A quelques exceptions près, elle ne l’a pas fait, habituée qu’elle était à croire à la raison du plus fort, infectée qu’elle était par l’esprit bourgeois dominant.(…) Le socialisme a été remplacé par un moralisme humanitaire et pleurnichard, qui dénonce les « abus » ou les dysfonctionnements du système sans jamais en remettre en cause le socle de légitimité, la question du contrôle de l’économie n’étant plus jamais posée. Qu’on puisse aujourd’hui passer sans heurts de la direction du parti socialiste à celle du Fonds monétaire international (FMI) est à cet égard un symbole proprement étourdissant. Symbole de la dissolution du socialisme dans la mondialisation et de l’immense mépris envers les « gens de peu » de ceux qui vivent dans la bulle du paraître médiatique. » Alain de Benoist

 

Voilà. On mesure l’étendue des dégâts en comprenant que cette enflure multicolore va sans doute incarner le "socialisme" français. Français alsacien d'origine juive ashkénase (aujourdhui remplacé à la tête de la maffia SOS machin par Cindy Léoni, "judéo-sénégalaise", par hasard), parfaite illustration de l'instrumentalisation de l'imposture anti-raciste par des demi-soldes défroquées du trostkysme et étrangement issus de la même communauté. Sans même évoquer l'étrange et comique Dray, ses montres payées 250 000 francs cash, son "rappel à la loi" malgré un dossier bien lourd...

Le « moralisme pleurnichard » de tous ces pitres (la célèbre et comique « lutte contre toutes les formes de discriminations » de tous les Dray et autres Désir) n’est que le masque vertueux destiné à masquer l’hégémonie totale de la barbarie marchande si bien incarnée par cette figure de cul festive et l’abandon de tout questionnement social ou anthropologique. Lucien Jerphagon prétend que le christianisme contrairement au dogme qui en fait un élément liquidateur du monde romain, n’a surgi que parce que ce monde était déjà en décomposition avancée. Toutes les tentatives vaines et émouvantes de réanimation des vieux cultes païens (Julien, Dioclétien…) étaient vouées à l’échec : le chaos engendre autre chose. La béance énorme laissée par la disparition de toute formes de transcendance ne peut être comblée par ce fétichisme de la marchandise et la réification de toute chose et la « bonne gouvernance » avec laquelle se gargarisent tous les ballots raffarinesques et attalinoides du parc de loisirs désenchanté qu’est devenu l’Occident.

Les socialistes d’aujourd’hui sont des minables émétiques envoûtés par le fétichisme progressiste petit-bourgeois et l’imposture anti-raciste United Colors, à des années lumières du socialisme traditionnel et révolutionnaire d’un Orwell ou de la culture ouvrière d’un Sorel. Tous modernes et cons, soumis et arrogants, agenouillés devant trois points de croissance ou quelques lobbys en cour (le CRIF, le MRAP) ou pissant dans leur froc à l’ouverture de Wall street.

Le catholicisme, moteur de l’Occident après l’effondrement de Rome est mort avec le cogito de Descartes au XVIIème siècle et le projet inouï d’autonomie et d’émancipation individuelle. L’homme occidental post-moderne (festivus) sans attaches, émancipé et revenu de tout et de tous, habité par l’illusion de la liberté et de l’égalité, recyclant sans fin les dogmes chrétiens sécularisés mais épuisés et désormais vides de sens (qui peut croire encore au Progrès™ en regardant la gueule d'Aubry, de Coppé ou Fear Factor?) est aveuglé par son image de toute-puissance de démiurge au petits pieds, ravageant la planète, épuisant les ressources, délocalisant tout et n’importe quoi, spéculant sur l’essentiel et le vivant, liquidant les fragiles équilibres séculaires et les civilisations millénaires. Comme le Symmaque de Molnar, nos contemporains en bermuda sont perdus, le lien avec le cosmos est rompu, la perte de sens est totale, l’aliénation complète.

L’avenir, le seul, c’est le plurivers, l’irréductibilité et la singularité des cultures et des hommes, non des croyances bidons et pseudo-universelles portées par des VRP à talonnettes encartés Gold™, par des queutards millionnaires et obèses ou des cuistres talmudiques malfaisants. Souhaitons que de ce chaos violent et vulgaire surgisse autre chose que le cauchemar climatisé qui nous est promis.
podcast

ADM 2.0

10/09/2012

what else?

via Jovanovic

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"Des scientifiques incriminent la piscine du réacteur 4 (sur le toit) car un nouvel accident peut se produire n’importe quand. Ils jugent que « cette piscine est un désastre planétaire en puissance. Un cube en béton de onze mètres de profondeur, rempli d’eau et bourré de combustibles nucléaires usagés : 264 tonnes de barres très radioactives ! Depuis un an et demi, ce bassin dit de “désactivation” repose à trente mètres du sol sur le bâtiment ébranlé du réacteur numéro 4 de la centrale de Fukushima. Il n’est plus protégé ni par un toit solide ni par des murs, mais par une simple bâche de plastique blanche ».(...)

Le professeur Koichi Kitazawa qui présidait la prestigieuse Agence japonaise pour les Sciences et la Technologie (JST) est de ceux qui expriment leur vive inquiétude. Cette année, il a dirigé une grande commission d’enquête sur l’accident nucléaire de mars 2011. “Après avoir écouté des centaines de témoins, ma conviction est faite, raconte cet universitaire respecté. A la centrale de Fukushima, le pire est peut-être à venir. A cause de la piscine du réacteur 4, un nouvel accident peut se produire n’importe quand, qui menacerait la survie même de mon pays.”

Idem pour Robert Alvarez, un haut responsable du département de l’Energie sous Bill Clinton. “Si un tremblement de terre ou tout autre événement venait à affecter cette piscine, il pourrait en résulter un incendie radiologique catastrophique, avec près de dix fois la quantité de césium 137 qui s’est propagée à la suite de l’accident de Tchernobyl.” Pour information, « les explosions à la centrale de Fukushima n’ont libéré qu’un sixième de ce césium émis à Tchernobyl. Autrement dit, la chute de cette piscine, qui selon l’expression du physicien français Jean-Louis Basdevant, semble être maintenue en hauteur par les seules “forces de l’esprit”, pourrait être soixante fois plus grave que la catastrophe de mars 2011 ».

Un professeur à l’Institut de Recherche nucléaire universitaire de Kyoto, Hiraoki Koide, propose, lui, une comparaison plus effrayante encore, surtout pour les Japonais. “Si le bassin du réacteur numéro 4 devait s’effondrer, assure-t-il, les émissions de matière radioactive seraient énormes : une estimation prudente donne une radioactivité équivalente à 5 000 fois la bombe nucléaire de Hiroshima.” "(Source)

source/LIESI

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lire aussi ce post de DE DEFENSA sur les déclarations extraordinaires -car hostiles à un engagement US- du général US Dempsey au sujet d'un conflit Israel/Iran impliquant les USA et sur la comique (mais oh combien cruciale) bataille des lobbys juifs versus le parti démocrate pour garder la référence à Jerusalem comme capitale de l'état juif...

et aussi, toujours DE DEFENSA:

"…Ce qui nous conduit aux rumeurs qui accompagnent actuellement la circulation à Washington de la présentation de ce qui serait un rapport de 82 pages, intitulé Preparing For A Post Israel Middle East, qui aurait été réalisé sous le tutorat des 16 agences de renseignement US formant la direction nationale du renseignement. Un article de Francis Lamb, qui est repris par divers site (PressTV.com, le 27 août2012, Information Clearing House le 28 août 2012, etc.), éveille divers intérêts en même temps que l’alarme et la hargne furieuse des neocons et du lobby pro-sioniste, – «…an 82 page analysis that concludes that the American national interest in fundamentally at odds with that of Zionist Israel. The authors concludes that Israel is currently the greatest threat to US national interests because its nature and actions prevent normal US relations with Arab and Muslim countries and, to a growing degree, the wider international community.» On a compris de quoi il s’agit, et il est inutile de s’attarder au contenu, à l’influence, etc., voire au statut exact de ce rapport, sinon pour noter le poids d’hérésie qu’il comporte par rapport à la pensée-Système. Il s’agit pour nous de mesurer, avec cette nouvelle comme conclusion, le renforcement du constat que la pression et la convergence des évènements conduisent à des orientations de réflexion de plus en plus radicales, et de plus en plus radicalement contraires à la politique déstabilisante et déstructurante massive du bloc BAO. "

et aussi:

Israël réfléchirait à lancer une impulsion électromagnétique (IEM) sur l'Iran pour paralyser l'ensemble de ses réseaux de transports et de communications, et arrêter ainsi le développement de son programme nucléaire, a affirmé dimanche le Sunday Times. Le journal cite le spécialiste américain des questions de défense Bill Gertz qui, le 29 août, dans sa chronique vidéo sur le site conservateur The Washington Free Beacon, a fait part "d'inquiétudes croissantes" rapportées par les services secrets américains "sur le déclenchement par Israël d'une frappe sur l'Iran grâce à une explosion nucléaire en haute altitude destinée à perturber tous les appareils électroniques du pays". Récemment encore, un auteur américain, Joe Tuzara, a écrit dans le journal de droite israélien Israel National News que l'accélération du développement d'armes nucléaires par l'Iran pourrait déclencher une attaque préventive d'Israël à l'IEM. "L'explosion ne créerait ni souffle ni radiation au sol, mais l'approvisionnement en nourriture se tarirait et les communications deviendraient pratiquement impossibles, ce qui aboutirait à un effondrement économique", écrit-il. source

07/09/2012

camp des saints

 

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« Nos partenaires (européens) veulent conserver l’avantage commercial qu’ils ont sur nous du fait de leur retard en matière sociale. Notre politique doit continuer à résister coûte que coûte, à ne pas construire l’Europe dans la régression au détriment de la classe ouvrière (…)

Il est prévu que le Marché commun comporte la libre circulation des capitaux. Or si l’harmonisation des conditions concurrentielles n’est pas réalisée et si, comme actuellement, il est plus avantageux d’installer une usine ou de monter une fabrication donnée dans d’autres pays, cette liberté de circulation des capitaux conduira à un exode des capitaux français (…)

Les capitaux ont tendance à quitter les pays socialisants et leur départ exerce une pression dans le sens de l’abandon d’une politique sociale avancée. On a vu des cas récents où des gouvernements étrangers ont combattu des projets de lois sociales en insistant sur le fait que leur adoption provoquerait des évasions de capitaux (…)

L’abdication d’une démocratie peut prendre deux formes, soit le recours à une dictature interne par la remise de tous les pouvoirs à un homme providentiel, soit la délégation de ces pouvoirs à une autorité extérieure, laquelle, au nom de la technique, exercera en réalité la puissance politique, car au nom d’une saine économie on en vient aisément à dicter une politique monétaire, budgétaire, sociale, finalement “une politique”, au sens le plus large du mot, nationale et internationale »

Pierre Mendès-France, 1957 cité par Lordon, 2012.

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« On songe  à la célèbre "définition" de Dominique Strauss-Kahn: "Le socialisme, c'est l'espoir, l'avenir et l'innovation" (déclaration du 20/02/2011). Le lecteur aura, bien sûr, rectifié de lui-même. Ce que DSK défninit ainsi, ce n'est nullement le socialisme (notion dont il ne doit même plus avoir le moindre souvenir). C'est seulement l'imaginaire de la gauche moderne (ou -ce qui revient à peu près au même- celui du Fonds Monétaire International) »

JC Michéa, Le complexe d'Orphée, 2011.

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Où l'on voit bien comment en quelques decennies, la gauche est passé d'un socialisme qui incorporait encore une critique sociale et une critique de la globalisation capitaliste à une espèce de progressisme libéral psittaciste vidé de toute substance hormis une pseudo-lutte "contre toutes les fomes de discrimination", spectacle dérisoire destiné à occulter l'abandon en rase campagne de la cause des peuples et de la question sociale.